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[DOWNTON ABBEY] 205 : Episode 5

Voilà, chers lectrices et lecteurs, un épisode qui m’a mise à genoux. Et je crois que sans le poulet rôti de ma grand-mère et l’heure et demie de tchatche avec le Dark Side qui a suivi le dit poulet lundi dernier, je serais encore en train d’essayer de trouver la force de me relever.
C’est l’asphyxie la plus totale, le désespoir le plus noir, et je ne vois rien là-dedans qui vient éclairer ces 53 minutes de misère. Et moi qui pensais me consoler de mon gros chagrin devant « Merlin » ce week-end… pas vraiment non !

Ce qu’il y a de bien, c’est que le ton est donné d’entrée de jeu.

J’abhorre ces scènes de guerre. Mais je dois reconnaître qu’elles ne font pas trop carton-pâte.

Maintenant, c’est vrai que les réactions des deux gonzesses de nos soldats au moment où l’assaut final est donné… était-ce bien nécessaire ? Sans doute pas. Mais bon, on est là pour bouffer du drama, alors on en bouffe.

La victoire est là, c’est sûr. Mais à quel prix…

Bon, je ne vous cacherai pas que les photos promo montrant Matthew et William sur leurs lits d’hôpital n’avaient pas échappé à mon oeil de lynx, donc je savais plus ou moins à quoi m’attendre. (Ou du moins le pensais-je.)
Ce n’est pas le cas, hélas, des Grantham qui se font réveiller au beau milieu de la nuit pour apprendre la terrible nouvelle.

Apparemment, Thomas n’a pas été invité à la soirée pyjama. Irf, irf, irf.

Bon, j’ai toujours aimé Mary, profondément, même dans les moments où elle s’est montrée très conne, (approximativement au crétacé inférieur, tellement ça paraît loin) mais là… elle est merveilleuse. Elle est en train d’expier son comportement d’autrefois avec une humilité et une résignation splendides et je suis vraiment très fière d’elle. Et je crois que son père aussi.

Lady Mary : What ?
Lord Grantham : Nothing.

Non parce qu’il faut quand même avoir la tripe solide, quand on est une frêle jeune fille de la haute, pour gober ce qui l’attend avec le retour du Kraken à Downton.

Matthew. L’Héritier. Inconscient. Bourré de morphine. Sur une civière de rien du tout. Avec une étiquette attachée dessus.

Une étiquette qui dit : « Probable spinal damage. »

Et toujours le porte-bonheur de Mary.

Quelle vision douloureuse. Et si encore on s’en tenait à ça… mais non, bien sûr, non.

Matthew peut donc dire adieu à ses jambes.

Et pire encore… à tout le reste.

Ok, bien. Donc déjà toute la famille est anéantie par la situation et en plus, on ne peut pas se dire que tout ira bientôt mieux et que l’Héritier nous fera avec sa Javotte plein de petits héritiers blonds aux yeux de Fremens puisque le voilà hors d’état de se reproduire !
La tronche du Comte, lorsque le Dr Clarkson lui apprend cette réjouissante nouvelle… bref tout est à refaire.
Et pauvre, pauvre Matthew, brisé…

… et faisant des rêves ensoleillés sous les effets de la morphine, où Mary apparaît avec en fond sa bien-aimée Downton Abbey.

Il ne se doute pas, le pauvre garçon.

Pas encore. Et Mary le ménage encore tant qu’elle peut.

(C’est à peu près là que j’ai commencé à couiner. )

On se coltine donc la rupture avec Javotte puisque ce brave Matthew refuse de la condamner à pousser son fauteuil roulant à vie sans pouvoir consommer proprement leur mariage. Et cette ravissante ingénue de ne pas comprendre dans un premier temps, et Matthew d’insister, et elle de percuter. « Oh. »

Oui, oh.

Matthew : Go home. Think of me as dead. Remember me as I was.

J’avoue que ça m’a perturbée. Déjà ça m’a fait infiniment de peine pour Javotte qui finalement n’est pas la Gorgone que j’aurais bien aimé qu’elle fût. Et ensuite, ben dites donc, l’Héritier a beau fantasmer sur Mary, eh bien quand il lui dit ma chérie et je t’aime si fort, eh bien ça m’a fichu l’équivalent d’un coup de poing dans le bide !
Quoi qu’il en soit, laissez-moi dire une seule chose : si Jason Street peut faire un bébé, eh bien Matthew Crawley aussi ! (Et le premier qui vient se foutre de ma gueule, je l’empale aimablement.)

Et histoire de bien nous faire honte d’avoir un peu haï Javotte, paf, on se la prend en pleine poire en train de chialer, pauvre gosse.

Et qui vient lui tapoter sur l’épaule ?

Et faire « oh » en apprenant le décès des attributs masculins de l’être aimé ?

Ouais. Fait chier, hein ?
C’est fou de se dire qu’elles se sont tellement rapprochées, non ? Je veux dire, en temps normal, hors guerre, elles se seraient probablement crêpé le chignon, un truc de guedin ! Mary se serait fait un plaisir de la broyer entre le pouce et l’index comme un vulgaire insecte, la Javotte. Eh ben non.

Et vous voulez que je vous dise à quel moment où j’ai totalement ouvert les vannes et explosé en sanglots ? Attention, comme toujours, c’est complètement con, j’ai le chic pour choisir mon moment pour me mettre à chialer des torrents, c’est démentiel.

C’est donc au moment où le pauvre Matthew se met à dégueuler en présence de Mary. Quand je repense à leur première rencontre, à leur fierté respective, aux conventions, à leur histoire… quelle affreuse ironie de voir Matthew Crawley, autrefois pétri de sa petite arrogance qui l’empêchait d’envisager un mariage accommodé avec une des filles de la maison, et Lady Mary qui ne serait pour rien abaisser à épouser un avocat, aujourd’hui tous deux réunis autour d’une bassine de dégueulis… franchement je n’ai pas tenu.
Et je peux vous assurer qu’aujourd’hui encore alors que je rédige ces lignes, il ne faudrait pas me pousser beaucoup pour que je me remette à chialer.

D’autant qu’on jurerait presque, lorsque Matthew évoque sa condition d’homme diminué, que Mary, elle, s’apprête à lui dire qu’elle le prendrait comme ça.
Perso, je pense que vomi ou pas, c’est trop tôt. Il faut que Matthew s’habitue à son état et remonte doucement la pente, apprenne à vivre avec les pattes cassées. Et là, BIM ! Mary sera là pour le cueillir. (Euh. Ou pas.)
En attendant, ça ne m’a pas arrangé de voir enfin débarquer Cousine Isobel.

Parce qu’on jurerait que Matthew est sur le point d’éclater en sanglots en répétant « maman, maman, maman ». Affreux.

Bref, tout ça, ça m’a absolument brisée.
L’ennui, c’est que ce n’est pas comme si on se disait que Mary est encore libre. Parce que là, elle vient de sauver sa peau et sa réputation en se vendant à Sir Richard, ni plus ni moins. N’étant pas trop regardant sur la marchandise, il accepte quand même de la prendre. Pauvre Mary. Quelle horreur, d’aller sceller un tel business, comme ça la révulse, comme elle crispe ses mains dans ses jolis gants en cuir, comme son visage est fermé derrière son élégant chapeau.

Et comme elle l’observe, ce futur époux qui veut bien acheter le secret de Vera Bates et l’enterrer pour le bien de sa désormais fiancée.

Nul doute qu’elle pourra arriver à le supporter. Mais l’aimer ? Voilà une autre histoire.
Enfin, après tout, cela a bien fonctionné pour Robert et Cora…

En attendant, la Mrs Bates qui s’est fait rouler dans la farine l’a bien mauvaise. Ok, Mary est hors d’affaire, mais son époux, alors là, il n’a pas fini d’en entendre. C’est con parce qu’Anna et lui se voient déjà devant l’autel.

Quelques secondes de tendresse dans un épisode de brutes.
Et il y a Sybil et Branson. Alors là, je ne veux pas dire, mais j’ai envie de crier : PORNOGRAPHIE !!!
Déjà, je trouve que le Branson, il a de plus en plus l’oeil baladeur. C’est très finement joué, mais impossible de s’y tromper.

Et en plus, il y a CONTACT ! C’est scandaleux.

Pendant une demi-seconde, j’y ai presque cru.

Mais non. Evidemment que non.

Ca va aller, Branson ? Tu tiens le coup, mon petit père ? Nan mais franchement, je commence à te comprendre, ça devient abusé.
(J’en connais une qui va finir par se retrouver les fesses à l’air sur le siège arrière de la bagnole, un de ces quatre, elle ne va rien comprendre !)

Enfin, au moins, le chauffeur nous a bien diverti. Comparer sa situation amoureuse à la liquidation du tsar et de sa famille, j’en ai pleuré de rire !
Ah, et dans le genre rigolade, il y a aussi la Vieille qui passe un coup de fil.

J’avoue, quand elle a clamé : « Yes the minister ! », j’ai hurlé : « OF MAGIC !!! »

Bon, mais je ne vous le cache pas, c’est à peu près le seul truc qui m’a fait marrer dans cet épisode. En plus, si la Comtesse Douairière passe un coup de fil, c’est pour faire rapatrier le pauvre William. Cette vieille chamelle a vraiment un faible pour le gamin et j’avoue qu’elle m’a vachement émue dans sa volonté de le protéger, dès le début. Je tremble à l’idée qu’elle puisse reprocher à Isobel son funeste destin parce que oui, elle aura vraiment tout fait pour lui éviter les tranchées. Et jusqu’au bout, elle se démène pour qu’il puisse revenir près des siens et accomplir ses dernières volontés. Quitte à devoir menacer un vicaire.

Oui, elle est Mary sont vraiment construites sur le même modèle, pas de doute.
Le petit William rentre donc à Downton Abbey où il lui réserve une chambre de choix et les meilleurs soins.

Malheureusement, le pauvre môme qui a sans doute sauvé la vie de Matthew ne se remettra pas de sa blessure et dès le début, on apprend qu’il est condamné. Je ne vous cache pas que dès cette annonce, j’ai attendu le pire avec résignation.
Oh, je suis contente que ce soit réglé sur un épisode mais franchement, quel crève-coeur.

Je me suis mise à la place de Daisy et oui, c’est affreux d’être coincée dans une telle situation, de devoir épouser quasiment un cadavre parce qu’on ne peut tout simplement pas refuser à un mourant de faire une dernière chose pour celle qu’il aime… même si les sentiments ne sont pas réciproques. Et il y a cette pression tout autour, celle du père, celle des proches…

Quel soulagement, tout de même, de réaliser que Daisy va finalement aller jusqu’au bout, et avec une sérénité, une force absolument insoupçonnées.
Moi qui réclamais une noce, eh bien la voici.

Dowager Countess : I have a cold.

Oué, moi aussi.

Il était temps. Il ne faudra guère attendre pour que le pauvre gamin s’en aille, après ça, comme si c’était la dernière chose qu’il fallait qu’il règle.

Bon, tout cela est réellement atroce. Je ne sais même pas comment je vais pouvoir endurer les derniers épisodes de la saison avec ce qui semble nous attendre et dont nous ne parlerons pas histoire d’épargner les âmes pures qui ne regardent pas les bandes-annonces.
Quelques mots tout de même sur Ethel qui est vraiment dans une sombre merde avec son histoire de marmot. Franchement, ce n’est pas pour dire, mais toutes les gonzesses qui ont le malheur de folâtrer, elles se mangent le retour de bâton dans la poire, un truc bien.

Et ce n’est même pas comme si son officier moustachu avait eu le bon goût de décéder, hein !
Ce qui m’amène à la nouvelle femme de chambre dont l’arrivée m’inquiète beaucoup et dont le parallèle avec la situation d’Ethel est tout de même troublante.

De même, je m’en voudrais de voir le mal partout, mais… il se passe un truc avec le Comte, quand elle débarque dans la pièce, non ?

Enfin, laissez-moi vous dire que le ramollissement d’O’Brien et Thomas qui se mettent un bref instant à douter de leurs actions passées ont eu le mérite de me faire joliment rigoler !

Voilà. Je peux vous assurer qu’il m’a fallu beaucoup de courage pour revenir à la review de cet épisode. J’en ai commencé la rédaction lundi soir, et je n’ai même pas pu terminer la partie concernant Matthew. Ca m’a poursuivie toute la semaine et je me suis employée à trouver toutes les excuses possibles pour ne pas avoir à m’y remettre.
Mais comme la suite c’est demain, eh bien voilà, quoi.
Sur ce, bon courage à tous… on va en avoir besoin, je le crains.

Posted by on Oct 17, 2011 in Downton Abbey | 13 comments

13 Comments

  1. La semaine prochaine dans "Saving Crawley’s Privates": Lady Mary remonte le temps dans la DeLorean de Branson et sauve la bite de Matthew de son funeste destin. Et William aussi, par dessus le marché. Everybody lives !

    Je remarque que plus ça va, plus je me retrouve à inventer des scénarios rocambolesques pour ignorer ce qui se passe dans l’épisode…

  2. Pas mal !

  3. Cette semaine m’a mise à genoux. Déjà, Merlin, et la *****édité désolée***** c’était dur.
    Mais alors là, Downton qui plonge plus que jamais dans un soap aussi imaginatif qu’horrible…

    J’avoue que je refuse d’y croire. Depuis le début la série nous a habitué a des situations dramatiques qui se résolvent plus ou moins, alors la je refuse de croire que Matthew est vraiment complétement paralysé. En même temps, jusqu’au bout j’ai refusé de croire que William allait mourir, alors j’ai moyennement confiance en mes dons de voyante.

    Et je sais pas, mais j’arrive pas à détester Lavinia, certes, mais sir Richard non plus. J’aime assez son coté terre-à-terre et aussi requin qu’honnête -en affaires, hein, pour les sentiments faudrait déjà qu’il ai un coeur.

  4. "Voilà. Je peux vous assurer qu’il m’a fallu beaucoup de courage pour revenir à la review de cet épisode."

    Et je salue ce courage, parce que j’étais à l’état de serpillère quand l’épisode s’est fini, donc je n’ose imaginer si en plus j’avais eu à le revewer.
    Excellente review Sorci, j’en avais la gorge nouée, et j’ai même cru que j’allais lâcher une larme en revoyant toutes ces scènes justes horribles, toutes ces émotions déchirées et ces êtres brisés.

    Je dois avouer que Mary me tapait parfois sur les nerfs dans le début de la S1, mais là… Mary. Mary. Mary.
    Mary qui veille. Mary qui souffre.
    Mary qui fait prévaloir les sentiments des autres au détriment des siens.
    Mary qui se tient droite et digne, malgré la peine qui lui déchire les entrailles et les sanglots qui lui nouent le ventre, menaçant de déferler à chaque instant.
    Ma petite Mary, tu es tellement… noble ?
    Cette scène où Matthew se met à vomir m’a aussi frappé, elle se rapprochait le plus de ce que l’on pourrait appeler une scène d’amour.

    Et même "l?EUR(TM)infortunée" Daisy, qui est prise dans cette tempête d’attentes, de devoirs et de sentiments.
    Son petit "It would be cheating" qui venait du c? »ur, presque une supplique quand William lui dit qu’il veut se marier pour qu’elle ait une pension, la seule chose qui a failli dévoiler les véritables pensées de Daisy et que l’on redoutait autant que l’on l’attendait.
    Ambivalence, zone grise encore et toujours.
    Toute vérité n’est pas bonne à dire, et l’enfer est pavé de bonnes intentions.
    Mais l’enfer ne sera pas Daisy, le mensonge dissimulé derrière les derniers silences sera salvateur et William mourra en paix…

    Je les ai tous aimés. Même Thomas le persifleur.
    Edith dévouée c? »ur et âme qui prête sa chambre à un ancien valet mourant, la Comtesse Douairière qui, comme tu l’as si bien souligné sorci, est faite du même moule que Mary,
    l’amour si simple et pourtant si complexe qui unit Bates et Anna, les subtils changements qui se sont opérés chez O’Brien…

    Bref, inutile de tous les repasser en revue… Ils sont juste formidables.
    Et rien que de penser que la saison approche… Ah, j’en suis déjà toute mélancolique.

  5. Il était dur celui-là… Surtout l’agonie de William… Je regarde tellement de séries à la con (souvent américaines, faut le dire) que j’étais là "Mais bien sûr que si y a un remède, c’est l’époque de Marie Curie (pas du tout) et de Pasteur (encore moins) ils vont trouver quelque chose !". Bé oui mais non, c’est pas comme ça dans la vraie vie (je t’en foutrais de la vraie vie d’ailleurs, je suis furieuse contre le prétendu "instinct" de Daisy et Mary au moment de l’assaut, ça sortait de nulle part).

    C’était très beau de voir les réactions de tout le monde et si chaque situation est prétexte à faire ressortir la méchanceté de Thomas et d’O’Brien, c’est aussi dans ces moments là qu’on nous rappelle que ce ne sont que des hommes (et des femmes.).

    Enfin bref, ça a chialé dans ma chaumière même si j’ai pris du pur plaisir à voir Sir Mormont rabattre le caquet à Catherine d’Aragon, la vil Bates ! Et pis, le coup de plus pouvoir se la jouer comme un vrai mec pour Matthew, encore un bon moyen de relancer les enjeux de l’héritage ça (ah les retrouvailles mère/fils m’ont désséchée) !

    Un grand bravo pour cette review digne de l’épisode, j’ai autant versé de larmes qu’à la fin de cette foutue finale de rugby –‘ > Et j’ai pleuré, ‘peux me croire !

  6. Oh, moi j’ai trop chialé devant ce genre de match pour remettre ça en 2011. (Demi-finale de 1995, je te retiens à jamais.) Suis déçue pour eux, quoi. Je réserve mon quota de larmes hebdomadaire pour demain ! LOL

  7. C’est mon côté chauvain qui sort quand ça l’arrange mais la provoc’ du journaleux néo-zélandais avait fait mouche donc je voulais que ce soit un match chouette mais je restais sur le magnifique match de 2007 vu en live *o*

    Traversée du désert oblige, je peux rien voir depuis 3 jours et ça s’arrangera pas demain (fuck fuck fuck) donc je reviendrais pleurer chez toi d’ici 2/3 jours voire 4 pour tout rattraper !

  8. "Quoi qu’il en soit, laissez-moi dire une seule chose : si Jason Street peut faire un bébé, eh bien Matthew Crawley aussi !" Oui, voilà je suis tout à fait d’accord. Il faut voir le "bon" côté des choses, on y croit…

    Bon après cette excellente série est tout simplement atroce xD!

  9. Comment ne pas pleurer devant tellement de souffrance et de dignité !

    Mais quand Isabelle arrive à la fin, c’est le pompon… Matthew redevient un petit garçon, c’est poignant ! Les larmes coulaient depuis bien longtemps. J’ai visiblement vécu le même épisode que toi.

    Quant à Daisy, cet épisode est formidable. Elle se révèle, ferme, lucide et à la fois humaine. Digne, quoi !

  10. Comme d’hab excellent!! Et j’ai aussi pensé au cas Jason Street qd "l’annonce" a été faite à Matthew…T’inquiètes mon petit père, tu vas réussir à en faire des petits Matthews Crawley, ça sera notre miracle de Noel du Christmas Special, j’en suis sure! :p

    +1000000000 sur la belle et le clochard. FRUSTRATIOOOOOOOOOOOOOOOOOON

  11. Je voulais faire une remarque… elles commenceraient pas à se faire un peu vieilles, les filles Grantham, là… ?

    Non parce qu’on est 6 ans après le début de la série. Et je rappelle que dès le 1er épisode, Mary était déjà fiancée.

    Moi j’imaginais les 3 filles entre 15 et 20 ans au début, en 1912… Donc là elles auraient entre 21 et 26 !!!
    OK, de nos jours, à cet âge là, les filles sont loin d’être casées… Mais à cette époque, et dans la noblesse anglaise… on se rapproche de la viande avariée, non ?

  12. Oui mais la guerre…

  13. Bon bin voila, avant hier j’me suis dis "Pourquoi, sous les bons conseils de notre sorcière nationale, je ne mettrai pas a Downton Abbey" Hein ? J’ai geeké pendant deux jours et résultat, j’ai vu le dernier en date hier soir et mon Dieu, comme j’ai pleuré.

    J’ignore pourquoi, mais je trouve que Matthew n’a jamais été aussi beau que dans cet épisode et pendant 50 minutes, j’ai prié de toute mes forces pour qu’il ne meurt pas. J’en était même presque à dire " Prenez William, laissez Matthew"
    Oooh, comme j’ai regretté après. Mon petit William. Le personnage qu’a un balais (voir un baobab), qu’est trop gentil, trop timide trop chou. Bref le personnage que j’aurai pu haïr mais qu’au final j’aime à la folie.

    Pour finir, j’ai décidé d’enfermer nos trois futur/pseudo/hypothétiques couples pour régler toute cette tension parce que ça commence à être mauvais pour mon coeur ! (Quoi que Mary et Matthew risquent de s’faire un peu chier… )

    Enfin bref, tout ça pour te dire MERCI sorcière, de m’avoir fait découvrir cette série. J’aime j’aime j’aime ! D’ailleurs, c’est quand le 6 ?!

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