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[DOCTOR WHO] 604 : The Doctor’s wife

Le voilà enfin, cet épisode tant attendu. Entre le nom du bonhomme qui a commis cet épisode et le titre qui est un touuuut petit peu abusé, inutile de dire que la fanbase était aux cent coups ! Moi, perso, je suis restée cool. Pas envie de vendre la peau du Slitheen avant de l’avoir tué. J’ai eu un peu raison parce que tout en reconnaissant les très nombreuses qualités de cet épisode, je n’ai pas été émue outre mesure. Toutefois, je sens bien que c’est le genre d’épisode qui va laisser une marque indélébile dans l’histoire de la série, voire qui va devenir culte et supporter de nombreux revisionnages, sans doute un peu plus humides.
A mes yeux (qui sont donc restés secs), c’est un tournant, une histoire qui ouvre tellement de portes que j’ai eu du mal à assimiler la chose. J’imagine qu’il fallait bien un one-shot signé par un Neil Gaiman pour apporter ça à la série.
Eh oui, Neil Gaiman ose donner vie au Tardis pendant 42 minutes. Et à l’issue de ces 42 minutes, on a presque envie de se demander pourquoi diable personne n’y a pensé avant tellement il est suggéré à de nombreuses reprises que le Tardis vit sa petite vie et fait un petit peu ce qu’il veut.
En ça, j’ai adoré cet épisode. Ce point de vue du Tardis, un personnage à part entière, presque le héros de la série, le side-kick qui ne tire jamais la couverture à lui mais qui n’en est pas moins entièrement dévoué à son maître/compagnon/enfant… et surtout, qui le tire de la merde lorsqu’il n’y a plus de solution. Et réciproquement. (Couillon qu’en français, un vaisseau ou un navire soit le plus souvent masculin.)
Comme c’était intéressant d’explorer la relation qui lie ces deux êtres, d’ailleurs. Comme c’était beau de découvrir que le coup de foudre a été instantané et surtout réciproque. Et comment reprocher à Neil Gaiman d’avoir intitulé son épisode de la sorte alors que ce Tardis, c’est bien la seule créature qui est TOUJOURS là quand le Docteur n’a plus rien ?

Bref, si cet épisode ne m’a pas émue outre mesure sur le coup, peut-être à cause d’un petit excès de zèle, je sens bien qu’il m’a bouleversée sur la durée, qu’il y aura un avant et un après « The Doctor’s wife ».
En plus, je ne veux pas dire, mais c’est quand même drôlement osé, ce qu’il fait, Neil Gaiman. Limite il se la péterait presque. Genre moi, si ça vous dérange pas, pour mon épisode, je propose qu’on sorte de l’Univers. Et puis si ça vous dérange pas, j’aimerais bien aussi que le Docteur, on lui envoie un appel de détresse d’un autre Time Lord. (Le Corsaire. Pardon mais comment qu’c’est affolant de classe, comme surnom !!!)

Onze : I’ve got mail !

Eh oui, notre Onze, notre petit dernier… il n’a toujours pas lâché l’espoir de retrouver un des siens, voire plusieurs. Pas forcément parce qu’il a besoin de compagnons de jeux mais plutôt parce que sa quête de rédemption ne prendra fin que le jour où un autre Time Lord lui dira : « Tu as bien fait. » Et c’est très malin de la part d’Amy de le comprendre aussi vite. Elle commence à bien le connaître, son Eleven.
Direction, donc, la porte de sortie de l’Univers, tout au fond à droite, pour se retrouver sur une étrange planète poubelle top cosy : House.

Où l’on rencontre d’étranges personnages appelés Oncle et Tante. Flanqués de leur Neveu.

Tout ce petit monde est accompagné d’Idris, qu’ils ont vidée de son âme. Pour mieux y accueillir une autre qui tient beaucoup de place !

D’entrée de jeu, c’est pas comme si cette petite loupiotte dorée ne nous disait rien !
Donc notre cher praticien débarque benoîtement là-dedans, et autant dire qu’il se fait sacrément recevoir par cette dame fort démonstrative !


Franchement, j’ai trouvé Matt démentiellement bon, dans cet épisode. C’est sympa de le voir déployer tout son talent face à une intrigue aussi exigeante. Il relève le défi avec beaucoup de panache.
Je suis restée un brin dubitative concernant l’ambiance de cette planète. C’était limite un peu too much, je crois. Pourtant, je suis largement habituée au too much dans cette série, mais on n’a pas trop le temps de s’appesantir sur Uncle et Auntie, par exemple, et c’est quelque chose que j’ai un peu regretté, parce qu’ils sont quand même vachement hauts en couleurs. On sent une certaine débauche de moyens et d’imagination pour ce décor, notamment, alors que l’épisode a tendance à pécher sur d’autres points, la musique, par exemple, qui est une énorme resucée de thèmes qu’on connaît déjà par coeur. Un peu dommage, il aurait largement mérité un peu de nouveauté de ce côté-là.
Par contre, évidemment, l’idée de faire de House – la « planète », donc – une entité qui se nourrit des Tardis et qui répare ses habitants, ses outils, au fur et à mesure qu’ils se dégradent grâce à des morceaux de Time Lords, c’était à la fois fascinant et sordide.

Le coup des deux pieds gauche (!) d’Uncle et du gros bras masculin d’Auntie, marqué du tatouage du Corsaire, c’était assez énorme.
Tout comme le coup du pauvre Doc qui découvre tous ces appels de détresse de ses anciens compatriotes gallifreyens, autant de malheureux qui ont péri par la faute de House.

Forcément, ça le rend moyen jouasse.
Ce qui va légèrement lui remonter le moral, c’est de découvrir que la gonzesse qui passe son temps à le traiter de voleur (SON voleur) n’est pas si démente que ça.

En fait, Idris n’est autre que le réceptacle de l’âme du Tardis. Il faudra un bon moment avant qu’on en ait la confirmation. Et un bon moment avant qu’Eleven n’assimile cette incroyable information.

(C’est vrai qu’en imitant le son du Tardis, elle marque un sacré point.)

L’idée est tout simplement exceptionnelle. Cela paraît si simple, pourtant, si évident ! Quel rôle de fou pour Suranne Jones ! J’ai presque eu l’impression que s’ils avaient pu se payer Helena Bonham-Carter, ils l’auraient fait, ça semble composé sur mesures pour elle.
Génial également de voir Tardis galérer avec sa forme humaine, avec les mots…

… mais anticiper avec une telle aisance les phrases, les pensées de ce Time Lord qu’elle pratique depuis plus longtemps que n’importe lequel de ses compagnons de voyage. (Et encore lui reprocher de ramener des copines !!)
Et aussi, comme c’est passionnant d’avoir enfin SA version de l’histoire !

Idris : Yes, that’s me. A Type 40 TARDIS. I was already a museum piece when you were young. And the first time you touched my console…
Eleven : I said you were the most beautiful thing I’d ever known.
Idris : Then you stole me. And I stole you.
Eleven : I borrowed you.
Idris : « Borrowing » implies you eventually planned to return the thing that was taken. What makes you think I would ever give you back ?
Eleven : You’re the TARDIS.
Idris : Yes.
Eleven : My TARDIS.
Idris : My Doctor.

Et alors quand la complicité s’installe naturellement et qu’ils se mettent à se dragouiller tant qu’ils peuvent, on se dit qu’il n’y a VRAIMENT que dans Doctor Who qu’on peut voir un gus faire du rentre-dedans à son vaisseau spatial !
En même temps, tout cela a un petit côté romantique bien perturbant, inédit, mais qui semble totalement normal !

Idris/Tardis : I wanted to see the Universe, so I stole a Time Lord and ran away.

C’est pas magnifique ?
En tout cas, je suis contente que ce soit avec le/la Tardis que le Docteur vive cette aventure, car s’il y a bien quelqu’un ou quelque chose qui puisse comprendre ce qu’il endure en tant que dernier Time Lord officiellement recensé, c’est elle/lui/ça. (Ca devient compliqué, là.)

Idris/Tardis : I am thinking that all my sisters are dead and that we are looking at their corpses.

Et dans un élan d’optimisme fou, les deux âmes soeurs de fabriquer un nouveau Tardis pour aller sauver Amy et Rory, prisonniers de la coquille vide dont House – ayant appris qu’il vient de se choper le dernier Seigneur du Temps – a pris les commandes. Et de lui insuffler la vie.

Idris/Tardis : Oh my beautiful idiot. You?EUR(TM)ve had what you?EUR(TM)ve always had. You?EUR(TM)ve got me.

Vous avouerez que ça a de quoi vous la couper.
Car donc, en voulant éloigner Amy et Rory pour gérer seul ses problèmes de Time Lord, Onze les a un peu foutus dans la mierda. Qu’est-ce qu’elle en ramasse, d’ailleurs, la pauvre Pond, dans cet épisode. Ok, ça nous donne l’occasion de découvrir quelques couloirs du Tardis (en avons-nous jamais vu autre chose que les salles de contrôle ?), mais House en profite pour jouer au « mind-frak » avec les petits pensionnaires du Doc et ça, c’est encore l’occasion de nous claquer quelques scènes tout à fait mémorables. Et aussi de nous faire calancher Rory une petite fois de plus ! Ca commence limite à devenir louche, d’ailleurs !

Rory : 2000 years I waited for you, you did it again !

J’ai vraiment bien aimé ces scènes. Outre qu’elles sont très fortes émotionnellement et super bien filmées, c’est un chouette reflet de la culpabilité ressentie ou refoulée par Amy vis-à-vis de son époux qui subit tout sans jamais rien lui reprocher. C’était très finement joué.
Et j’étais bien contente, du coup, qu’aux yeux du Tardis, Rory soit le plus « pretty » des deux.

Idris/Tardis : Hello, pretty !

Et quelle futée petite Amy qui comprend bien vite que le mot de passe qui mène à l’ancienne salle de contrôle – puisque la nouvelle est désormais sous le contrôle de House – doive être ressenti de façon télépathique. Tout cela n’était que perfection.

Amy : Crimson, eleven, delight, the smell of dust after rain.

Evidemment, tout ce qu’on apprend sur le fonctionnement du Tardis qui réorganise sa disposition en fonction de ses besoins, c’est génial. Et le fait qu’il ait archivé une trentaine de salles de contrôles, dont certaines n’existent pas encore… ouhouh, ma tête !!!

Grand moment de rigolade, aussi, lorsqu’Amy et Rory découvrent l’identité de la copine du Docteur.

Onze : She’s a woman, and she’s the TARDIS !
Amy : Doctor, did you wish REALLY hard ?
Onze : Shut up !

Et puis l’admiration et la confiance sans bornes que porte le Time Lord à son Tardis, l’équipe qu’ils forment et cette colère froide, impitoyable, qui se déchaîne sur l’intrus… Rah.

Onze : You took her from her home, and now she?EUR(TM)s back in the box again… and she?EUR(TM)s free. Finish him off, girl.

Pauvre Idris, tout comme Uncle et Auntie, son corps se meurt, libérant ainsi le Tardis qui ne fait qu’une bouchée de House. C’est pas comme si on ne l’avait pas déjà vu zigouiller toute une armée de Daleks. J’ai bien aimé me remémorer le final de la saison 1, d’ailleurs, ça m’a rappelé de bien bons souvenirs. (« You are tiny. »)

Pauvre Docteur et pauvre Tardis, si tristes à l’idée de ne plus pouvoir se parler.

Idris/Tardis : I?EUR(TM)ll always be here. But this is when we talked?EUR? and now even that has come to an end. There?EUR(TM)s something I didn?EUR(TM)t get to say to you.
Onze : Goodbye.
Idris/Tardis : No. I just wanted to say?EUR? Hello. Hello Doctor. It?EUR(TM)s so very very nice to meet you.

Oh pauv’ bibiche.

Voilà un épisode qui aura sans doute changé la vie du Docteur. Et sa façon de voir son vaisseau. D’ailleurs, leur relation semble plus intime que jamais.

Et lorsque le Docteur demande un signe… il l’a.

On reste sur cette phrase qu’Idris/Tardis a chuchoté à l’oreille de Rory : « The only water in the forest is a river. » J’avoue que ça m’a fait sauter en l’air. Ayant revu tout récemment « Silence in the Library » et « Forest of the dead », les deux épisodes de présentation de River Song, je me suis dit que ce qui serait génial, c’est que le Docteur vienne la sortir de son rêve et casse cette maudite time-line à l’envers pour qu’ils commencent enfin à vivre dans le bon sens. Mais j’imagine que je rêve tout debout, là.

Bon, sinon, vous aussi ça vous a fait marrer que ce maudit Doctor nous case Amy et Rory dans des lits superposés ? Et qu’il ne réponde pas quand on lui demande s’il a une chambre ? Sacrée bourrique !
Allez… j’ai bien peur qu’on ne se dirige déjà vers le final de mi-saison. Il va nous en falloir, du courage !
Et moi, je ne suis pas fâchée de publier enfin cette review. J’ai eu du mal à voir l’épisode, du mal à écrire et du mal à boucler. Semaine de merde, un petit peu !

Posted by on Mai 15, 2011 in Doctor Who Episodes | 28 comments

28 Comments

  1. Tiens, un truc étrange : Rory vieux avec tous ses postiches, j’ai cru que c’était Onze?EUR?

  2. ***

    (Couillon qu’en français, un vaisseau ou un navire soit le plus souvent masculin.)

    ***

    Une cabine téléphonique ? 🙂

    Au final, épisode vraiment bien mais je dois dire que le début m’a, un peu, soulé. Parce que bon, Neil Gaiman est un mec génial, mais… bim, allez, sortons de l’univers et trouvons des dizaines de TimeLord (+ un Ood) dans un pauvre épisode de 40 minutes… Je trouvais que ça faisait surenchère.
    En outre, si j’ai adoré voir le Tardis en chair et en os ça faisait un peu copie de la saison 1 ce qui rappelle de bons, mais douloureux, souvenirs. Et puis, Rose quand elle avait absorbé le Tardis, elle tenait vachement moins longtemps que la donzelle de cette épisode. C’est une manière de nous dire que Rose, elle était nulle ? Parce que ça passera pas :-p

  3. Ben non, cabine téléphonique, ça ne marche pas, ce n’est pas ce que je voulais dire. Un navire, c’est souvent LE quelque chose. Rarement LA quelque chose, tandis qu’en anglais, c’est absolument toujours féminin. (Grand old lady, disaient les deux vieux de leur Battlestar qu’on a toujours appelé LE Galactica.)

  4. (Sinon, pour Rose, different time, different situation… )

  5. Quand j’ai vu l’annonce du titre, je m’attendais évidemment à un épisode avec River… Bon, j’ai pas vraiment été déçue je dois dire! Malgré tout, même si je sais bien qu’en anglais un vaisseau/navire c’est "she" (rha, Galactica l’autre femme de la vie de l’amiral….) j’aurais bien aimé qu’ils nous collent le TARDIS dans un gars, rien que pour voir Eleven faire le singe à côté! Mais bon c’est magnifique de voir ces deux personnages tellement interdépendants se parler ENFIN! J’attendais un épisode comme ça depuis longtemps…
    Moi aussi la petite phrase sur les forêts et les rivières m’a fait bondir parce qu’elle ne colle pour le moment avec rien de ce que le Docteur et River ont vécu, à par le double épisode de la bibliothèque! Pauvre River, ça me ferait tellement plaisir qu’ils recollent leur timeline!

  6. Ouh, cet épisode m’a foutu une sacrée baffe. Je l’ai trouvé géré à la perfection !

    Le problème des musiques un peu réchauffées tient au fait que tout le budget soit passé dans le special Christmas, et que, du coup, ils ont dû faire avec les moyens du bord. Mais ce n’était pas si dérangeant.

    ??a restera sans doute un de mes épisodes préférés 🙂

    Sinon, pour ce qui est de Rose, elle tenait moins longtemps puisqu’elle avait encore son âme à elle. Idris, elle, en a été préalablement vidée !

  7. Tout à fait, ça se mélangeait chez Rose, on ne savait plus qui disait « My Doctor », le Tardis ou elle… à la lumière de l’épisode d’aujourd’hui, un peu les deux, sans doute ! 🙂

  8. J’a évidement adoré…. my thief, my thief.

    Sinon faut quand même pas confondre Idris et Rose.
    Rose ne devient pas le réceptacle du, enfin de la, TARDIS.
    Rose regarde dans le vortex du temps et le vortex entre en elle au risque de la consumer totalement. Elle ne devient pas le (la) TARDIS, mais le temps lui même.

    Ce qui lui permet de faire des choses extraordinaires tel qu?EUR(TM)annihiler les Daleks, se laisser des messages à travers l’espace et le temps et rendre notre Captain Jack immortel.
    Chose que la TARDIS est bien incapable de faire malgré tout.

    "-I looked into the TARDIS. And the TARDIS looked into me.
    – You looked into the time vortex Rose, no one’s meant to see that.
    – This is an abomination.
    – Exterminate"

    D’ac avec l’empereur Dalek, c’est une abomination. Pas comme Idris.

  9. Oh et puis je retire ce que j’ai dit… L’âme du TARDIS passe en Rose aussi finalement, à travers le vortex du temps… Je ne l’avais jamais imaginé comme ça.

  10. C’est bien comme ça que je le voyais, ne serait-ce que visuellement, ça aurait été trop troublant d’utiliser le même effet spécial, on est obligés de faire le lien…

  11. (Sinon, je viens de faire le lien entre ton FB et ton pseudo grâce à ton adresse mail. LOL C’est un peu comme jouer au « Qui est-ce » !)

  12. Excellent !! 😉

  13. Je n’ai pas été émue non plus. Il faut dire que l’épisode était plutôt compliquée et que j’ai du souvent revenir en arrière pour une fois lire les sous-titres, l’autre regarder les images ^^ Mais j’ai adoré, ça en valait la peine franchement !

  14. Episode troublant, mais je l’ai regardé dans un état second!
    Par contre contente de voir que je ne suis pas la seule à avoir pensé à Helena Bonham-Carter!

  15. J’ai lu/vu une interview récemment de Neil Gaiman qui disait qu’il avait effectivement obligé la BBC à construire des nouveaux décors du TARDIS, j’ai trouvé ça marrant.
    Et en effet, j’ai carrément l’impression que ce rôle était écrit en pensant à Helena Bonham-Carter.
    Mais là ou je suis le plus d’accord… Semaine de merde, quand même. 😀
    M’enfin, awesome épisode, faut juste que je le revoie un peu plus posément.

  16. J’ai véritablement adoré cet épisode, en grande partie grâce à Idris, j’ai trouvé un peu compliqué de faire attention aux autres quand elle était dans le coin, même si auntie et uncle, hauts en couleurs comme tu dis, étaient bien plaisants aussi.

    Par contre la petite Amy-Sue commence à me sortir par le nez à avoir toutes les réponses et traverser toutes les épreuves sans jamais paraître affectée. Le prochain compagnon va nous refaire un complexe d’infériorité à la Martha (à moins que ce soit déjà le rôle de Rory ?)
    Au début je voyais le docteur en figure paternelle malgré sa jeunesse apparente (en fait, il me rappelle mon beau-père) mais Amy l’infantilise ça gâche un peu l’effet.

    Mais Idris <3 et son reproche sur les chiens errants je m’en remets pas !

  17. "Biting is like kissing only there’s a winner." Elle dit, Idris.
    "Killing is like fucking only there’s a winner", il dit. …. Qui dit ça, Sorcière ? :p

  18. Je sais pas !

  19. j’ai été ravie de voir la relation tardis/docteur explorée dans cet épisode même si je n’ai pas été spécialement émue non plus…

    Le seul truc qui m’a embêtée c’est ce truc de refabriquer un tardis avec des petits bouts trouvés partout, car j’avais tout le long dans ma tête cette phrase : "Can you build another tardis ?"/"Tardis-es are grown, not built". ça m’a turlupinée.

  20. Le Tardis c’est justement Idris, le reste n’est qu’un systeme qui permet à Idris d’être le Tardis.
    D’ailleurs cela nous est largement sous-entendue lorsque Idris répond au Doc : "Idris/Tardis : Oh my beautiful idiot. You?EUR(TM)ve had what you?EUR(TM)ve always had. You?EUR(TM)ve got me."

  21. Les chamailleries autour de la console ça m’a rappelé ce que disait River sur comment elle avait appris à piloter le Tardis. On se demande quel professeur pourrait lui enseigner comment faire mieux que le Doc 😉

  22. C’est Hyde qui dit ça, premier episode de Jekyll 😀 Le gros clin d’oeil au showrunner xD

  23. "The only water in the forest is a river." Bien ??videment cela doit faire référence à River mais vu comment la série est je pense que ça fait pas référence à "Forest of the dead" Parce que le TARDIS était là ainsi que le Docteur. Donc la seule raison pour que le TARDIS est dit cela c’est qu’ils vont bientôt retomber sur River et peut être dans une vraie forêt cette fois ^^

  24. Le running gag de la saison : la "mort" de Rory à chaque épisode ! ^^ Très bon épisode par ailleurs. Tu parles d’Helena Bonham Carter pour le rôle de Miss Tardis, elle aurait été sûrement excellente mais peut-être un peu plus inquiétante qu’"Idris" que j’ai trouvée très bien !

  25. ??coutez bien à 41minutes et 40 secondes de l?EUR(TM)épisode Le TARIS murmure : I LOVE YOU !

  26. Ouais, je l’ai entendu dans le Confidential, en fait. ^^

  27. Grand moment de rigolade, aussi, lorsqu’Amy et Rory découvrent l’identité de la copine du Docteur..
    ———-
    On dirait qu’il présente sa nouvelle petite copine à Amy 🙂
    j’ai aussitôt pensé à Rose et Sarah-Jane dans la saison 2 qui se moquaient de l’attitude du docteur avec son Tardis. Rose qui plaisantait en disant "parfois j’ai envie de lui demander si il veut que je les laisse seuls"

    petite remarque en passant d’Eleven qui a encore loupé un Ood

    la phrase d’Idris fait évidemment dresser les oreilles. River, River, …

  28. Ben moi, cet épisode m’a émue aux larmes…
    Oh, ce fol espoir que le Docteur a dû éprouver en entendant la voix de son ami le Corsaire, ces quelques instants où il a pu croire qu’il n’était pas seul, et cette déception, cette peine immense à la mesure de l’espoir déçu quand on se rend compte que ce n’était qu’un message enregistré… Le sentir à nouveau si seul, si malheureux et si coupable ça m’a serré le cœur…
    Quant à l’idée de donner forme humaine au TARDIS, quelle idée de génie! À la fois émouvant et très instructif sur certains aspects du Docteur! Alors je ne sais pas si vous aussi quand vous pensez au Docteur vous arrivez à le voir sous toutes ses formes (tous ses acteurs) et qu’il soit quand même toujours le même à vos yeux, mais bizarrement, moi c’est comme ça que je le vois, et sincèrement devant le duo Docteur/Idris, j’arrivais sans mal à imaginer William Hartnell, le 1er Docteur, grand gamin de 200 ans recalé au diplôme de Time Lord mais incapable de résister à la tentation de voyager dans un TARDIS rien qu’une fois, qui pose les yeux sur celui-ci, mis au rebut, et… l’histoire commence!
    Rhô et puis revoir l’ancienne cabine de pilotage de Nine et Ten, comme ça m’a z’émue aussi!
    Ça, c’était un épisode qui faisait rêver!

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