102 : Episode two

Allez, c’est parti pour le NathanShow ! Hi hi hi. C’est affreux, je pense que le Dark Side n’entend pas la moitié des dialogues de la série étant donné que je suis les trois quarts du temps en train de braire de rire à cause des blagues nulles de Nathan. Episode 4, le parking souterrain… enfin bref, on en reparlera en temps voulu, mais j’en ai pleuré de rire.
Tout ça pour dire que je suis très très bonne cliente des imbécilités de ce gamin, même s’il est quand même MEGA-saoulant, je dirais même que c’est un petit emmerdeur de compète. Et il ne fait pas du tout rire le Dark Side qui soupire d’agacement à chacun de ses sorties (et Satan sait qu’elles sont nombreuses). Soit on a à faire à un super jeune acteur, soit le gars il est aussi jeté que son personnage !

(Je soupçonne un mélange des deux parce que ce n’est pas possible autrement.)

En tout cas, il me plaît beaucoup, ce personnage. Déjà, sa dégaine, ses petits cheveux frisés tout mignons, ses jolis yeux verts, ah, ma bonne Ginette, si j’avais quinze ans de moins !
Mais c’est qu’en plus, il n’est pas mauvais bougre. Du tout ! C’est sûr, ça le fait superbement chier de se taper les travaux d’intérêt général avec les autres bonnets de nuit et de torcher les vioques. Ce qu’il veut, ce gamin, c’est s’a-mu-ser. Et draguer. Et picoler et tout ça. Si possible en bonne compagnie. Il a raison, le môme ! En plus, faut avouer, il aurait presque du goût en matière de gonzesses. La petite pépé qu’il se lève à la surboum des Alzheimer, elle est quand même un poil classe.

Et allez… très honnêtement… ça va quoi. Il fait pas trop le relou, avec elle. Il est même presque… plutôt élégant dans sa manière de l’entreprendre.

(C’est fou de réussir à faire du presque romantique avec Nathan Young, au passage.)

Evidemment, le fait que le mec de sa mère se trimballe les parties à l’air, ça n’aide pas trop pour emballer, c’est vrai. C’est un épisode chargé, pour Nathan. D’un côté une belette plutôt sympatoche mais qui traîne de lourds bagages, de l’autre son « beau-père » qui est un… hum… chien, donc. Ca fait beaucoup.

Ah oui, rétrospectivement, c’est effectivement traumatisme sur traumatisme !

Bon, puis ça se passe pas trop bien avec la daronne, hein, rappelons-nous qu’elle l’a un tout petit peu flanqué dehors avec trois biftons en poche histoire de pouvoir vivre tranquillement son histoire d’amour avec Médor. Et quand il essaye d’attirer son attention sur le fait que Jeremy (Monsieur Maman, donc) a tendance à faire les poubelles en aboyant au clair de lune, eh bien à force, il finit par s’en prendre une.

Sincèrement… c’était un peu mérité. Même si cette capture d’écran a failli m’arracher un sanglot. Ca ne devrait pas être permis de faire une bouille aussi choupinette quand on est une pareille tête de con.
Voilà comment l’animal se retrouve chez Ruth qui a décidément un prénom super moderne…

Pour vider un petit verre de euh… sherry ?

Et éventuellement se faire un peu consoler, quoi.

Eh bien je peux vous dire que Photobucket-de-mes-fesses n’a pas beaucoup aimé la charmante petite scène qui s’ensuit puisque toutes mes captures ont été censurées. Mais comme je suis une grosses rebelle, je vais aller héberger ailleurs celle-ci parce que merde, quoi, elle est tout de même absolument ultime.

Et aussi celle-là parce que bon voilà, la tête de la pauvre Ruth qui a genre dix secondes et demie pour s’échauffer alors que son jeunot a déjà franchi la ligne d’arrivée, c’est parfaitement ultime et hilarant.

Allons, ça a du souffle, ces petites bêtes.

Ah mon pauvre Nathan, comme tu aurais mieux fait de ranger ton pistolet et de partir en COU-RANT !

Oh, non, sérieux, c’est horrible, pauvre gosse, le voilà traumatisé à vie d’avoir couché avec une mémé !
Je jure, j’étais trop triste pour lui, mais sa tête est tellement énorme, je riais malgré moi. C’est des coups à avoir envie de se la trancher, vous avouerez !

Nathan : I shagged someone’s Gran !

Encore une qui a donc été touchée par l’orage. Au naturel, donc, ça donne ça.

Et j’avoue que j’ai également bien ri devant la réaction dégoûtée des autres lorsqu’ils l’apprennent. (Merci, Kelly.)

Bref, c’est la saint Nathan. Mais allez, c’est un bon gosse, quand même. Et puis il est très télégénique.

(Et il est très classe, son salon.)

Sa dernière visite chez Ruth est l’occasion pour lui de prendre une bonne leçon de vie.

(Oui, c’était trop de bonheur, pour Ruth, elle n’a pas survécu à ses assauts virils. Gneuheuheuh. )

Nathan aura donc été le dernier d’une longue liste de galants.

Mais force est de constater que sur la fin, Ruth s’est retrouvée bien seule.

Peut-être qu’elle aussi avait un petit pète-couilles de fils qui lui ruinait toutes ses relations par pur égoïsme.

Voilà comment Nathan va faire la paix avec sa reum parce que c’est un bon gamin, au fond. C’est juste qu’il est un peu bête.

Nathan : Be good to my mum or I’ll take you to the vet to be put down.

En attendant, toujours pas de pouvoir !
Voilà, donc à part ça, laissez-moi professer ma passion pour ce groupe. Rah. C’est pourtant tous des petites nullités (à part peut-être Curtis, qui lui, n’a pas l’air fini au pipi) et on ne peut pas dire qu’ils brillent par quelque action que ce soit, mais je trouve que la réalisation sous-entend des trucs assez énormes. Le fait de les filmer comme des superhéros, comme ça, c’est très excitant.

Mais bon, ce n’est que le début. Je sens quand même venir de grandes choses pour Simon qui est le premier à dire que oué, bon, peut-être que son pouvoir pourrait servir à surveiller les vestiaires vu que quelqu’un s’amuse à mettre des trucs pas très sympa dedans.

Alors Simon surveille. Et il est drôlement flippant.

Et c’est là qu’il se rend compte que ça peut être drôlement pratique, de temps en temps, d’être invisible pour de vrai.

(Très jolie scène, très mignonne… mais alors, Simon, tu me fais un petit peu de la peine, quand même.)

Je… je… je ne sais plus.

Enfin si, je sais ! Celle qui sait ce qu’ils ont fait l’été dernier, c’est elle.

Ok, c’est bien. Et ils font quoi, maintenant, exactement ? Hein ? HEIN ??? Eh ben ils se bougent un peu le trognon !