502 : Hello, bandit

« It’s said there are seven stages of grief. I suppose killing someone with my bare hands in a men’s room was my way of working through the anger stage. Whatever the other six stages are… I don’t have time for them. ‘Cause now I’m a full-time dad. Once the kids and I are back together, it’ll all be fine. »

Sauf que malgré les efforts déployés pour y parvenir, eh ben les Kids, ils ne vont pas rester avec leur Papou Dexter. Pauvres mioches. Autant j’avais été un peu perturbée par leur traitement dans le premier épisode de la saison, autant là, tout ce qui leur arrive me semble parfaitement en place. Et surtout, ils jouent très bien. C’est poignant juste ce qu’il faut.

Pauvre Dex. Deuxième effet Kiss Cool : la perte des deux tiers de l’effectif gniard. Et une fois de plus, c’est au moment de leur dire au revoir qu’il se rend compte à quel point il les aime. Quand on vous dit qu’il est super humain, le Dexter.

Dexter : Cody and Astor showed me that I can still care about something. That makes letting them go all that much harder.

Enfin, voilà qui va lui laisser tout le loisir de renforcer ses liens avec son héritier par le sang. Et regardez comme ça paraît bien parti.

Deux affaires sympathiques qui se profilent, une avec un monsieur qui ramasse des carcasses de bêtes crevées (rien que ça, c’est déjà super charmant).

Et qui de toute évidence, ne se contente pas de ramasser des carcasses de bêtes crevées puisque visiblement, il aime bien crever quelques dames de temps en temps.

Charmant, on vous dit.
Enfin, Dexter ayant identifié le bestiau, on imagine bien qu’il ne va pas faire long feu.
D’autre part, Miami Metro s’éclate positivement avec ceci.

Ah oui, effectivement, c’est très très sympa. Ah, et si vous croyez qu’on peut prendre des captures d’écran sans trop trop regarder ce qu’on fait, je vous rassure tout de suite : c’est pas possible.
Tout cela est donc fort croquignolet.
Ce qui m’a bien plu, dans cet épisode, pour une fois, passés les problèmes de fric d’Angel et sa chère épouse (qui nous emmerdent, ne mâchons pas nos mots), c’est ce qui se passe entre Deb et son collègue. Le Joey Quinn, il commence à devenir très intéressant. Déjà, sa folle histoire avec la journalisteslashfilledeTrinity a l’air de l’avoir un peu changé… un peu mais guère, hein. Il parvient à être quasiment le seul à me faire sourire (avec Masuka, mais bon, c’est Masuka), il est plutôt beau gosse mais son côté arrogant et légèrement pourri sur les bords me donne envie de lui arracher la tête. Je l’aime bien, quoi.

En plus, il est à deux doigts de découvrir que Kyle Butler, c’est Dexter.

Il apporte à ce début de saison un mix de noirceur et d’humour tout à fait approprié. Et son petit ballet avec Deb m’amuse au plus haut point.

Encore un copain de Deb (je ne la vois pas lui résister très longtemps) qui va finir découpé en fines tranchettes et bouffé par les crocos, probablement.
Bref, ça commence à se remettre en place, j’aime assez, j’avoue. C’est sympa, cette redistribution des cartes. On écarte femme et enfants, on garde l’Héritier, on colle à Dexter un alibi pour le meurtre de sa femme mais la menace continue à planer avec cette histoire de Kyle Butler sur lequel tartine la famille Mitchell. J’ai hâte de savoir comment ça va se solder. Et hâte de voir comment Dexter va reprendre son petit train-train. Alors que tellement de choses ont changé…