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501 : The Eleventh hour

A tout Seigneur (du Temps) tout honneur : ma première review post-travel-de-ouf est pour le Docteur.
Bon, c’était quand même tout pourri, cette… naaaaaan, je déconne, c’était monstrueux ! Franchement, qu’est-ce qu’on pourrait ne pas aimer, là-dedans ? L’intrigue extra-terrestre un peu faible dans les genoux ? (Oui, j’avoue, j’ai pas tout suivi.)
Mais en fait, je m’en fous. On a des personnages très forts dès le premier épisode et c’est vraiment ce qui importe à mes yeux. Je me referai la saison entière une fois qu’elle sera terminée et là, j’y verrai peut-être plus clair. Dans un premier temps, j’ai trop été éblouie par l’ambiance du début de cette nouvelle ère et aussi par la nouvelle compagnonne qui est… arf… je n’ai pas de mots. Elle est merveilleuse.
Dieu sait combien j’ai aimé Rose et Donna mais avec Amy Pond, Moffat touche une corde sensible. Ce vieux sacripan nous sert là LE personnage universel. Non mais le génie de ce type, quoi. Qui nous fait rencontrer les deux personnages principaux alors que la compagnonne est encore une enfant. Mais COMMENT Davies a-t-il pu lui laisser ça ???
Bon, c’est vrai que le domaine de l’enfance, c’est sa tasse de thé, au Moff’. Il en a une compréhension et une vision ahurissantes. Il faut vraiment être resté connecté à ses rêves de petit garçon pour nous pondre ce genre de merveille.
Outre ce coup de génie qui nous place d’emblée une relation forcément très forte, il y a donc l’ambiance qu’apporte le nouveau maître de Doctor Who. Passée la première scène bien délirante qui fait le raccord avec le départ de David Tennant, j’ai adoré le vert des plantes du jardin un peu abandonné d’Amelia, les rideaux de dentelle, la porte qui évoque les couleurs du Tardis, la musique de conte de fées et le rouge des habits de la petite fille qui sort en chemise de nuit et bottes en caoutchouc. (Amelia Pond, modeuse de choc.)

Casting impeccable, au passage, tellement la petite rouquine qui joue Amy jeune est criante de vérité dans ce rôle. J’en suis restée baba. Plus tard, en regardant le Confidential, j’ai appris qu’il s’agit de la cousine de Karen Gillan, ce qui explique des choses.

Bref, ce petit bout de gonzesse qui demande au Père Noël de lui réparer son mur, elle est trop parfaite. On la sent déjà bien flinguée (non parce que ça me chagrinerait que ce soit le Docteur qui la bousille entièrement) et on n’aurait sans doute pas affaire à Moffat si il n’y avait pas déjà une telle mélancolie chez elle.

J’ai adoré la rencontre d’Amy et de son ami imaginaire, et le truc le plus fou dans tout ça, c’est que cette scène transpire la complicité entre Matt Smith (qui est décidément un garçon fabuleux) et la petite Caitlin. Bref, c’est adorable et il n’y a sans doute pas de manière plus magique de démarrer une nouvelle ère Doctor Who. Je défie quiconque de ne pas pleurer de tendresse devant ça. Perso, j’ai eu du mal.

En plus, notre nouveau Docteur est décidément très doctoresque. Et ma foi, il est à la fois super drôle et sérieux.

The Doctor : You know grown ups tell you everything’s gonna be fine and you think they’re probably lying to make you feel better ?
Amy : Yes.
The Doctor : Everything’s gonna be fine.

Mieux encore, on sent que la jeune Amelia/Amy n’a pas fini de lui donner des leçons, à ce grand niais, et cela me réjouit d’avance.

The Doctor : I’ll be right back !
Amy : People always say that.

The Doctor : Am I people ? Do I look like people ? Trust me. I’m The Doctor.

Rooooh, l’adoration qu’il y a déjà dans ce regard.

Roooh, la petite bibiche qui fait sa valise. Mon petit coeur a failli se briser tellement c’est triste et mignon, tellement on sait qu’elle va l’attendre pendant bien trop longtemps, son grand dadais, la petite princesse au jardin dormant.

Ah, Amelia Pond… you are so dans la merde.
Donc c’est quand même pas mal chié de la faire le rencontrer petite. Ca va forcément créer une relation père/amant complètement tordue. Souvenons-nous. C’était déjà un peu tordu entre Nine et Rose, là, en plus, le fait que Eleven soit si jeune, ça va être méga n’imp. Et j’adore ça. On pouvait vraiment compter sur Moffat pour rendre l’univers Who encore plus relié à l’enfance. Toutes les petites filles ont un jour eu un héros de la trempe du Docteur, qu’elles voient à la fois comme un père mais dont elles sont aussi un peu amoureuses. Bref, Amy Pond : good luck, ça va être l’enfer, tu vas adorer !

Douze ans et quatre psychiatres plus tard, donc… le prince charmant plein de cheveux est de retour, et franchement, il mériterait bien quelques taloches.

En ça, Matt est bien le digne héritier de David. On n’a jamais eu trop envie de baffer Nine (jamais on aurait osé, d’ailleurs), mais la petite trombine de Tennant appelait gentiment les baffes. Evidemment, Eleven vient de se régénérer et son Tardis a encore des hoquets, mais tout de même. En quelques minutes, ruiner la vie d’une pauvre petite choupinette comme ça… non, c’est pas bien, ça, chouchou.

Oui, Docteur, regarde ce que tu as fait de cette petite fille en à peine quelques minutes de grand délire et une promesse non tenue. Ce nouveau Docteur très juvénile me fait beaucoup penser à une espèce que nous autres femelles connaissons bien : celle de ces grands dadais à longues pattes qui n’y comprennent rien aux filles et qui vous brisent le coeur avec une désinvolture révoltante. Ils ne pensent pas à mal, mais ils ne vous font pas du bien. Je pense qu’Amy Pond vient juste de trouver le sien. Amuse-toi bien, Amy.
(Chose amusante, elle reproduit exactement la même chose sur son petit fiancé terrien qui soupire en vain après elle sans jamais vraiment la tenir tout à fait.)

Tennant était déjà un peu comme ça mais ses dix ans de plus et sa face de rat musqué lui donnaient un air moins innocent. Matt Smith vend ça différemment, on lui donnerait le Bon Dieu sans confession, avec ses yeux de basset. Ce qui naturellement est encore plus dangereux pour les donzelles un peu vulnérables… tu ne trouves pas, Amy ? Ok, il ressemble un peu à Averell Dalton, mais bon.
Ce qui me frappe une fois de plus, outre le charme dévastateur de Karen Gillan (et je suis bien incapable de dire à quoi cela tient), c’est l’alchimie éclatante qu’il y a entre les deux acteurs et par extension entre les deux personnages. C’est splendide. Les premières scènes de ménage sont délicieuses… oh, comme je sens qu’elle va savoir le tenir, son Docteur, la jeune Amy ! Et comme il en a besoin !

La scène de la pomme, un peu plus tard, est adorable. Bref, je suis déjà folle de ces deux-là.

(Croque la pomme, Amy.)

Et puis… malgré le côté très enfantin de l’intrigue… enfin une compagnonne qui a de la suite dans les idées et l’esprit un peu porté sur la chose saiskuelle. Uh uh.

M’est avis qu’elle n’a pas fini de lui coller son décolleté et ses longues quilles sous le pif, à notre Time Lord. On verra bien si ça lui fait fumer le slip ou pas. (C’est sans doute loin d’être gagné, mais ça promet de belles rigolades.)

Autour, on a aussi quelques personnages bien costauds. Le Mickey d’Amy s’appelle Rory et je le trouve génial. Leur relation est complexe à souhaits et je suis déjà pressée de le revoir prochainement. Nul doute que ce sera rapidement le cas. J’ai cru m’oublier sur mon fauteuil quand le pauvre Rory reproche à Amy de l’avoir obligé à se déguiser en Docteur quand ils étaient petits. (Par ricochet, elle lui a bien flingué son enfance, à lui aussi.)

Le Jeff est pas mal non plus, et le « get a girlfriend » m’a fait hurler de rire.

Pour en revenir au Moff’, bien sûr, je l’adore, ce grand gamin qui réalise là son rêve d’enfant, et tout en lui faisant immensément confiance, je m’inquiète un peu de certaines redites. Ce sont parfois des thèmes dont la récurrence ne peut pas m’échapper (comme l’enfance volée) ou de petits détails comme les phrases répétées ou le tic-tac de l’horloge…

Sans parler *roulements de tambour* des enfants flippants. Stephen, Stephen, Stephen…

Clairement, si on avait mis un pseudo à la place de son nom au générique, je me serais posé des questions tellement c’est signé Furax, tout ça.

En tout cas, ce monsieur a un don certain pour appuyer là où ça fait mal et je me réjouis d’avance du mal qu’il va faire à notre grand machin.

The cracks in the skin of the universe… don?EUR(TM)t you know where they came from ? You don?EUR(TM)t, do you ? The Doctor and the TARDIS doesn?EUR(TM)t know. The universe is cracked. The Pandorica will open. Silence will fall.

*whogasm*
Oh ouiiii, encooooore !

Autre scène que j’ai adorée… notre Docteur qui devient ENFIN le Docteur… en choisissant son costume. Ca, c’était génial. Très très fort, quel beau clin d’oeil à l’importance du look de chacune des incarnations du Time Lord. Je dis bravo. Et le défilé des anciennes versions m’a fait gloupser d’importance… Tennant qui s’efface pour laisser passer Smith… rah.

The Doctor : Hello. I’m the Doctor. Basically… run.

Et la réaction de notre praticien cosmique à la vue de son nouveau Tardis…

The Doctor : Look at you. Oh you sexy thing !

Evidemment, plante la donzelle comme un goujat parce que bon, hein, on ne se refait pas. (Enfin si, un peu, mais pas entièrement.)

La fin est super chouette, ça m’a encore fait un gentil petit pincement au coeur.

Et la reprise de leur rencontre quatorze ans plus tard était trop mignonne.

(« Je suis trop mimi pour qu’on me déteste, hein ? »)

The Doctor : Amy Pond, the girl who waited, you waited long enough.

Evidemment qu’Amy se la joue hard-to-get mais finit par craquer. C’est la chance pour elle de vivre enfin son enfance…

(Et plus si affinités.)

Et quand elle dit qu’elle doit revenir le lendemain matin, j’ai tout de suite compris.

(Aaaaaaaawwwwww… )

Uh oh !!

Bon, prochaine fois je me concentre un peu plus sur l’intrigue qui sera sans aucun doute au coeur de toute la saison. Là, j’étais trop passionnée par la mise en place de la dynamique entre les personnages pour m’y attacher et c’est forcément un peu une erreur. Mais bon… c’est ma première review depuis longtemps et puis j’étais zémue, aussi. Vous m’excuserez. Donc voilà, je vais enchaîner. Qué bonheeeeur !!!

Posted by on Avr 21, 2010 in Doctor Who Episodes | 24 comments

24 Comments

  1. Aaaaaaaah ! Le grand retour de la Sorcière ! Et très en forme 😉
    Merci pour cette très belle review, qui m’a replongée dans l’excitation du visionnage de ce premier épisode. Je voulais le détester, ce Matt Smith, pour avoir remplacé notre Tennant. Je voulait la détester, cette nouvelle compagne, que j’anticipais comme une sous copie de Donna en plus nunuche. Shame on me ! J’ai été charmée d’entrée, l’épisode m’a aspirée sans me demander mon avis, et m’a recrachée conquise, amoureuse de la 11e incarnation, et amoureuse de la nouvelle compagne. Qui, il faut l’avouer, a un certain talent pour engueuler comme il faut le docteur (et sans copier Donna, quel exploit…) et pour faire d’adorables poupées, et même qu’ils ont intérêt à en faire des produits dérivés, non mais sans blague.
    Bref, à part un gros bémol pour le nouveau générique, les musiques étaient toutes à tomber, et heureusement moins présentes que dans les précédentes saisons (ce qui a tendance à m’agacer) : la BO s’annonce d’exception. Le soin des lumières, des décors, des cadrages, tout était très maîtrisé, très beau à voir. Une super belle saison en perspective (avec Bill Nighy, de quoi se plaint-on)
    A très bientôt pour tes prochaines reviews, longe vie à la Sorcière et longue vie à Eleven et sa rouquine.

  2. Grand retour en fanfare, c’était par-fait. L’épisode ? Bien aussi ! 😉

    En ce qui concerne les redites… Je vois ça comme un hommage à ses épisodes précédents, donc ça ne me dérange pas. Et le nouveau TARDIS… Ouais, je VEUX !!! 😀

  3. Moi j’y ai vu le parfait compromis entre Donna et Rose, bref, celle qui nous donne à toutes envie d’être avec The Doctor.
    Et il est fantastique Eleven. Vraiment fantastique.

    J’ai hâte de mater la suite et vive Doctor WHO !

  4. L’épisode que j’ai du voir 5x en deux jours…
    Je me dit, tient je vais revoir ce passage et … impossible de décrocher.

  5. Tout pareil le:

    The Doctor: Okay. One more, just one: is this world protected? ‘Cause you’re not the first one to attack it. Oh they’ve been so many. And what you’ve got to ask is, what happened to them? Hello! I’m the Doctor. Basically, run.

    OHLORDY!!

    Cependant, avec le recul et les 3 semaines de reprise, ils ne m’ont pas encore eu totalement les newbies. Cela dit je n’attends que ça. C’mon mon petit Moff’, montre moi ce que t’as dans le ventre. *gnark*

    Et c’est pas pour dire, mais t’as le timing parfait pour l’évènement interplanétaire doctoresque de demain. (mais comme je ne veux point spoiler, je ne parlerais que devant mon avocat, toussa..)

  6. J’ai z’oublié: question métaphysique, tu penses quoi des nouveaux crédits? (perso, Disco Doctor Who, chépas c’qu’il avait pris le Murray dans son café, mais va falloir un petit temps d’adaptation :$)

  7. En fait la seule chose qu’il aime le Docteur c’est son Tardis, avec son "You sexy thing", ou "Thanks dear" quand il reçoit un screwdriver tout neuf. Pas étonnant qu’aucune fille puisse l’avoir 😀

    Bon sinon, merveilleuse review, j’avoue moi aussi l’intrigue j’y ais pas du toooout fait gaffe la première fois, trop excitée par cette entrée en matière, et ce n’est que quelques visions après que j’ai fini par trouver des détails…Mais franchement rhalala quel épisode, direct j’ai été sous le charme de Matt Smith, il est vraiment excellent quand même, se glisser aussi facilement et aisément dans la peau du Docteur (en même temps c’était pas le premier épisode tourné, mais le 4e ou 5e je crois), c’est assez incroyable. Pour Tennant, j’avais mis 4 épisodes au moins pour l’accepter. Et quelle alchimie avec Karen Gillan, c’est dingue. En tout cas Amy Pond c’est vraiment un personnage fascinant.

    La scène de la cuisine et à mourir de rire, même si bon, faut pas manger à ce moment là (fish custard urgh).

    En tout cas je n’ai pas été déçue, c’était vraiment fabuleux, même si l’intrigue avec le Prisonnier Zéro était un peu simpliste mais ça on s’en fout…

  8. Je pensais pas que je l’aurais accepté aussi vite Eleven (surtout qu’après le départ de Tennant, je le trouvais vraiment bof-bof) et en fait j’ai ADOR?? !
    Ce qui me l’a complètement vendu, c’est le passage de relais après l’hologramme de tous les autres Docteurs, quand il émerge de Tennant, j’étais wow ! *o*
    Et pis Amy, géniale ! Vraiment brilliant de nous la faire rencontrer en tant que petite fille, excellent ! <3
    Et pis, qu’il l’abandonne 2 fois, quel goujat ! Et à la fin de l’épi quand l’écran du Tardis fait un truc bizarre et qu’il l’éteint tout de suite, je sais pas, mais je pense qu’il emmène Amy pour ça, qu’il a un intérêt autre que "j’ai besoin de quelqu’un, tout ça" mais qu’il y a quelque chose autour d’elle… Il lui répond trop évasivement, je trouve !
    Bref, super reprise, trop trop emballée !

  9. Euh, pour l’interprétation sur l’écran de la fin que Eleven éteint, y a aussi que ce que l’écran affiche ressemble à une certaine fissure dans un mur.

  10. Ca m’a sauté aux yeux aussi, c’est exactement la même fissure que sur le mur d’Amy. Pas un hasard.

  11. Ah oui, et au sujet du générique, en fait je me rends compte que je m’en fous un peu. Je n’aimais pas le générique de base, donc ça m’est égal qu’il change ou pas. 😉

  12. Awww review whoesque! BONHEUR *v*

    Ah cet épi, ba j’en ai pensé quasi la même chose, l’intrigue extraterestre assez faible mais bon, c’est pas forcément ce qu’on attendait de toute façon, parce new doctor, nomdidiou!!!

    Alors bon Matt Smith, j’avoue, jai eu un ti peu de mal, cela dit il joue extrement bien et je mattendais à une transition bien plus dure. Après c’est vrai que pour moi c’est juste comme une complète autre serie quoi…Et alors le défilement des anciens doc avec Tennant, gné quoi. Juste un bug pendant quelques secondes mdr!

    Et alors le coup de foudre, Amy. C’est limite, si elle l’a carrément pas eclipsé le doc, par sa présence. Que ce soit la gamine ou Karen Gillian chapeau quoi! Parce qu’il y avait quand même Rose et Donna en tant que précédent, c’est pas rien!

    Et donc je l’adoooore. J’aime aussi comment elle est amenée…Le coup du douze ans plus tard, puis du encore deux ans plus tard. Il a déjà plein de truc a se faire pardonner des le départ mdr!

    Bref…ça reste doctor who de toute façon et ça reste génial…Il n’y a plus qu’à voir comment ça évolu tout ça *v*

    Merci pour la review. Contente que tu sois de retour ^^

  13. The Witch is back avec une rewiew du Doctor! Que demande le peuple?

    Pour cet épisode je dirai : Yaaaaaaaaaaaah, c’était trop bien! Matt m’a convaincue d’un coup (et j’adore son air, il a une tête complètement impossible… 😉 ), pareil pour Amy. Ce personnage me plaît beaucoup!
    Avec la patte Moff’ et des grand moments ("Are you going to turn your back? -Nope!" goooood girl!), magnifique entrée en matière.

    (Pour les baffes et Nine, je viens de revoir The Doctor Dances, et ouais. Il en impose le Nine. Mais Jackie avait prescription 🙂 )

  14. j’aime j’aime j’aime comment on voit les mêmes choses aux mêmes endroits

    et si j’ai adoré cet épisode pour les mêmes raisons que les tiennes
    je suis tombée raide in love du second, mon préféré sur les 3 pour l’instant
    et oui Amy, elle est fa bu leu se, c’est Rose et Donna 2en1, le rêve, avec un caractère bien à elle, j’adore

    et je me suis mise aux Confidential aussi, et whaouh, c’est top!

    (je suis amoureuse de Matt Smith, c’est officiel)

  15. En plus de tout ce qui a déjà été dit, cet épisode est blindé de répliques cultes: celle sur la fissure qui doit vraiment être terrifiante pour que la mouflette n’ai pas peur de cet énergumène, celle de "ou must never forgot one thing: i AM a crazy guy in a blue box", le "so basically: run", le "I am worse than any aunt, I am the Doctor"etc… So found of them!!!

  16. Excellente review Sorcière elle m’a bien fait rire 😉
    Et non moins excellent épisode avec un Eleven définitivement adopté (et pourtant non vraiment je n’aurais pas cru ça possible, pas du tout), tout frétillant dans son costume déchiré ! Ne parlons même pas du flamboyant caractère d’Amy et de sa non moins flamboyante chevelure… cette petite elle gère sa fougère !
    Mais enfin je dois le dire mon plus grand coup de coeur de cet épisode c’est la "régénération" du TARDIS qui mérite amplement son "oh you sexy thing" nooon parce que je la trouve vraiment magnifique !

    Beans are evil. Bad, bad beans !

  17. J’étais très réticente à regarder la nouvelle saison, j’avais de gros doute quant au nouveau Docteur et à sa nouvelle compagne.
    Finalement, je suis conquise par Matt, il est fabuleux. Digne successeur de David Tennant, il a l’air prometteur et je suis sous le charme. La saison a l’air vraiment merveilleuse et Moffat est toujours un géni.
    JE ne suis pas encore convaicue par la compagne par contre. Elle est peu trop greluche à mon gout. Mais il faut dire que Donna était vraiment géniale et ça sera dur de passer après elle.
    Comme Loulou, j’ai adoré les dialogues du Docteur sur cet épisode, en particulier sur les haricots 😀
    En ce qui concerne Nine, en effet, on aurait surement hésité à lui en coller une. Pourtant, Jackie Tyler l’a fait et c’était trop bien, de le voir s’en prendre une le grand 😀

  18. En ça, Matt est bien le digne héritier de David. On n’a jamais eu trop envie de baffer Nine (jamais on aurait osé, d’ailleurs), mais la petite trombine de Tennant appelait gentiment les baffes.
    ——

    huhu, je ne suis pas la seule à avoir tilté : Jackie a commis l’acte en question

    l’intro est géniale. Après l’avoir re-regardé, je me suis aperçu que j’avais totalment zappé la famille de la gosse. Elle ne dit pas de quoi ses parents son morts et elle prête à laisser sa tante pour "a crazy man in a blue box"

    Moi j’ai pas pu m’empêcher de penser à eight dans la scène du nouveau costume. Dans le film, le docteur avait lui aussi fouillé dans les casier d’un hosto pour se trouver des fringues. Manque de pot s’était un soir de 31 décembre, du coup il avait finit déguisé ^^. Le passage des dix incarnations avec eleventh qui passe à travers est juste grandiose. ça promet

  19. Youhouou !

    ??a y’est, je m’y suis mise, et me voilà donc de retour sur ton blog, déserté depuis trop longtemps parce qu’on ne suivait plus les mêmes séries?EUR?

    J’aime toujours autant te lire après un épisode qui m’a plu, ça prolonge le plaisir !

    Excellent tandem de mon point de vue aussi, à la différence près que moi, je sais très bien à quoi ça tient : Amy a du caractère, comme Donna, mais en plus elle est carrément mignonne, pas juste « charmante » comme l’était Rose?EUR? donc l’équation fait des étincelles, forcément, surtout avec ce nouveau docteur tout ce qu’il y a de plus croquignolet 🙂

    Oui, la midinette que je suis assume pleinement : je vais aimer soupirer après ces deux là 🙂

  20. Coooool !! 🙂

  21. Et ben pas mal du tout ! Il est bien ce Matt Smith. Il avait un vrai challenge à relever, et il assure ! Ca ne fera que mon 3ème Doctor Who de la journée, hein… 😀

  22. Tu commentes le blog d’une fille qui a regardé dix épisodes de BSG dimanche dernier avec une copine, donc si tu veux, tes trois épisodes de DW, ils me font un peu marrer. 😀

  23. Pliée ! tu me bas haut-la-main ! Mais hier, j’avais aussi deux petits garçons à gérer… ;-))

  24. On aura mis le temps pour y arriver, mais ça y est ! On est venus, on a vu, on est conkus ! (ça se dit pas comme ça ?) Eleven : j’achète !

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