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204 : Momentum deferred

Wé, zyva, Olivia, fous-y un pain ! Mords-y l’oeil à ce gros naze de shapeshifter moisi qui part en pièces !

Nan mais sérieux, vous avez vu comment elle assure, la blonde ? Moi, c’est bien simple, elle me donnerait presque envie d’être blonde ! A part Starbuck et Veronica Mars, ça faisait des siècles que j’avais pas eu aussi envie d’être blonde. Tenez, depuis que je chourrais les couteaux de cuisine de ma vieille pour me la jouer petite soeur de Rahan.

(Ben quoi, il avait peut-être une fille cachée un peu moricaude, Crao le Sage, qu’est-ce vous en savez, vous, d’abord, hein ?)

Enfin bref, tout ça pour dire que la belle Olivia qui s’en prend plein la tête, qui engloutit cul-sec le bon milk-shake aux asticots-comme-ça-ça-fait-la-viande-aussi de pépé Bishop, qui tient tête à M. Spock (sachant que celui-ci, en bon Vulcain, pourrait la terrasser avec seulement deux doigts) avant d’aller se coltiner les baffes survitaminées d’un métamorphe boosté au mercure (euh), hé bé moi, je lui tire mon bonnet péruvien.

Elle déchire, la petite dame. Je sais pas ce qu’Astrid a mis dans sa mixture, mais en tout cas, ça nous l’a mise en forme.

(Grosse pensée pour Jack Hodgins.)

En tous les cas, y a vraiment que dans Fringe qu’on bouffe du ver plat (environ soixante fois plus répugnant qu’un ver normal) pour retrouver la mémoire et je trouve ça génial.

Super épisode avec plein de réponses. J’en ai presque oublié Vancouver, même si en revoyant mes photos de cet été, je suis pratiquement sûre qu’ils filment énormément Pacific Plaza, dans mon quartier chéri de Yaletown. (D’ailleurs, dans le dernier épisode de SPN ou celui d’avant, je crois que c’est là que j’avais l’impression de m’être assise, c’te classe.)

Les flashbacks, assez rapidement amenés, sont excellents. Aller chercher Nimoy pour jouer le mystérieux William Bell, c’est quand même vraiment génial tellement à la base, il n’a pas l’air d’appartenir à notre monde. (En fait, si, mais pas vraiment. Enfin comme Nimoy, quoi. Qui a toujours un pied sur Vulcain.)

Et il est plus que parfait, papy. Même si je ne peux pas m’empêcher de le surveiller avec inquiétude tellement j’ai peur de le voir claquer sans prévenir.

William Bell : A storm is coming, perhaps the last and worst storm of all. And when it is over, I fear there will be little left of our world. The shape-shifters on your side are looking for someone, someone to open the door between universes. And if they find him, there will be no stopping them.

Han. C’est beau comme du Star Trek.

D’ailleurs, j’adore la manière qu’a la vieille bique de nous expliquer de manière simplissime ce qui est en train de se passer. (Genre parce qu’on est un peu des semi-crétins et que bon.)

*a tout bien compris*

Voilà. Que c’était bonnard, tout ça. Vous m’ajoutez à cette sympathique petite salade l’amourette de notre petit vieux que j’ai trouvé incroyablement charmante et voilà, quoi.

Superbe casting, une fois de plus. La dame n’était pas très agréable en vrai, mais à l’écran, elle déchire. Plus vraie que nature dans le rôle de l’ancienne illuminée qui suinte l’ecsta. Juste un poil dérangée, mais gentiment dérangée, comme on aimerait en voir plus. Et surtout, le fait qu’elle n’en veuille pas à Walter, au contraire, même, qu’elle ait gardé une telle tendresse à son égard alors que ça fait plus d’une saison qu’on voit les gens le traiter de fou dangereux, de monstre, c’était vraiment chouette et inattendu.

Ca l’étonne lui-même, pépé. Et la tête de son fils est collector. Eh ouais, gamin.

Rebecca : Oh, Walter, what you did… you made me special.
Walter : The truth is… I believe you were always special.

Bref, j’ai vraiment trouvé leur duo émouvant et vrai. Et quand Noble se met à jouer les Casanova un peu ravagés, demandant l’autorisation à son fiston de découcher, c’est irrésistible. Vraiment je salue le choix et le jeu des acteurs.

Pareil, la sortie de Kirk Acevedo est grandiose. Il a fait un super boulot, dans ces quatre derniers épisodes.

(Ouh que je suis contente de l’avoir vu sur le tournage alors qu’il était en train de boucler, du coup !)

Je suis vraiment triste que Charlie disparaisse, mais l’acteur s’en va par la grande porte. La scène où Olivia réalise que c’est lui, l’espion, est trépidante.

L’échange de taloches est monstrueux. Et flippant. Surtout aussitôt qu’on déballe les pétoires.

Cela dit, je ne désespère pas de revoir Kirk dans la série. Je suis sûre qu’il aura l’occasion de revenir hanter Olivia. Pauvre biquette. C’est super cruel de la confronter à la perte d’un autre collègue, le seul dont elle était vraiment proche.

(Stanley Park ???)

Décidément, j’adore la Fringe Touch. Avec les scènes WTF qui vont bien. Genre nous on est des as, vous voyez, on joue à la pétanque… avec des têtes de gens !

Vous en voyez beaucoup, des séries où on va se chercher une douzaine de thermomètres pour se recoller les yeux en face des trous, vous ?

Et ça, là !

Je… je… nan mais c’est énorme, quoi !

*s’éclate comme une petite folle devant Fringe*

Bon, encore l’épisode 205 à voir et la suite, ce sera pour le 5 novembre. Oubliez pas qu’on fait la pause du truc des dindes, là, comme dirait le Dark Side.
Et ne cherchez pas Supernatural cette semaine, d’ailleurs. Le prochain, c’est next week. Je sais, c’est chiant et long, mais bon. Il faut se dire qu’ils reviendront encore plus beaux et plus musclés !

Posted by on Oct 23, 2009 in Fringe | 3 comments

3 Comments

  1. Cela dit, je ne désespère pas de revoir Kirk dans la série.
    ———
    J’étais toujours sur Nimoy et Star Trek. Pendant une seconde, je me suis demandée où t’avais vu William Shatner.

  2. Arf… je peux comprendre !

  3. moi non plus je désespère pas de ravoir Kirk. Après tout il y a peu être un Charlie dans l’autre monde 😉
    J’aime bien cet acteur. Dans Oz, j’adorais les scènes avec lui. Son personnage était juste wahou! Dangereux, dingue et parfois touchant. Il y avait croisé celui qui joue Broyles d’ailleurs

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