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106 : The cure

Ah ah ! I knew it, mon cher Sigmund ! Je savais qu’après les petites insinuations de l’épisode précédent, on allait nous déballer l’enfance malheureuse d’Olivia Dunham. Oh, ça, on peut pas dire, elle a été bien gâtée, la petiote. Un beau-père violent, un flingue qui se trouve là, pan-pan, elle manque de l’occire. Manque seulement, hélas. Quoique… entre nous, Olivia… et s’il avait trépassé, tu ne crois pas que le problème aurait été autre ?

Bref, une grosse scène de déballage qui, par un heureux hasard, crée une connexion toute nouvelle entre la blonde et le ptit pète-couilles qui brandit son éducation à chaque fois qu’on lui fait une réflexion. D’ailleurs, il commence à drôlement la regarder, nan ?

Olivia : I had a stepfather. And when he drank, he’d accused my mom of seeing other men and then he’d hit her. And she just lived with it. She never called the police, not once. Then one day he beat her really bad and broke her nose. I was nine. He stormed out of his house, got in his car, drove off. My mom was crying, and I can’t help her. And then I hear his car : he’s turned back around. He kept the gun in the drawer near his bed. When he opened the door, I pulled the trigger. Then I pulled it again. And I can still see his face, almost daring me to finish. But I couldn’t. So they took him to the hospital and said that he couldn’t be saved, but he didn’t die. He recovered. And then one night he just slipped away. We never saw him again. And I still blame myself, because I should have done it, I should have killed him. And I know, that rationally he’s not responsible for all the bad things in the world. But he is responsible for some of them. And every year he sends me a card on my birthday, just to let me know that he’s still out there.
Peter : It’s your birthday today.

Bingo, darling ! Oui, joyeux anniversaire, Olivia. Spécialement pour toi cette année, une super enquête sur des dames-cobayes qui font la cuisine à distance ! Si, si ! Ces dames-là vous font bouillir le cerveau minute ! Très pratique quand plusieurs personnes s’invitent chez vous un soir de semaine et que le frigo est vide !

C’est comme ça qu’une de ces braves dames nous cuit à la coque la tête des habitués de chez Holly…

Bref, une chouette soirée, chez Holly !
Et puis comme je fais les choses dans l’ordre, eh bien je commence à drôlement bien l’aimer, moi, le générique. Je le trouve bien mignon, en fait. Et ça, on sait tous qu’un générique plaisant et qu’on attend avec impatience, c’est toujours mieux que trente secondes à une minute à soupirer en attendant que ça se passe.

A part ça, j’ai trouvé Walter très en forme. Très, très en forme. Ca lui réussit, la vie au grand air, à bon-papa, dites donc !

Broyles : Dr Bishop, any thoughts ?
Walter : Yes. When can I get one of these white suits ?

Il té dira voui !

Après ça, Walt nous fait péter Mr. Papaya…

Sous vos applaudissements.

Nous sort des répliques tout droit issues de la quatrième dimension.

Walter : This is it, Asterisk !
Peter : Astrid. Her name is Astrid !

Et a toujours de légers problèmes de repérage dans l’espace.

Walter : Olivia, did you lock yourself out again ?
Peter : Actually, Walter, this is our hotel.
Walter : Oh.

Ah, bref. Walter s’est surpassé dans cet épisode. Et de toute façon, j’ai beaucoup aimé la hargne d’Olivia pour sauver la dernière nana victime des tests…

(Scène incroyablement intense, j’ai bien cru qu’elle allait cramer, la meuf.)

J’ai adoré Broyles qui s’énerve (oui, enfin, autant que Broyles puisse s’énerver, quoi, bien à froid) parce qu’Olivia part en vrille.

Mais de quelle planète vient ce type ???

J’ai adoré aussi le boulot d’équipe. Je les ai tous trouvés mignons et bien dans leurs baskets ensemble, même Peter et Walter avaient l’air de bien s’entendre et d’être contents de bosser ensemble, pour une fois. Et j’ai trouvé que Peter et Olivia, sur le terrain, ils étaient très bons.

Et la rencontre de la vioque et de Peter était très chouette, j’avais complètement oublié qu’il y avait un lien entre ces deux-là, et je suis bien persuadée qu’il est plus important qu’on le pense.

Et après la petite scène mignonnette entre les deux loustics…

(Red alert ! Red alert !)

… eh ben Olivia qui trouve la carte d’anniversaire de son beau-père, glissée sous la porte qui plus est, vlan. La chape de glace.

Sinon, à mon avis, pour la saison 2, le Harvard de Vancouver est filmé à UBC, ce qui expliquerait pourquoi on est tombées sur le tournage quand on a visité le campus, et pourquoi on a trouvé tout le main cast… le raccord risque d’être un peu hasardeux, mais je suis sûre que l’Athena Academy fera parfaitement l’affaire.

(Et oui, j’ai bien vu l’Observateur derrière Olivia. Et je me suis rendu compte qu’il y a dans chaque épisode un indice visuel sur l’épisode suivant ! Wouhouh, c’t’énorme !)

Posted by on Août 16, 2009 in Fringe | 3 comments

3 Comments

  1. "Et je me suis rendu compte qu’il y a dans chaque épisode un indice visuel sur l’épisode suivant ! Wouhouh, c’t’énorme !"

    heiinn ? où ?! o__O
    J’avais bien aimé cet épisode où Olivia nous montre qu’elle peut avoir charmant caractère.
    Le générique est sympa je trouve aussi ; chaque fois je me demande si c’est Hannibal qui a posé sa mimine sur la TV.

    Bonne journée tous !

  2. Dans l’épisode précédent, je crois que sur le thermomètre de Walter, on voit le nom de la boîte qui fait les tests dans cet épisode. Et là, on voit une combinaison de lettres qui est importante dans l’épisode suivant. C’est là que j’ai percuté, en fait.

  3. Ouep, moi aussi j’ai commencé à aimer le générique vers l’épisode 6 ou 7 (heu, je dois en être au 8 là).
    Surtout la musique : http://www.youtube.com/watch?v=_...

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