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501 : Dying changes everything

Enfin, le voilà ! Vous l’avez attendu ? Et moi donc ! Dix jours que je ne tiens plus, que je trépigne, que je mange mes poings en attendant de pouvoir découvrir les nouvelles aventures du sick bastard et de ses compagnons d’infortune. Pas trop tôt !

Alors… est-ce que par miracle cette méchante gale-là aurait mangé un peu de bisounours pendant l’été ? Est-ce qu’il a profité des vacances pour potasser son petit manuel du parfait gentleman ? Est-ce qu’il est devenu aimable, sensible, caressant ?
Réponse : non, bien sûr ! Ah ah ah, pour sûr qu’on rigolerait moins si c’était le cas.
Notre traîne-la-patte est plus abject que jamais, et on le retrouve exactement à l’endroit où il doit être : en train de squatter la télé d’un comateux dont la main lui sert de porte-gobelet. Bonus-track : il est allé soustraire la console de jeux des petits leucémiques. Ben oui, on voit vraiment pas pourquoi ils auraient besoin de s’égayer sur ce genre de truc, ces sales mouflets tout déplumés. Hem.

C’est là qu’évidemment Cuddy vient le débusquer pour lui dire que non, il n’a pas le droit de s’occuper du cas de cette jeune femme qui a pété un câble parce qu’elle se croyait couverte de fourmis. Pas tant qu’il n’aura pas fait la paix avec Wilson qui revient après deux mois de grand deuil. Il n’en faut pas plus pour que l’affreux décide de se charger de cette affaire. Et comme il trouve que les New Kids sont un peu trop curieux, hop, il nous oute la Thirteen sur sa maladie. Excellent moyen de détourner l’attention générale.

C’est là que se produit LE truc qui va faire de cet épisode un épisode sans House : Wiwi démissionne. Wiwi est venu ranger ses petites affaires et préparer son baluchon. Wiwi s’en va. Et alors là, House, il est pétrifié. Comprend plus ce qui se passe. Comment ça ? Wiwi parti ? A pas possib’.

Eh si.

(Je soupçonne Wilson de très bien savoir la révolution silencieuse qui se passe chez le sick bastard à ce moment précis. J’espère même qu’il en profite tant qu’il peut. )

Alors, quand on est des Kids, comment on fait pour gérer un House qui est là sans être là, n’écoutant plus rien, trop occupé qu’il est à alimenter son obsession pour la vie privée de James Wilson ? Facile, chacun réagit à sa manière.
Foreman, comme d’habitude, boaf. Il s’en tamponne les amygdales. De toute façon, lui, il est déjà grillé, alors à part faire son boulot et se la boucler…
Taub, lui, nous la joue « Jamais sans mon boss », genre attendons qu’il redescende sur Terre et on verra bien. D’ailleurs, un peu plus tard, face à Cuddy désemparée par l’absence de House…

Taub : What do you want us to do ?
Cuddy : The same thing you’d do if he was here.
Taub : If he was here we?EUR(TM)d be asking him what to do.

Kutner, c’est monsieur Verre-à-moitié-plein. Ce genre de situation, ça le galvanise, ça stimule son imagination déjà bien fertile et il a douze mille idées à la seconde, souvent très bonnes, d’ailleurs.
La Thirteen, elle, se voit déjà calife à la place du calife. Cette ambitieuse madame y trouve l’occasion de montrer de quoi elle est capable. C’est pas parce qu’elle va crever dans une dizaine d’années qu’elle ne peut pas gérer son cas haut la main. Elle va leur montrer, à tous ces pète-roustons, ce qu’elle a dans le calcif.
Evidemment, à peine lancée, la voilà déjà en train de péter plus haut que son cul osseux, ce qui lui vaut un recadrage direct par le patron, justement de passage.

Pendant ce temps, on attend que House coure après Wilson. Qu’il se traîne à ses pieds s’il le faut. Qu’il le retienne, quoi. Allez, à quatre pattes, le boiteux !
Pensez-vous. S’il y a un chemin direct, on peut être sûr que ce ne sera pas celui-là que House ira chercher. Non, le voilà en train d’aller démarcher tout le monde… excepté l’intéressé. Faut-il qu’il soit aux abois pour aller supplier Cameron de parler à Wilson.

Scène impayable, d’ailleurs, où House nous fait une superbe démonstration de sa cruauté gratuite. Un gros, chic chic chic ! Vite, moquons-nous de lui, d’autant qu’il n’a aucun second degré.

Ensuite, c’est auprès de Cuddy qu’il s’en va ramper, cet imbécile-là. Cuddy qui mine de rien est bien plus indulgente envers lui que Cameron, mais qui ne peut pas s’empêcher de s’étonner du manque de culpabilité de House. Certes, il n’est pas coupable de la mort d’Amber, du moins pas directement, mais quand même, il pourrait faire l’effort de se sentir un tout petit peu mal, juste pour la forme.

Cuddy : You really don’t feel any sense of guilt ?

Et attention, réponse qui tue.

House : It’d be meaningless.

Wow. Il est bien atteint, quand même. De toutes les réponses, c’est juste la plus mauvaise possible. On te demande pas si ça a un sens, pauvre buse, on cherche à savoir si tu as un coeur !

En tout cas, l’effet de toute cette affaire sur House est incroyable. Oh, il ne travaille plus. Mais en fait, il ne peut plus. Il a bien du mal à penser à autre chose qu’à Wilson, alors ce goujat-là retourne son inefficacité contre Wilson sous la forme d’un chantage. Patiente dans les choux. Moi, je fais plus rien tant que tu défais pas tes valises. Odieux. Exactement ce qu’il ne faut pas faire avec Wiwi, mais bon. Visiblement, le boiteux boite complètement de la tête.
Et ce n’est pas le pauvre « you friendship means more to me than this patient » qui rattrape le coup. Ca reste quand même un affreux caprice, du genre à excéder encore davantage Wilson, à lui donner raison, même.
Et malgré les petites tentatives de Cuddy de les mettre dans une pièce pour qu’ils discutent, rien à faire, c’est kéblo de chez kéblo.

Chose amusante, Cuddy, qu’on pensait voir défendre Wilson, n’hésite pas à lui mettre dans la tête ses torts à lui. Interesting.
Et même Cameron, dont l’expérience la rapproche du pauvre Wiwi endeuillé, lui fait comprendre que ce n’est pas en fuyant que ça arrangera quoi que ce soit.

Cameron : You think the worst is over. And then… six months later you look back and you realize you didn’t know what you were doing.
Wilson : Are you saying the pain doesn’t go away ?
Cameron : It gets easier. Not in two months. Not in two years. But no, it never really goes away.
Wilson : Being here, this building… I was just in the lounge. I kept staring at Amber’s locker.
Cameron : I saw a guy wearing a scarf this morning. The color reminded me of his eyes. We lived 500 miles from here.
Wilson : I have to do something.
Cameron : Then do it. But don’t think it’s the right choice, because… there isn’t one.

Un discours qui tranche nettement avec celui de Foreman qui y va de ses petits conseils, lui aussi. Et qui a un tout petit peu tendance à projeter son propre fantasme sur le départ de Wiwi, si je puis me permettre.

Foreman : You should leave. House doesn’t want to lose his sidekick. Cuddy doesn’t want to lose her check on house. No one’s talking about what you want.
Wilson : It’s not that I want to.
Foreman : Want to, need to. If there’s any chance that being away from here will make your life even a little bit easier, do it. That’s what everyone else here would do.

Fuis, Wilson ! Pars tant que tu le peux encore ! Moi, je suis foutu, mais je vais essayer de les retenir !
Ah, ce brave Foreman, il ne change pas, il m’éclate.

Bon, pendant ce temps, l’infâme Thirteen joue à « miroir mon beau miroir, qui est la plus belle et la plus douée de toutes les gonzesses atteintes de la Chorée de Huntington ? »
Alors que les autres petits branleurs sont en pleine panique, elle se rapproche de sa patiente elle-même mourante mais en pleine crise de rédemption. Et en la convainquant qu’il y a moyen de donner un sens à sa vie même quand on va crever sous peu, elle tente, cette égoïste-là, de se convaincre elle-même, tant bien que mal.

Le pire, c’est qu’elle n’en a rien à taper, de sa patiente. Tant que celle-ci lui renvoie une image favorable d’elle-même, celle d’un médecin doué qui a encore un avenir, tout va bien. Mais lorsqu’il s’avère que son diagnostic est une foirade du début à la fin, ça va beaucoup moins bien. Cette faux-derche ne se réjouirait pas une seconde que sa patiente soit sauvée grâce au génie d’un House de passage. Bien au contraire, elle est vexée comme un pou et cela la terrifie de la voir faire demi-tour et repartir dans son ancienne vie de larbin d’une grande femme d’affaires. Elle n’a pas ce choix. Sa maladie l’isole du reste de la planète et ce n’est pas quelques tours de passe-passe avec une lépreuse dans laquelle elle se retrouve pendant quelques heures qui vont changer la sentence : oui, elle va crever, et ça change tout. Ultime leçon de papa House qui même s’il a la tête ailleurs n’en a pas moins tout suivi de loin.

House : I like you better now that you’re dying. (No kidding !)
Thirteen : I was wrong.
House : You took a shot.
Thirteen : She’s going back to work for that idiot. It’s pathetic. (Bien sûr… elle retourne bosser dans le giron d’une patronne tyrannique… what about you ?)
House : You thought something would change ?
Thirteen : She almost died because of that job. Yeah, I thought…
House : Almost dying changes nothing. Dying changes everything.

On dirait que la communication s’installe, ce que je trouve tout à fait inquiétant.

Bon, mais après cela, c’est House qui va se manger sa leçon dans les dents. Et oh… que c’est dur. Que j’ai souffert pour lui. Je ne sais pas comment il va pouvoir se remettre de ce que Wilson lui balance dans cette dernière scène. Personnellement, je serais effondrée.

House : I’m sorry. I know I didn’t try to kill her. I know I didn’t want her hurt. I know it was a freak accident. But I feel like crap, and she’s dead because of me. (Un épisode entier pour qu’il en arrive là. Si c’est pas du dernier ridicule… )
Wilson : I don’t blame you. I wanted to. I tried to. I must have reviewed Amber’s case file 100 times to find a way. But it wasn’t your fault.
House : Then we’re okay ? (Oooooh… ) I mean, I know you’re not, but… maybe I can help. (OOOOOOH !)

Wilson : We’re not okay. Amber was never the reason I was leaving. I didn’t want to tell you because… because I was trying, like I always do, to protect you. Which is the problem. You spread misery because you can’t feel anything else. You manipulate people because you can’t handle any kind of real relationship. And I’ve enabled it. For years. The games, the binges, the middle-of-the-nightphone calls. I should have been on the bus, not… you should have en alone on the bus. If I’ve learned anything from Amber, it’s that I have to take care of myself. We’re not friends anymore, House. (Et là, le pire de tout…. ) I’m not sure we ever were.

J’en suis restée aussi sans voix que House, complètement mystifié par ce discours qui n’a rien de haineux, par ailleurs… c’est sans doute ça, le pire. Il ne lui en veut pas, c’est juste qu’il s’en va. Mais en remettant en question toute leur histoire, rien que ça. En ébranlant toutes les bases sur lesquelles House a construit sa vie depuis des années.
Je sens que la suite va être passionnante. Maintenant que Wilson est parti, j’ai bien l’impression qu’on ne va jamais autant entendre parler de lui que dans les prochains épisodes. Et je sens que le flacon de Vicodin va en prendre un sacré coup.

Pauvre House. Il a superbement creusé sa propre tombe, dans cet épisode. Et c’est génial de réaliser que c’est Amber qui les sépare depuis l’au-delà, grâce à l’héritage qu’elle a laissé à Wilson. « I can take care of me. I need you to take care of you. »
Il est beaucoup question de reflets, dans cet épisode. Tant que House renvoyait à Wilson une image favorable de lui-même, celle d’un bonhomme serviable, doux, patient, leur amitié était indestructible. Et puis l’image s’est transformée à travers le miroir d’Amber. Aujourd’hui, l’image de Wilson que lui renvoie House lui fait horreur. Et il percute enfin qu’ils n’ont rien à faire ensemble. Ce qu’on se dit depuis le début, d’ailleurs.
Pareil pour Thirteen qui se détourne à une vitesse hallucinante de la patiente avec laquelle elle avait pourtant forgé des liens, au point de lui confier son secret, lorsque celle-ci ne lui renvoie plus le reflet qu’elle voulait voir d’elle-même, pour aller bouder toute seule dans son coin.
Edifiant.

Bon… j’ai trouvé ça très long, je ne vous le cache pas. Difficile de suivre à la fois les errances de House, le deuil de Wilson, la lépreuse, la Thirteen et les Kids tout largués. C’est un épisode dont les coutures craquent de tous côtés et ce n’est pas forcément ce qu’il y a de plus agréable. D’autant qu’il y a vraiment beaucoup, beaucoup de personnages secondaires, maintenant. Mais je pense qu’il va bien relancer la nouvelle saison, si j’en juge par le deuxième épisode que j’ai trouvé excellent. La suite bientôt, donc.

Posted by on Sep 26, 2008 in House M.D. | 13 comments

13 Comments

  1. Enfin, la très très attendue review 🙂

    Ce que je trouve formidable avec cette série c’est que plutôt que de nous chercher des intrigues différentes avec les mêmes personnages à chaque saison, ils hésitent pas à briser leurs propres conventions (le départ des Kids en saison 3, et là le départ de Wilson) et à faire évoluer House. On découvre qu’après 4 saisons le héros a encore beaucoup de choses à apprendre sur la vie et ceux qui l’entourent. Ce qui fait que l’on regarde encore et toujours, car on sait que ce sera vraiment une saison nouvelle.

    Le discours de House et de Wilson est horrible. Horrible pour Wilson qui malgré tout ce que lui a fait subir son ami-bourreau, trouve encore un peu de patience et d’amour pour lui essayer de lui cacher qu’il n’en peut plus. Et horrible pour House qui s’il est si cruel c’est parce qu’il ne se rend compte pas de la peine qu’il lui cause. Il a encore 8 ans d’âge mental et découvre seulement maintenant que le monde ne tourne pas autour de lui. Enfin.

    Thirteen est peut-être un bon médecin mais une très mauvaise amie. Quand on est gravement malade et qu’on réfléchit sur le sens de sa vie, on s’en tape un peu que notre médecin a une maladie très grave et qu’il veut que sa vie ait de l’importance. Tu as parfaitement raison, quelle égoïste.

    (Cet épisode m’a donné envie de revoir la saison 2, pour voir le bout de chemin parcouru par House, et pour comparer Cameron et Thirteen qui n’ont plus grand-chose en commun dans mes souvenirs.)

  2. Thirteen est une fausse Cameron, en fait, et tant mieux. Ca me permet de bien plus apprécier Cameron, en fait. Sinon, je trouve que malgré les quatre saisons qu’on a dans les jambes, les réactions de House, tout en étant parfaitement « in-character » parviennent encore à nous surprendre. Je suis sûre que les personnages de Wilson et House vont être explorés à fond, cette saison. Ce serait vraiment chouette.

  3. J’ai adoré cette reprise, moi 🙂 je redoutais un peu d’être déçue (pour des raisons dont j’espère avoir l’occasion de te reparler?EUR?), alors du coup quelle bonne surprise que cet épisode qui nous remet directement dans le bain. La scène de Wilson vidant son sac est effectivement difficilement supportable, on se met tellement à la place de House, qui perd à la fois un ami et la possibilité de se consoler au moins avec des souvenirs puisque Wilson lui fait bien comprendre que depuis le début, il y a maldonne?EUR?
    Dans « Quand Harry rencontre Sally », pendant un match de baseball, Harry raconte sa rupture avec la réplique finale de sa fiancée qui est « je ne sais pas si je t’ai déjà aimé un jour »?EUR? Bizarrement, ce qui me faisait rire dans « Quand Harry rencontre Sally » est bien plus difficile à digérer dans « House »?EUR? peut-être parce que nous aussi, comme House, on y a cru, l’air de rien, à cette amitié improbable ?

    Bref, je suis ravie ! Et la reprise de tes reviews de House ne me déçoit pas non plus, toujours aussi en verve 🙂 Vivement la suite !

  4. Pfouuuu le discours de fin…. Dans quel état va être House après ça ??? Et comment ça m’a surpris le "where is he ?!" et là on le voit partir tranquilou… Ohh et comment Cuddy l’incendie aussi c’était pas mal… Bref j’ai adoré c’est vrai qu’on a mal pour lui à la fin quand même.

    *Attend les sous-titres du 502"

  5. Merci, Clot. Ca n’a pas l’air, mais c’est pas facile de se remettre dans le bain, surtout que House, c’est assez différent des autres séries, pour moi… Je suis curieuse de savoir pourquoi tu appréhendais cette rentrée. 😉

  6. Magnifique review pour un épisode magnifique!
    J’ai trouvé la dernière phrase de Wilson d’une grande cruauté même dite sans colère, de manière étrangement neutre. Wilsonniene dans la forme, mais d’une violence inouie dans le fond.
    Il y a qq saisons, Wilson suggérait à House que "People are better than pills" : entre Stacy qui se barre alors qu’House ne tient même pas sur ses jambes et Wilson qui lui ôte toute possibilité de se raccrocher à des souvenirs de leur amitié en lui disant clairement que celle-ci n’a jamais existé, House est en droit de réaffirmer le contraire et de se consoler avec ses Vicodin et son scotch.
    D’un autre côté, le sick bastard n’a jamais été aussi sick dans son attitude que maintenant. Sa carapace est encore plus blindée que dans les saisons précédentes : la scène où il est avec Cuddy dans son bureau est épatante à ce titre. Seuls les yeux de Hugh Laurie révèlent ce qu’il pense vraiment, mais s’interdit de formuler et planque sous un cynisme puissance 15 et une attitude nettement plus à chier que d’habitude.
    Un épisode dur à digérer, également parce que dans les autres saisons on pouvait toujours compter en cas d’épisodes difficiles sur le hâvre de paix wilsonnien.
    Côté autres perso, 13 est cliché-esque à fond et c’est pénible. Les personnages récurrents féminins manquent trop souvent de nuances dans House. Lisa Edelstein arrive à rendre Cuddy intéressante car elle joue extrêmement bien…ce qui, à mon avis, n’est pas forcément le cas des deux actrices incarnant Cameron et 13.
    La suite de l’arc Wilson promet d’être splendide en tout cas!

  7. J’ai envie de revoir l’épisode maintenant.
    Par contre qu’est-ce que me soule 13. Maintenant j’en suis convaincue à 100 % Olivia Wilde est une erreur de casting. Déjà que le personnage est fatiguant, l’actrice empire le tout. La scène où elle se révolte contre la patiente aurait du être "sa scène" et bah non. Elle arrive à faire passer aucune émotion.
    Pour House & Wilson je n’ai plus rien à rajouter, vous avez tout dit.

  8. Tiens, Hugh Laurie est "executive producer" du 2e épisode. Son implication et son salaire ont dû augmenter.

  9. Il a surtout signé un contrat bien juteux jusqu’en 2012… 😉

  10. Pfouuuuuu ! J’attends avec impatience ta review de l’épisode 2 !!! Y a tellement de choses à dires !!! C’est juste impressionnant !!! J’ai hate de voir ce fameux spin-off aussi lol…

    Vite vite vite !

  11. Interesting. (pour les nuls = euphémisme)

    C’est brillant. Je n’aurai jamais cru au début que l’on aurait pu faire durer la série jusqu’à 5 saisons, tout en la gardant fraiche et intéressante. Et pourtant…

    Question : elle était tout le temps là, l’affiche de Vertigo dans le bureau de Wiwi ?

  12. Ouaip, je l’ai remarquée dès le début et il me faut la même.

  13. Moi aussi, justement. 😉

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