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309 revisité (a.k.a "Unfinished Business" version longue)

(Je sais que beaucoup d’entre vous se demandent : « Mais pourquoi la Sorcière n’a-t-elle pas encore reviewé la version longue d’Unfinished Business que c’est un de ses épisodes préférés ? » Eh ben figurez-vous que le manque de temps y est pour quelque chose. Et maintenant que j’ai le temps, eh bien la sidérante bourrique que je suis s’est rendu compte qu’elle a un peu supprimé le joli fichier mis bien au chaud il y a quelques semaines. Alors j’en profite pour remercier mon fournisseur, les mails et les coups de fil d’hier suite à mon appel au secours. Meurci, les gens. C’est parti ! Faites des provisions pour la route, ça va être long et pas forcément très intéressant. Mais au moins, il va y avoir de la belle capture d’écran. Pour info, la review officielle est toujours ici.)

Hé bé. Ca fait bougrement bizarre, après avoir vu l’épisode d’hier matin (« Faith ») de se replonger dans l’ambiance de New Caprica. Déjà qu’à l’époque, ça faisait cinq épisodes qu’on en était partis et que ça faisait bizarre. Là, j’ai juste l’impression de me replonger dans une autre série, d’autres enjeux. Et l’insouciance qui illumine les scènes de New Caprica m’a vraiment serré la gorge. On voudrait tellement qu’ils puissent revivre ça. Vite. Avant qu’ils n’en soient plus capable, humainement.

Et puis se rendre qu’on connaît par coeur les répliques du previously.
Le « not all of them » de Saul. Le « there is nothing here » de Kara…

Alors pour moi, cette version longue, ce n’est pas franchement une version longue, plutôt une réinterprétation de cet épisode. Une autre manière de l’appréhender. Plus riche, plus profonde, mais aussi, à mon grand étonnement, beaucoup plus violente et frontale, et ce en tout.

J’ai bien aimé l’intro, un peu à la « Kobol’s last gleaming ». Entre Adama les pieds et les mains dans le sable… oh, pardon, dans les dépôts alluvionnaires.

Et la truffe au vent.

Lee complètement à la ramasse en train de se faire méchamment esquinter par Helo, tout en pensant à son réveil sur New Caprica…

Et Kara qui essaye d’oublier sa nuit sur New Caprica avec Sam.

Apparemment ça marche moyen.

On s’amusera à noter que quand elle couche avec Baltar, elle pense à Lee, que quand elle quasi-couche avec Lee, elle pense à Sam et que quand elle couche avec Sam, elle pense à Lee. Bref, il n’y a que quand elle couche avec Lee qu’elle ne pense à personne. Youhou ! Ca fait le tour, là-haut ???

Donc, dans cette version, pas de place à l’imagination, on capte tout de suite ce qui se passe. Y a plus qu’à attendre de découvrir dans quelles circonstances.
La version longue, c’est aussi l’occasion d’accorder une place plus grande à cet indigne paillasson, j’ai nommé Anastasia Dualla. Bon, à l’époque, je l’avais plainte, la malheureuse. Mais alors en voyant ça, je ne la plains plus du tout ! Ah ça, ça prétend épouser un homme en toute connaissance de cause, prendre ce qu’il y a à prendre et s’effacer le moment venu. Ben alors ? Qu’est-ce qu’elle attend pour faire son paquet, bobonne ? Hein ? Ding dong, c’est l’heure !

Enfin. Ca m’a pas mal amusée que dès le début, elle tente de demander à Adama d’annuler la soirée boxe.

Et celui-ci qui répond à sa belle-fille que non, non, ça fera du bien à tout le monde. A tout le monde sauf elle, mais on s’en branle, ahahahahah !

En fait, je crois que j’ai bien aimé le fait que cette version soit encore plus intransigeante envers les époux bafoués. Envers Dualla qui est omniprésente, et envers Sam qui en prend, mais plein la poire, avant que Kara ne lui balance ses pompes à la gueule.

(Attention les yeux… )

Alors quand Sam dit à Kara qu’au fond, ce n’est peut-être pas lui qu’elle veut (Allô ? Je suis un FF mais je n’ai pas pour deux sous de jugeotte !), celle-ci lui répond que oué, bon ben hein, si c’est ce que tu crois, moi, j’ai ni l’envie ni la patience de te faire changer d’avis. Et casse-toi de mon pieu, merci, au revoir.

Quelle… sa… lope.

Par contre, il m’a manqué l’arrivée de Kara, la musique merveilleuse à ce moment-là, et son sourire tout fier quand elle aperçoit Lee… en train de se faire rosser, ma foi. Le montage est totalement différent. Les angles sont nouveaux. Et on le remarque très bien quand on connaît cet épisode aussi bien que je le connais.

Kara est encore plus haïssable dans sa provoc.

La version étendue de la scène « bit off more than you could chew » est plutôt pas mal parce que Lee a l’occasion de passer pour autre chose qu’un gros loser qui vient de se faire mettre KO par Helo et qui fuit la confrontation. J’aime bien le fait qu’il lui dise qu’elle n’a qu’à aller chercher Anders si ça lui chatouille les narines. Et il capte très bien la réaction de Kara. Pas fière.

Lee : Oh. Trouble in paradise. (Joliii !) Now why doesn’t that surprise me ? (Ouh, comme c’est petit, mais comme c’est bien envoyé !)
Kara : Yeah, well maybe if you would’ve found us both a billet, we wouldn’t be living on two different ships, huh ?
Lee : I don’t believe this. You’re blaming me for your frakked up marriage ?

Kara : Didn’t really help it off to a good start now, did ya ?

Zyva, pas très convaincante, la gonzesse ! Elle dit ça et elle a le nez sur lui qu’elle crève juste d’envie de le toucher. Sérieux, elle le veut tellement que j’en ai les rétines qui fument !

Bref, ça parle « cul » très vite, en fait. Autant la version courte est moins franco de port, autant la version longue fait valser les calcifs. Et alors, grand moment de rigolade pour moi quand juste après cette scène bouillante, la bourgeoise débarque pour bisouiller son gladiateur, qu’il se retourne, la regarde du haut en bas comme en se demandant c’est qui, et semble se souvenir que, ah oui, il est marié !

Sinon, dans la version courte, j’aurais adoré voir Helo et Lee se serrer la main en potes et se féliciter de leur combat. C’est vite fait, mais j’adore le respect qu’ils ont l’un pour l’autre.

Enfin, Dualla voit très vite le danger arriver.

Demande à son apollon de mari de rentrer au logis, ce qu’il refuse, arguant qu’il a un truc à régler et qu’y en a pas pour longtemps. Ensuite, on nique, promis.
C’est assez bizarre de voir Dualla prendre une part aussi active à l’intrigue. Se permettant même de donner des leçons à son mari, remarquant sans doute que quand Kara monte sur le ring pour étaler Hot Dog (un mystère qui ne sera jamais résolu), il est tendu comme un string.

Duall : When I was 6 years old, there was this boy in my neighborhood, he used to wait for me after school and knock me down. Know what my mom told me ? It wasn?EUR(TM)t because I pissed him off. I wasn?EUR(TM)t too much older when I realized that the other side of hatred is love. It was passion.

Ben alors ? Qu’est-ce tu fous là, nigaude ?

Hop, on bascule sur New Caprica où pareil, ça se cherche à mort. Et où cet heureux crétin d’Anders commence à se beurrer consciencieusement, sans savoir qu’en abreuvant Lee et en s’imbibant de la sorte, il est en train de vendre sa meuf. Ah ça, c’est un malin dites donc.

Discours de Baltar.

Kara : Your fly’s open.
Lee (très choqué) : Shut up.
Kat : Irf irf irf.

Intéressant de voir que tout le monde semble totalement au courant de ce qui se passe entre ces deux-là. Les époux, les pilotes, même ce vieux Tigh, pas dupe pour un sou. C’est une vision totalement différente.

A part ça, un vrai cimetière ambulant, ce discours…

S’ensuit une grosse marrade entre FF alcoolisés.

Et Kara qui s’inquiète parce qu’Ellen, bien atteinte également, lui explique qu’elle a toujours rêvé de se taper une star du ballon.

Tout ceci est très drôle. Même si le spectre de la résistance n’est pas loin. On a même envie de se dire que c’est ici qu’elle plante ses racines. Super bizarre. Mais c’est plaisant à voir. Ca donne une logique et une épaisseur à l’histoire des FF qui est tout à fait remarquable. C’est immensément intéressant. Franchement, j’adore. Il ne manque que Tory.

J’ai beaucoup rigolé en m’apercevant que c’est Felix qui vient enlever Dualla à Lee, pour une danse.

The ultimate CIC couple. Tu ne peux rien faire contre ça, Lee !

Beaucoup aimé aussi le fait qu’on se rende compte que ce que Kara a de plus proche d’une vraie amie, c’est Athéna, qu’elle le veuille ou pas. Athéna qui porte sur ses aventures le regard paisible et amusé d’une femme mariée et sûre de son choix. Et qui a très bien compris que ça se jouait entre Sam et Lee. Et puis réveiller un peu Zak d’entre les morts, c’est pas mal non plus. C’est même tout à fait indispensable pour aller au delà.

Kara : He’s been making the same mistakes since the day he met me.
Sharon : When you were with Zak ?
Kara : Yeah. And now I’m with Sam.

I knew it.
Je l’ai toujours dit ! Je le savais ! J’en étais sûre !

Et pendant ce temps, Dualla fait la comédie.

Dualla : I don’t want you to fight her.
Lee : Dee, this has nothing to do with us.

Putain, je te le traînerais jusqu’au domicile conjugal par les couilles, moi !

Rebelote New Caprica, et une longue, longue scène de danse. C’est pas mal foutu. Lee au taquet, le caleçon prêt à exploser, qui guette Kara. Les préliminaires sur la piste de danse. Et quand ils se croisent, hop, le temps est comme suspendu. S’il la touche encore une fois, il la couche par terre d’office.
Et c’est là que le truc de malade se produit. Dualla (qui doit être un bonnet de nuit pas possible) décide de rentrer préparer ses affaires pour emménager à bord du Pegasus. Lee tente de la convaincre de rester, la tire…

Mais non. Elle a pourtant été témoin des regards de braise que se lancent les deux lascars, sans parler de l’oeil de rapace que lui a balancé Kara pendant la danse, genre « Yeah, bitch, the commander’s all mine » (juste énorme), et pourtant, elle le laisse là, avec sa bénédiction. Elle le récupérera le lendemain.

Cette femme n’a pas toute sa raison. A moins qu’elle ne l’ait trop. Je ne sais pas. M’enfin faut pas s’étonner du retour de bâton, ensuite.

C’était déjà dans la version courte, mais j’adore le regard gourmand de Kara quand Lee vient l’abreuver.

Slurp.

Entre deux, on a une grande scène très délayée entre Roslin et Adama. Et là d’un coup, Pops se met à chanter et Mams pouffe. Avant de sortir un formidable « life’s a bitch and then you die ».
Oh my Gods, am I still watching Battlestar Galactica ???

C’est super chou. On les imagine bien là, toute la nuit, à papoter dans les bras l’un de l’autre, jusqu’au petit matin. On a tous fait ça, non ?
Le parallèle avec les deux autres qui savent très bien où ils vont et qui cherchent juste un moyen d’y aller sans que ça fasse trop de bruit est édifiant.
Et pareil, à ma grande surprise, toute la séquence pré-baise est bien rallongée, et même totalement remontée. Et Lee qui demande s’il est dans la cuisine, là, et que non, pas du tout, t’es dans la chambre, mon coco.

Aaaaaah, nan surtout pas imaginer ça, je ris jaune, très jaune, et nous ne sommes pas lourdingues du tout.

Bon, on baise ?

Blablas rallongés, ça tourne encore plus autour du pot. Quand Lee lui demande si c’est vraiment avec Sam qu’elle veut faire sa vie…

Kara : You got someone in mind… Lee ?
Lee : Tell me you’re not afraid that I’m not gonna come along and upset your neat… little applecart. (J’adore cette image !)
Kara : Maybe I want it upset.

(Du coup, les raccords ne sont pas toujours gégés… )

Le résultat étant celui qu’on connaît.

Hop, encore une rallonge pour le « I love Kara Thrace and I don’t care who frakking knows ». Et je me surprends encore une fois à me marrer en voyant Katee se rouler par terre.

Et puis une fois que Kara a elle-même braillé son « Kara Thrace loves Lee Adama » arrive la conversation qui m’avait pas mal manquée durant la version courte et même durant la série tout entière. Que Lee admette qu’il l’a dans la peau et que le fait de le dire à haute voix (et même de le hurler au monde entier) lui permet enfin de s’en rendre compte. Ptain, gars, trois saisons pour ça, scuse, mais tu nous as quand même bien gonflés.

Kara : Are you sure I’m what you want ? (Mais oui, bourrique !)
Lee : Yeah, you’re what I want. I don’t think I really knew it until I said it up loud just now.
Kara : Why ? Because of Zak ?

Bien ouej. Du coup, ça, c’est réglé.
Et puis aussi, merde, ça m’avait manqué qu’ils ne se le disent pas en face, les yeux dans les yeux. C’est facile de crier ça sans regarder l’autre, mais là, c’est fait, c’est dit.

Lee : I love you, Kara Thrace.
Kara : I love you too.

(Et je suis bien persuadée que le fait que cette version longue soit sur un DVD qui sort au moment du début de la saison 4, ce n’est PAS un hasard.)

Le meilleur arrive.
C’est vraiment chouette d’enchaîner par une scène d’un sordide et d’une vulgarité aussi fabuleux.

Dualla : Why are you too even fighting ? Why don’t you just get a room ? (Holy frak ! La dame est énervée !)
Kara : Been there done that.

Et c’est là que Dualla comprend tout.

Et que Lee pète une pile, ce qui arrange bien Kara.

Lee : You motherfrakker !
Kara : Hold that thought, okay ?

J’ai trouvé cette scène de lavage de linge sale en public d’une violence incroyable. On se demande comment ces deux personnages peuvent en arriver à une telle explosion de haine alors qu’ils avaient enfin réussi à se trouver et à s’avouer qu’ils s’aiment…

En fait, je trouve que le petit matin de Kara qui retrouve son Sam vautré le nez dans la poussière, en train de cuver, en dit très long.

Et son petit froncement de dégoût aussi. Non, pour sûr, celui-là ne la rendra pas meilleure.

Et qui l’envoie directement dans les bras de Sam ? Un FF bien sûr.

Et oui, Saul a raison. C’est leur premier verre ensemble et c’est une grande occasion.

Kara : I slept with Lee last night.

Roh, le fou rire de Saul et l’air outré de Kara, j’en ai ri comme une bossue !

Kara : Would you stop it ? It’s not funny ! It’s not ! I’m such an idiot…

Et évidemment, en évoquant l’instinct de survie, sans doute sans en avoir conscience, il l’envoie épouser Sam. Tellement logique que c’est à pleurer.

Et encore un gros détour, donc, vers l’inévitable. Parce qu’entre nous, ça ne fait plus de doute, hein.

Pauvre Lee. Revoir cette scène, à chaque fois, ça me tue.

Pour le final, on a droit à une version totalement repensée du combat entre Lee et Kara. Cette fois, avec fond sonore. C’est-à-dire que ces deux abrutis se parlent, ou plutôt se crachent dessus puisque soyons clairs, avec les protège-dents, c’est quand même pas gagné. Je trouve ça tout à fait naze, mais ça m’a fait marrer de voir Lee balancer un « truth stings, don’t it » à Kara, auquel elle répond un furieux « you frakking hypocrit ». Ca rend la chose encore plus brutale.

Et avant qu’ils ne tombent dans les bras l’un de l’autre, LA scène impardonnable. Celle de la demande en mariage.

Et là, j’admire Jamie Bamber. On dirait que son personnage vient de passer sous un rouleau-compresseur. Il est anéanti. Sans mentir, il a l’air physiquement encore plus amoché que celui qui est en train de saigner à blanc sur le ring. Incroyable.

Je n’en reviens pas qu’il ait le toupet de demander la main de Dualla… et encore moins que celle-ci lui confie qu’elle sait très bien qu’un jour, on viendra l’enlever à elle, que ce soit les cylons ou Kara, mais qu’en attendant, oui, elle veut bien l’épouser, en toute connaissance de cause.

Et c’est comme ça qu’on comprend pourquoi Lee ne veut pas la tromper. Je crois qu’il est tellement scié qu’elle puisse accepter de l’épouser dans ces conditions… Ce genre de martyr, à Lee Adama, ça lui parle. Et surtout, il adore ça.

Quel cirque.

Dans la version longue, ce qui m’a plu aussi, c’est qu’on voit bien qu’à la fin du combat, Lee a parfaitement compris où Kara voulait en venir en le provoquant. Puisque c’est lui le premier qui fait le geste d’y mettre un terme en l’attirant vers lui.

Elle, elle lui remettrait bien encore quelques bourre-pifs.

Et puis après le « hug » qui met un terme à l’épisode version courte, la version longue nous propose un petit bonus.

(Et là, je me suis dit : « Nan, ils vont pas s’embrasser comme ça, quand même ! » Non, ouf.)

Evidemment, Cry-me-a-river-Lee nous fait le coup du « bouhouhouh » de soulagement et s’effondre comme une fiotte en emportant Kara avec lui.

Et ces deux crétins finissent l’épisode en rigolant nerveusement par terre.
Inutile de dire que je préfère nettement la fin de la version courte, tellement plus simple et adorable. Mais voir Lee et Kara finir en rigolant, ma foi, ça leur ressemble aussi.

Bref, voilà. Je suis quand même restée sur le cul hier soir. Impossible d’en décrocher tellement l’intensité est là. Et tellement c’est juste beau, quoi. Les images sont belles, les personnages sont magnifiques, tous autant qu’ils sont, même Adama ensanglanté… Allez, pour le plaisir.

(Pas pu m’empêcher de me dire que si le combat avait eu lieu dans la saison 4, il se serait pris une de ces dérouillées ! )

Enfin, j’ai été très surprise de découvrir encore tant de couches inexplorées dans la relation entre Kara et Lee. Je ne m’y attendais pas du tout. Et je me rends compte que je les avais vraiment bien cernés passé le WTF de la saison 1 où je n’avais rien vu venir !

Bon, je crois que maintenant, on est tous d’accord pour dire que ce sont des âmes-soeurs, hein. Y a pas à tortiller. C’est ensemble ou rien du tout.
Comme il me tarde de savoir ce qui les attend, tout au bout du chemin.
Et comme leur créateur doit les aimer, ces personnages, pour leur offrir une version parallèle de leur épisode.

Bref. C’était très fort. La version courte restera la version référence, pour moi, plus fluide, plus gracieuse, mais je ne suis pas près d’oublier la complexité, la tendresse et la brutalité de la version longue.

Et comme le dit Kara une deuxième fois sur le ring : « I guess this makes things more complicated. »
Sans blague…

11 Comments

  1. Faudra que je le revoie un de ces jours, je ne l’ai vu qu’avec le commentaire audio pour l’instant, donc pas aisé de tout suivre…

    Le lavage de linge sale… Enormissime.

  2. Grande claque. Plus que le « sloppy seconds ». La gueule de Dualla et la rage de Lee. Pas souvent qu’il nous sort ce genre d’insulte. Et Dualla qui leur dit de se prendre une chambre… ptain, atroce. Je ne sais pas comment elle peut vivre là-dedans, c’est dégoûtant. Beurk.

  3. un petit HS:

    "Dualla" : Candyse apparait dans les episodes 15 et 16 de Reaper (Devil vs Sorciére?)

  4. Si Dualla accepte autant de choses de la part de Lee, son infidélité tout ça, ce qui te fait la traiter d’un paillasson, c’est parce qu’en réalité elle n’est pas amoureuse de Lee…

    Depuis le début, je suis fondamentalement convaincu qu’en réalité, c’est William Adama qu’elle aime. Et qu’elle s’est contentée de "the next best thing", à savoir le fiston.

  5. Ouaip, ça fait longtemps que je me dis ça aussi…

  6. Il suffit de voir le nombre de fois où elle reproche à Lee de ne pas plus ressembler à son père…

    Au fait, cette version longue d’Unfinished Business, tu l’as trouvé via un cousin américain, ou bien il existe une version distribuée chez nous ?

  7. Pas de version chez nous à ma connaissance…

  8. C’est en voyant ta review que je me suis souvenue qu’il me fallait le regarder ! Des fois je suis bête !!

    Dee prend une autre dimension dans cet épisode : elle sait qu’il aime Kara et l’accepte quand même, pour vivre au maximum le temps qu’elle pense vivre encore, au vu de la situation. Elle aura quand même eu plusieurs mois de bonheurs en récompense la pauvre choute.
    Sans parler qu’elle doit sacrément en pincer pour le vieux. Enfin Bill quoi 🙂
    Elle aurait mieux fait de l’attendre 🙂

    Kara et Lee. Lee et Kara. Ils en auront mis du temps à se réaliser, à réaliser leur destinée, mais surtout à l’accepter. Lee comme un gosse hurle qu’il l’aime. Ce n’est pas un amour adulte, c’est un amour adolescent. Et je pense que c’est ça qui fait reculer Kara. Elle a la frousse devant cet amour.

    Quant aux final fours, l’épisode leur donne une bien meilleure vision. Surtout le combat avec le chief et Bill. Il faudrait que le chief se rappelle de ce "discours"… histoire de s’accepter.

    Braif.

  9. Moi je pense que c’est tout sauf adolescent. Ce qui est adolescent à ce moment-là, c’est sa décision de se marier… avec un grand adolescent…

  10. Non je m’exprime mal.
    C’est un amour dangereux pour elle car "étouffant" en quelque sorte. Tu vois ce que je veux dire ou pas ?

  11. Ouais, l’amour tout court, quoi. End of line.

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