312 : Par avion

Han les connaaaaaaards ! Comment ils nous sortent des trucs venus de nulle part sans prévenir !

Ca va parce qu’à un moment, je l’ai clairement senti venir, mais tout de même.

Bon, je n’ai pas envie de m’appesantir sur les délires de pigeons voyageurs de Claire, c’est mignon, tout comme elle, mais si elle croit que ça va lui permettre de quitter l’île, j’ai bien peur qu’elle ne soit déçue, la pauvre enfant.

Charmant mais désespérant. Je ne parle même pas de ses querelles de vieux couple avec Charlie. Cette petite a encore beaucoup de choses à apprendre. Surtout que Charlie est sans doute sa seule chance de se faire sauter sur l’île, donc bon, à ménager, quand même, ça peut servir.

Bref, une chose qu’on ne peut pas lui enlever…

… c’est qu’elle a des yeux fabuleux, irréels, presque…

Par contre, la version goth qui vient de tuer sa mère en voiture est assez moyenne.

Pauvre fille, tout de même, surtout quand on découvre qu’elle était en train de se prendre le chou avec sa reum au moment de l’accident… C’est le cauchemar, vraiment…

Mais quand le toubib a dit que les factures de l’hosto étaient prises en charge par un mystérieux bienfaiteur, je veux dire, ça a tout de suite fait le tour. Australie, mystérieux bienfaiteur friqué, madame blonde, papa de Jack, dzoing. Du coup, quand il s’est retourné, j’ai à peine été surprise.

Et voilà, cette couillonne ne saura peut-être jamais que son frère se trouve sur l’île avec elle. C’est bien dommage. Si elle avait ne serait-ce que demandé son nom à son père, c’était gagné. Bientôt on va découvrir qu’ils sont tous liés par le sang…

En ce qui concerne Desmond et Charlie… euh, vous êtes sûrs qu’ils ne sont pas en train de cacher leur liaison, là ???

Sérieusement, si Claire n’était pas aussi pure, je jurerait qu’elle redoute un truc, là !

Bon, mais revenons-en à nos randonneurs maudits. Nantis du Russe et enragés comme pas possible, ils vont donc sauver Jack. En chemin, ils se retrouvent face à de mystérieux pylônes…

… qui ont l’air bien anciens et que quand on passe à côté et ben vlan, on est pris de convulsions et on meurt des zoreilles.

Expérience faite par le pauvre Russe qui aurait probablement pu encore servir.

Donc, faut passer par-dessus, ou bien se servir d’un tronc pour briser je ne sais quoi, bref, faire ça, quoi.

Une fois arrivés près du joli village des Z’autres du Club Med, mazette, vlà t-y pas que Jack court vers eux comme un dératé !

« Viens-t’en, Jacquot ! » que Kate s’apprête à crier, retenue de justesse par Sayid qui a compris que…

… c’est la version « je joue au foot avec les Z’autres » de Jack que nous avons sous les yeux.

Et rien que pour la gueule absolument révoltée de Kate, c’est totalement priceless !!!

Oh oui, encooooore !!!