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501 : A coat of white primer

Enfin un mariage. Un peu de douceur dans un monde de brutes… Et Brenda est enceinte. Si c’est pas trop choupinet, ça ?

Ben non, justement, c’est pas trop choupinet du tout.

Pourquoi, me diras-tu, petit lecteur ? Eh bien parce que la veille du mariage, Brenda se réveille avec du sang plein ses draps.

Alors, quoi de pire que de faire une fausse couche la veille de son mariage et de prendre rencard le lundi suivant pour un curetage ?

Brrrr… Et on commence déjà à faire : « Non… non… non… « 

Ben si, justement, enfin, non, plutôt et pendant toute la saison 5. Non, putain.

Outre ce charmant cadeau nuptial, on revient sur les aventures de George Sibley, en flashback…

Internement, traitement de cheval, électrochocs. C’est un George complètement à côté de ses pompes qui est rendu à Ruth… qui limite n’en veut plus…

Claire, elle, semble nager dans le bonheur avec Billy…

Il lui propose même d’installer ses affaires chez lui, de manière définitive. Ca tombe bien. Claire est super fâchée avec sa mère.

Très joli petit couple, en tous cas.

A quand le retour de bâton ? Non parce qu’on a beau s’émouvoir de les voir si beaux et si frais, on se doute bien qu’avec Billy Chenowith, on peut s’attendre à une explosion tôt ou tard.

Donc la veille, répétition du mariage. Et très jolie scène entre les trois frangins. C’est trop rare, ce genre de trucs.

Et les voilà tranquilles en train de se fumer un petit oinj discrétos en cachette de leurs conjoints respectifs.

Eh ben curieusement, j’ai trouvé mama Chenowith très bien quand Brenda, en train d’enfiler sa robe blanche, lui confie qu’elle n’est plus enceinte…

Pour une fois…

Ruth, elle, se revoit épouser George, et elle a l’air de drôlement regretter…

Quelle malédiction, cette putain de famille.

Bon ben c’est parti pour la noce…

Et ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants… Sivoupléééééé !!!

Billy fait une drôle de tête, d’ailleurs.

Ruth flanque une baffe monumentale à Claire parce qu’elle prend en photo George qui renverse son verre sur son costume…

Ruth, ma mémère adorée, tu ne fais rien pour arranger les choses. Sérieux, elle vire grave à la sombre hystéro, la mother.

Et bien évidemment, Brenda est accompagnée par le fantôme de Lisa qui ne lui dit que des gentillesses…

Pauvre Brenda… Elle me fait très sincèrement pitié…

Et Nate a beau se montrer fort, ça ne l’empêche pas de s’effondrer dans le bureau du gynéco le lundi suivant…

Pourquoi, mais pourquoiiii ???

Posted by on Jan 18, 2007 in Six Feet Under | 4 comments

4 Comments

  1. je pense que c’est là le début de l’acceptation du personnage de Brenda.
    Moi je crois qu’à partir de son mariage -la pauvre avec "that dead child coming out of me" brrr-, j’ai décidé qu’elle était comme elle était et que j’allais bien l’aimer comme ça…bizarre non?

  2. J’ai trouvé qu’elle progressait dans la saison 4, mais curieusement, si on y réfléchit, malgré son côté fucked-up, Brenda a toujours été comme ça. Toujours à ramasser son frangin ou Nate quand ils étaient au plus bas, avec une abnégation assez remarquable. Seulement dans les premières saisons, elle est tellement insupportable que ce côté un peu martyr et qui encaisse toutes les merdes même les plus noire est totalement oblitéré par ses expériences à la con. Mais on sait qu’elle a toujours été comme ça, grâce à Billy.

  3. exact, non mais c’est dingue plus on en parle et plus on voit que tout y était déjà depuis le tout début de la première saison… pourquoi n’a t on rien vu venir, pourquoi????

  4. Parce que (et c’est dur, ce que je vais dire) les créateurs de cette série sont beaucoup plus intelligents que nous. Et parce qu’ils nous manipulent comme des pantins. Et aussi surtout parce que connaissant la fin, c’était plus facile de déguiser la réalité sous des faits marquants. Du coup, on retient les faits, on retient aussi la philosophie des personnages, mais moins. Depuis le début, je comprends Brenda. Mais ses faits d’arme sont tellement éclatants, comment ne pas avoir envie de lui jeter des pierres, de temps en temps ? 😉 (Tu remarqueras que je continue à cogiter sévère !)

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