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412 : Untitled

Je me demande comment je peux encore parler de cette série avec ce que je sais. MOI COLERE !

Vite, Stevie Wonder et les Andrews Sisters pour me changer les idées.

Bon, bref. Un des trois plus durs épisodes de cette saison 3. Le truc qu’on voyait pas venir du tout du tout. Gloups.

Pour commencer, notre ami George commence à sérieusement battre la campagne.

Il voit une dame qui lui parle. Et il commence à pas être bien… Faut dire que George a de très grosses angoisses, et ça commence à sérieusement le dépasser.

Pauvre pépère.

Et pauvre Ruth.

Faut dire que Ruth vient de rencontrer Maggie, la fille de George, dont il est très proche. Et celle-ci, quoique très gentille, ne se montre pas très très rassurante. George semble avoir un très lourd background.

De son côté, David est allé identifier son bourreau, et ça le hante…

Keith lui suggère d’aller à la prison et de se confronter à son cauchemar.

Claire, elle, est en pleine ascension. Elle expose ses collages et les plus viles radasses hollywoodiennes s’extasient devant…

Et histoire de tenir le coup pour le vernissage, la voilà qui se blinde de coke, sur les bonnes recommandations d’Anita…

Nate, c’est pas ça non plus. Lui, il est hanté par Lisa…

Et Brenda ne sait plus quoi faire de lui.

Brenda : « I can’t compete with a dead woman. »

Mais en feuilletant le bouquin donné par sa nièce, big découverte.

Une photo de Lisa, prise le jour de sa mort, sur la fameuse plage où elle a disparu. Nate est formel.

Rico, de son côté, se fait proprement remettre en place par Vanessa. Elle accepte ses excuses mais demande le divorce.

Il est temps pour le brave Rico de reconstruire quelque chose, enfin.

La scène où David se rend enfin à la prison et rencontre son auto-stoppeur est vraiment bouleversante. Parce qu’en le voyant, la première chose que dit le gars, c’est : « Who are you ? »

Alors que David, lui, ne vit plus depuis des mois à cause de cette histoire. A vous glacer le sang. Clairement, le gars est vraiment dérangé.

Back to the vernissage de Claire. J’adore ça :

Brenda a tellement trouvé un bon rythme de croisière avec Maya. On croise trop les doigts pour que ça reste comme ça… *coeur*

Et ça, c’est adorable… Ca paraît normal…

Limite qui pourrait mieux la comprendre que Billy ?

Au lieu de se blinder le pif de poudre et de se prendre pour la reine du monde…

Bon, j’ai gardé le meilleur pour la fin. Ze truth.

Oh… pu… tain…

Nate se rend chez sa belle-famille pour élucider le coup du polaroïd de Lisa. Et tombe sur son beau-frère, Hoyt, le mari de la soeur de Lisa.

Et à force de le pousser dans ses retranchements, lui fait avouer que ce jour-là, il était avec Lisa sur la plage…

Mieux que ça, il entretenait une liaison avec elle depuis des années…

On ne saura jamais comment Lisa est morte exactement parce que ce bon Hoyt, voyant sa femme sangloter, chope le flingue qui est dans son tiroir, se le flanque dans le bec et se fait sauter le caisson devant Nate et Barb’.

Electrochoc pour Nate qui rentre chez lui et :

« Let’s get married and have a baby. »

Ouééééé, qu’on fait ! (snirfl)

Bon, cette fin de saison est extraordinaire. Une sorte de point d’orgue, une mise au point générale, un passage en caisse pour tous les personnages.

Ruth, notamment. Descendant à l’abri aménagé par George, elle le trouve bien installé, et lorsqu’elle lui demande de venir se pieuter…

« No ruth. This is where i live, now. »

Freaky !!!

Rico semble enfin se faire une raison et commence à s’installer correctement dans sa chambre chez les Fisher.

Claire et Billy passent à la vitesse supérieure dans une scène adorable et qu’on commençait à attendre depuis un bout de temps.

Et enfin, David… David qui n’arrive pas à surmonter l’épreuve de la visite à la prison. Qui d’autre pourrait venir lui apporter ce dont il a besoin ?

Nathaniel : « You can do anything you want, you bastard, you’re alive ! What’s a little pain compared to that ? »

Mais oui, David !!!

David : « It can’t be so simple. »
Nathaniel : « What if it is ? »

Oh my god, quelle scène. Enfin David accepte la présence de son père sans le moquer, sans se détourner. Enorme…

Et quelle tendresse, dans cette scène. Ca m’a bouleversée.

Voilà, une grosse remise à zéro, en fait cette fin de saison 4. Avant quoi ?

Incroyable… Je me demande si ce n’était pas la meilleure saison, d’ailleurs.

La cinq me gratte un peu.

Posted by on Jan 15, 2007 in Six Feet Under | 8 comments

8 Comments

  1. Pour moi la saison 5 c’est l’apogée de SFU, pour les quelques petits épisodes que tu n’as pas encore vu 🙂

  2. Ouais mais certains épisodes sont longuets tout de même…

  3. Oui mais tu verras les derniers… 🙂

  4. c’est fou comme l’aboutissement prend le pas sur le reste dans SFU: la saison 4, tu l’as dis toi même c’est quand l’enfer le plus noir, mais ce magnifique dernier épisode nous la fait trouver très belle, naturelle, accomplie.
    la saison 5 fatigue tout du long, on peut plus les supporter, et pourtant la fin nous fait finalement considérer toute la saison comme… argh….argh… j’m’étouffe!!!! 😀

  5. Gnaaaah, et moi donc !

  6. t’as fini??

  7. Non, j’ai regardé le 509, comme je l’ai mis, d’ailleurs… et je fais toujours mes journées de quinze heures…

  8. Oui, un magnifique épisode de fin, un accomplissement, en un sens, pour tous les personnages.

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