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415 : Affliction

Déjà, avec un titre pareil, c’est la grande rigolade assurée.
Et de fait, qu’est-ce que j’ai ri, mes enfants ! J’ai ri… aux larmes… Mwhahhahahahahaabeuheuheuheuuuuh…

Et je vous rassure tout de suite, NON, ce n’est pas juste à cause de Trip ! (bouhouhouh)

Nan vraiment, cet épisode m’a fait vraiment mal au coeur. D’ailleurs, j’en ai tartiné des pages et des pages sur mon calepin… Moi qui réclamais du gros drama qui fait pleurer…

Bon, séquence d’ouverture un peu bizarre avec des Klingons…

Je laisse le générique pour me préparer au départ de Trip… Bouhouhouh… Connor Trinneer… Beuhaaaahaaaaa !

Bon ben voilà, il est là, il range ses affaires et puis il regarde le Columbia de loin…

Et là ding-ding. C’est Paulette, son ex-amante… qui ne comprend pas très bien la logique de ce transfert…

Alors Trip il lui explique que c’est pas une promo, que c’est une sorte de défi, tout ça… Ouais ouais, Paulette n’est pas convaincue.

T’Pol : « Are you leaving because of me ? »
Trip : « Starfleet has approved the transfer. »
T’Pol : « You didn’t answer my question. »
Trip : « This may come as a shock but not everything in my life revolves around you. »

Mouchée, la Paulette ! Oué, c’est ça, casse-toi, bécasse.

Ca commence fort, dites donc. Bon ben je crois qu’on ne verra pas Z’oreilles courir après lui dans le couloir en s’arrachant les tifs. Rah, shit !

Bon c’est pas grave, on va dire qu’il faut la laisser mariner un peu, le temps qu’elle se rende compte à quel point la vie est triste, sans Trip… Bouhouhouh…

Ptain ! En sortant d’un resto de Frisco avec Hoshi, Phlox se fait kidnapper ! Et malgré sa ceinture noire d’aïkido, Hoshi ne peut rien faire…

De son côté, Chonchon prend ses fonctions à bord du Columbia. Et sitôt arrivé, ça gueule à tout va, il met ses hommes à l’aise… Et Hernandez vient l’accueillir…

Ptit pincement au coeur quand elle lui fait remarquer que son écusson n’est pas encore franchement à jour. Ptite musique toute triste… Bouhouhouh…

Bon, comme Hoshi ne se souvient pas trop de ce qui s’est passé pendant l’agression, Jonathan lui propose un plan à tr… euh, une fusion mentale avec Paulette histoire de voir ce qu’ils peuvent en tirer… Evidemment, Paulette fait un peu la tronche… Mais bon…

Ca s’avère concluant puisqu’ils arrivent à identifier les gars… Des extra-terrestres, je ne sais plus lesquels… Hop, vacances annulées, on part à la recherche de Phlox.

Et alors là, bizarrement, il se passe un truc bizarre. Malcolm est contacté par un gars bizarre. Ca sent la poiscaille pas fraîche, ce truc.

Malcolm : « I wasn’t aware I was still a part of your section. »

Gné ??

Bon, Phlox se retrouve avec des Klingons qui ont visiblement des soucis avec un virus qu’ils n’arrivent pas à maîtriser. L’un d’entre eux a repéré Phlox lors d’une conférence médicale.

A bord de l’Enterprise, c’est bien vide sans Trip. Et quand Jonathan contacte la salle des machines, personne ne répond. Le nouveau chief engineer est un peu long à la détente. Et surtout, il est un peu gauche et timoré.

Jonathan : « Commander Tucker’s pushed them higher than that before ! »

Ptit rictus de Malcolm.

Hé hé hé… Ah, elle manque, la sauterelle, hein ??

Bouhouh…

Mais bon, pendant ce temps, la Sauterelle dîne en tête-à-tête avec son nouveau captain. Qui n’en revient toujours pas d’avoir pécho un loustic pareil pour veiller sur sa tuyauterie. Ca c’est de la chance, hein, poulette ? Tu es une femme comblée…

Paraît que deux hommes de la nouvelle équipe de Trip on demandé à être transférés ailleurs ! Quelle terreur, mon biquet !

Enfin surtout, Erika, elle se souvient avoir entendu Trip dire qu’il ne se voyait pas servir un jour à bord d’un autre vaisseau… Hin hin…

Trip : « I was getting a little too comfortable on Enterprise. Got a lot of friends over there. But sometimes, it’s easier to work with people who are juste colleagues. »

Quelque chose me dit qu’Erika a capté.

A bord de l’Enterprise, Paulette est en pleine méditation.

Et elle rêve toute éveillée…

Arf… Et même dans ce rêve, ils se prennent la tête…

T’Pol : « Please, leave ! »
Trip : « Exactly where am I supposed to go ? »
T’Pol : « Away ! »
Trip : « This is MY daydream, you go away ! »

Et vlan, Trip se réveille…

Ils partagent leurs rêves, c’est pas meugnon, peut-être ?

Bon, décidément, il se passe un truc très louche avec Malcolm. Il contacte le même type que tout à l’heure depuis l’Enterprise. Coco si tu te fais choper, ça va chauffer pour ton matricule.

Apparemment, il s’agit d’un engagement qu’il aurait pris bien avant de rejoindre Starfleet.

Très bizarre, des Klingons « juste poilus » s’infiltrent à bord de l’Enterprise…

Il viendrait pas un peu de Sateda, ce Klingon ??

De son côté, Phlox découvre pourquoi ces Klingons-là semblent aussi humains. En fait, ces cochons de Klingons « normaux » ont conservé de l’ADN des « Augments » de Soong, et devant la menace de se faire dépasser par ces super-humains, ont décidé de créer leurs propres super-klingons. Ce qui est complètement con puisque les Augments ont tous été détruits et Soong refoulé en taule. Bref, apparemment, en jouant au Docteur Maboul, ils ont créé un virus de merde. Bien fait pour leur sale tronche.

Ouarf !! Hoshi est très gênée. Après la fusion mentale avec Paulette, la voilà qui fait des rêves bizarres où elle voit Trip avec une « romantic touch ». Uh uh !

La gueule de Paulette est im-pay-able !!!

Grillée !!

Malheureusement, y en a un autre qui est grillé… Et là, c’est sacrément plus grave qu’une affaire de fesses un peu trop serrées…

Ouais, Jonathan s’est rendu compte que Malcolm lui cachait des trucs et avait truqué des données. Et il est déçu, très déçu. Et fâché. Très fâché…

Ca me fait très très mal au coeur de revoir ce moment où Jonathan ferme les yeux en écoutant Malcolm s’enfoncer…

Malcolm refuse de répondre aux questions de Jonathan. Celui-ci le chope par le poignet.

Jonathan : « I would have never believed that YOU, of all people… « 

Moi non plus…

Et hop, direct en cellule… Tout fout DECIDEMENT l’camp dans cette saison 4 !

Pauvre Jonathan…

Malcolm : « I have no idea where the doctor is, captain, on that you have my word ! »
Jonathan : « Your word isn’t worth a lot, at the moment… The Malcolm Reed I know would give his life before committing treason. »

Malcolm : « I’m not working for the Klingons ! »
Jonathan : « Who then ? »
Malcolm : « … »
Jonathan : « You’ve betrayed everything that uniform stands for… »
Malcolm : « Captain… There are some obligations that come beyond my loyalty to you…and this crew… « 

Ptain, j’en ai les larmes aux yeux. Sérieux, ça me fait vachement de peine… J’aurais jamais cru, mais fuck, je l’adore, moi, Malcolm !!!

(Je devrais l’encadrer, cette note…)

Ptain, merde, c’est quoi cette histoire ??

Le pire, c’est que Malcolm semble être au courant pour le virus. Quand ils envoient le super-klingon en taule à côté de lui, il lui dit que lui aussi souhaite qu’ils trouvent un remède…

Pendant ce temps, c’est le grand lancement du Columbia…

Hurray !

Du côté de l’Enterprise, ça pue. Une sorte de virus klingon ou je ne sais pas quoi a compromis je ne sais quels systèmes. Ca se pourrait bien que l’Enterprise se transforme en bombe géante d’ici peu. Sans Trip, ils vont bien s’amuser pour régler le problème…

La suite… Vendredi… Bouhouhouh…

Posted by on Mai 17, 2006 in Star Trek : Enterprise | 6 comments

6 Comments

  1. Héhé! La voilà, la fameuse expliquation à l’apparence des klingons dans TOS 🙂
    Je m’attendais à pire!

    Quand à malcolm, on dit de quelle section il s’agit? (ce serait pas une certaine section 31? 😉 ) parce que après ça, il FAUT que tu vois DS9!!!

  2. Non, pour le moment, on n’en sait pas plus… 😉

  3. Ouais, mais wiki m’a spolié. C’est bien la même section…

  4. Mais, Niiiight ! Arrête, je veux rien savoir, moi ! Même si je sais pas ce que c’est, j’aimerais bien regarder les six derniers épisodes avec le peu de surprises qu’il me reste. On en parlera après, si possible.

  5. Heu… ouais mais en même temps d’après ce que j’ai lu, y a aucun lien concret si ce n’est qu’on parle de la même organisation, c’est plus annecdotique qu’autre chose, donc je pensais pas qu’il y avait mort d’homme…

  6. Ben oui mais comment veux-tu que je le sache, moi ?

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