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410 : Daedalus

Franchement, ce qu’il y a de plus passionnant, dans cet épisode, c’est le titre. Dédale, l’homme qui a construit les ailes pour faire voler son fils… trop près du soleil…

Bon, je ne m’attendais pas à ce que cet épisode déchire tout, surtout après les aventures de Vulcain. Mais quand même, bof quoi.

Bon, Jonathan et son équipage accueillent Emory Erickson, le grand créateur du téléporteur. Jonathan le connaît super bien puisque c’était un grand pote de son père. Et même que son meilleur ami n’était autre que le fils d’Erickson. Trip, lui, est mort de trac à l’idée de rencontrer ce gus-là qu’il vénère comme un Dieu. Et donc ce monsieur est à bord de l’Enterprise pour mener une expérience qui pourrait permettre de transporter des gens de planète en planète.

Bon, sur le front Trip et Paulette, quoi de neuf sous le soleil ? Eh bien, tout va pour le mieux, ils niquent comme des castors, et… Non j’déconne…

Paulette est totalement absorbée par la lecture de sa nouvelle bible vulcaine et quand Trip vient la voir pour prendre des nouvelles, on peut pas dire que ce soit la franche rigolade…

A peine elle lève les yeux de sa lecture, juste pour dire à propos de la mort de sa mère : « I don’t feel anything about it ». Ouais ouais, elle apprécie son geste, mais c’est bon, tout va bien, vraiment…

Bon…

Je n’ai pas l’impression qu’elle lui ait dit qu’elle était démariée… Ils commencent à sérieusement me gonfler avec leurs histoires. Un coup je te veux, un coup je te jette, un coup je suis mariée mais bouhouhouh, je t’aime, un coup hop, je suis plus mariée, mais j’ai d’autres priorités… Ahum… Et encore, d’après ce que j’ai entraperçu, par la suite on atteint des sommets…

Bref…

Le vieux Erickson commence à sérieusement mettre les mains dans le cambouis, un peu trop au goût de Trip qui n’aime pas bien qu’on touche à son vaisseau chéri. Il est bien gêné, mais ça lui paraît très louche. Alors il va en causer à Jonathan qui trouve aussi que son vieux copain est un peu bizarre. En fait, Erickson veut récupérer son fils perdu dans ce secteur suite à une expérience ratée il y a une quinzaine d’années, et sachant que Starfleet ne l’aurait jamais autorisé, s’est servi d’un prétexte bidon.

Et Jonathan, dont c’était le meilleur ami, se jette un peu dans le truc, et oblige T’Pol et Trip à bosser avec Erickson, alors qu’ils ne sont pas d’accord parce que c’est hyper dangereux. Z’ont déjà perdu un homme de l’équipage. Trip, surtout, il est furieux.

Nouvelle tentative de Trip de remettre un peu T’Pol dans le bain en lui demandant ce qu’elle aimerait voir comme genre de film. Que dalle. Elle n’a pas le temps… Trip ne comprend plus.

Après une nouvelle explosion due à… whatever it is… T’Pol est blessée à la main… Et cette fois, Trip il gueule très fort parce qu’il trouve que Jonathan a tort de mettre le vaisseau en danger pour cette tentative complètement folle de retrouver un gars perdu depuis quinze ans. Et Jonathan, ben il gueule encore plus fort.

« Now go do your job ! »

Finalement, Erickson parvient à retrouver son fils.

Mais celui-ci meurt dès qu’il se rematérialise. C’était décidément une expérience à la con.
C’est triste…

T’Pol va voir Phlox pour savoir si elle est bien guérie de son syndrome de machin, et Phlox le confirme. T’Pol lui dit qu’elle ne s’est jamais aussi sentie aussi peu sûre d’elle-même. Forcément, ça doit faire un peu bizarre de reconsidérer toutes ses croyances sous un nouveau jour.

Du coup, c’est ce qu’elle tente d’aller expliquer à Trip qui se montre super compréhensif, comme d’hab, et il lui fait comprendre qu’il aimerait bien partager ça avec elle, éventuellement. Sauf qu’elle aimerait bien d’abord comprendre elle-même, d’abord.

T’Pol : « I don’t think there will be time for… « 

(For what, ptain ?? )

Trip : « What do you want me to say ? »
T’Pol : « That you understand. »
Trip : « I do… It’s not like I didn’t know this was coming… »

(Et vlan !)

Bon, quand ils auront fini de se parler par charades et autres devinettes… Trip il est bien gentil, mais trop, quoi. Qu’il l’envoie péter VRAIMENT ! Elle se sert de lui, elle sait qu’il sera toujours là quand elle en a besoin. Mets-lui le couteau sous la gorge, mon pépère, et là, elle va rappliquer telle le plus con des bichons maltais qu’on puisse imaginer. Wouf wouf ! Comme chaque fois qu’il lui fait un tantinet la gueule.

Bref, pas gégé, cet épisode. Pas drôle, pas d’action… pas de Vulcains, pas de bites de schtroumphs… Episode de transition, quoi. Pareil pour le suivant que j’ai vaguement commencé… *baille*

Dodo !

Et quand ils veulent pour nous remettre Trip torse nu, hein ??!!

Posted by on Mai 15, 2006 in Star Trek : Enterprise | 4 comments

4 Comments

  1. Je passe juste pour dire bonjour, non parce qu’en fait je ne suis pas très fan de Star Trek. Donc forcément je connais moins les personnages, tout ça…
    La première saison de My Name is Earl vient de se terminer, The West Wing touche à sa fin, tout comme Lost et Desperate Housewives…
    Mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir télécharger !!!!

  2. 😀 Ben euh… Deadwood ? J’ai la première saison sous la main, je vais me faire ça un de ces quatre… ou Prison Break ? J’arrive bientôt à la fin d’Enterprise, moi aussi va falloir que j’envisage une reconversion… C’est dur, hein ? Mais on va y arriver ! 😉

  3. Ah ben oui, bien sûr… Prison Break, le season finale a été diffusé hier, je ne devrais pas tarder à le récupérer…
    Cette série est marrante finalement. Complètement irréaliste, le plan du gars pour s’évader de prison est complètement farfelu, mais il y a de beaux moments de suspense…

    Sinon, je vais aussi me lancer dans The Office, version anglaise, pas US. J’avais déjà essayé il y a quelque temps, mais j’avais vraiment du mal avec l’accent british. Sans sous-titre, c’est tout de même assez hard…

  4. Tiens c’est pas Roro qui regardait cette série, aussi ??

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