401 : Storm Front

Je sais pas si c’est le fait de bosser sur Gaza et ensuite d’enchaîner avec « ça » mais cet épisode m’a fait un effet très bizarre.
Passé le moment où j’ai placé la galette dans le lecteur, couiné deux ou trois fois devant les bandes-annonces, trépigné sur le « previously on Enterprise », bah le tout est un peu retombé. Je m’attendais pas du tout à ça, en fait. A peine sortis des Xindis, boum, nouvelle intrigue, nouvel enjeu. Ok, c’est le début de saison, faut que ça démarre fort. Mais j’ai moyennement accroché à cette histoire d’aliens agent temporels venus détruire la Terre dans le passé comme ça vous n’aurez jamais existé bande de moucherons galactiques MWAHAHAHHA !

Bon…

Donc on a quitté chouchoudamour alors qu’il se faisait dégommer par des zincs des années 40 avec Travis (mais ça on s’en fout un peu de Travis).

Et Jonathan aux mains des Nazis.

Hop, nos amis ont donc remonté 200 ans, mais il semblerait que ce ne soit pas tellement la bonne time-line. Vu que les Nazis sont aux States et y sèment la terreur accompagnés de gros affreux qui n’ont pas franchement l’air d’être du coin…

Ouh les mochetés !!

(Ca me fait un peu mal aux fesses qu’on nous ressorte que mes potes les Fritz sont encore les gros vilains, et encore, suffisamment cons pour se faire manipuler par des z’affreux, mais bon… )

Back on Enterprise, ça commence à percuter qu’il y a quelque chose qui ne colle pas, et que c’est pas la bonne époque. Trip a un peu les nerfs, d’ailleurs il se met à aboyer sur Paulette avant même que celle-ci n’ait eu le temps de dire que selon le comité scientifique vulcain les voyages dans le temps n’existent pas !

Rah putain, et voilà t-y pas que les Faces de Pizza sont aussi à bord, ces furets-là !!

Bon, forcément, Trip, tout con qu’il est, faut qu’il aille s’excuser auprès de sa tendre Paulette. « Mais non », qu’elle dit, « c’est normal ». « Non non, j’ai vraiment été méchant », « mais non voyons »… Euh… bref…

(Rah rah sluuuuurp !)

Enfin tout ça pour dire que Paulette a l’air décidée à arrêter de jouer les pimbêches susceptibles…

Et pendant ce temps, Porthos fait grave la gueule…

Pov’ petite truffe !!

Euh… Daniels ??

Tain il a dû manger une bourriche entière d’huîtres pas fraîches pour avoir une mine pareille !

Pendant ce temps, notre brave Jonathan se fait des amis, il est à Brooklyn en 44, tout va bien, la ville est occupée par les Boches….

Torse magnifique, dos à tomber, bras superbes… Et cerise sur le gâteau, la petite démarque de bronzage en bas du dos, toute blanche… *éponge*

Sympas, les States, en 44…

Bon, Paulette parvient à s’entretenir avec Daniels qui nage en plein paradoxe, ce qui explique sa tronche en biais. Apparemment des agent temporels sont chargés de modifier l’histoire, il explique que son siècle à lui n’existe déjà même plus, ni celui d’Archer et compagnie.

Et voilà mon Trip qui se fait démonter la gueule par une Face de Pizza, oh, non sans lui en mettre plein les gencives, cela dit. Et hop, FDP parti sur Terre.

Han !

Trip et Travis sont redescendus sur Terre pour essayer de retrouver leur navette piquée par FDP.

Et Archer parvient à communiquer avec l’Enterprise ! La trooooonche de Paulette est énooorme !

Malheureusement, au moment où tout ce petit monde réussit enfin à rapatrier Jonathan, Trip et Travis se font choper par les Schleuhs…

Tout de même… sniffou…

Et Paulette qui l’embrasse des yeux…

Mais le plus heureux…

Bon, au final, Daniels, avant de passer l’arme à gauche, annonce qu’il faut arrêter un certain Vosk.

Mmmh… J’adoooore le fait que Trip soit prisonnier. J’espère qu’il va en chier un max et peut-être aussi un peu qu’il va se faire torturer…
Ben quoi ? Moi j’aime voir mes héros souffrir. C’est là qu’on voit leur vrai visage…

Hé hé hé…

N’empêche que j’espère qu’après ça va se tasser un peu pendant au moins un zode, parce que là on aimerait bien savoir comment ils vont, tous…

N’empêche que c’est trop bon de les retrouver…

Bon… Retour aux affaires, maintenant…