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107 : In which we meet Mr. Jones

En ce moment, je me fais bien plaisir devant Fringe. J’en suis déjà au… 112, je crois bien. Et je dois vous dire que j’ai trouvé le mystère mystérieux et tout ça. Enfin en partie. J’en ai parlé avec le Dark Side qui a vu toute la première saison et qui a répondu à mes questions sans y répondre et c’est bien ça. Uh uh.

Alors effectivement, passés les cinq premiers épisodes, ça devient bien sympathique. Et parfois bien dégueu. Genre là, le riant petit parasite qui s’installe chez un monsieur Loeb qui se trouve être le bon copain d’un certain Philip Broyles. (Très riant, lui aussi.)

En ce moment, je me fais bien plaisir devant Fringe. J’en suis déjà au… 112, je crois bien. Et je dois vous dire que j’ai trouvé le mystère mystérieux et tout ça. Enfin en partie. J’en ai parlé avec le Dark Side qui a vu toute la première saison et qui a répondu à mes questions sans y répondre et c’est bien ça. Uh uh. Alors effectivement, passés les cinq premiers épisodes, ça devient bien sympathique. Et parfois bien dégueu. Genre là, le riant petit parasite qui s’installe chez un monsieur Loeb qui se trouve être le bon copain d’un certain Philip Broyles. (Très riant, lui...

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Posted by on Août 20, 2009 in Fringe | 5 comments

106 : The cure

Ah ah ! I knew it, mon cher Sigmund ! Je savais qu’après les petites insinuations de l’épisode précédent, on allait nous déballer l’enfance malheureuse d’Olivia Dunham. Oh, ça, on peut pas dire, elle a été bien gâtée, la petiote. Un beau-père violent, un flingue qui se trouve là, pan-pan, elle manque de l’occire. Manque seulement, hélas. Quoique… entre nous, Olivia… et s’il avait trépassé, tu ne crois pas que le problème aurait été autre ?

Bref, une grosse scène de déballage qui, par un heureux hasard, crée une connexion toute nouvelle entre la blonde et le ptit pète-couilles qui brandit son éducation à chaque fois qu’on lui fait une réflexion. D’ailleurs, il commence à drôlement la regarder, nan ?

Ah ah ! I knew it, mon cher Sigmund ! Je savais qu’après les petites insinuations de l’épisode précédent, on allait nous déballer l’enfance malheureuse d’Olivia Dunham. Oh, ça, on peut pas dire, elle a été bien gâtée, la petiote. Un beau-père violent, un flingue qui se trouve là, pan-pan, elle manque de l’occire. Manque seulement, hélas. Quoique… entre nous, Olivia… et s’il avait trépassé, tu ne crois pas que le problème aurait été autre ? Bref, une grosse scène de déballage qui, par un heureux hasard, crée une connexion toute nouvelle entre la blonde et le ptit pète-couilles qui brandit son éducation à chaque fois qu’on lui fait une réflexion. D’ailleurs, il commence à drôlement la regarder,...

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Posted by on Août 16, 2009 in Fringe | 3 comments

105 : Power hungry

Evidemment, c’est au moment où je dis que je ne vais plus faire de reviews que je ne peux plus me passer d’en faire. Faut pas chercher !

Bon, je vais peut-être expérimenter la review expresse, je ne sais pas trop, toujours est-il que… j’avais quand même quelques remarques à faire sur cet épisode que j’ai regardé à Vancouver pendant que Soso écrasait sa sieste (de femme enceinte, voilà, c’est dit). Donc ça fait déjà un moment, mais quand même. En triant les captures, je me suis dit que ce serait con de ne pas parler un peu d’Olivia qui commence à prendre beaucoup d’importance dans la série, et qui commence péniblement à sortir de son personnage bien propret de gentille agente du FBI zélée qui veut aider la veuve et l’orphelin.

Evidemment, c’est au moment où je dis que je ne vais plus faire de reviews que je ne peux plus me passer d’en faire. Faut pas chercher ! Bon, je vais peut-être expérimenter la review expresse, je ne sais pas trop, toujours est-il que… j’avais quand même quelques remarques à faire sur cet épisode que j’ai regardé à Vancouver pendant que Soso écrasait sa sieste (de femme enceinte, voilà, c’est dit). Donc ça fait déjà un moment, mais quand même. En triant les captures, je me suis dit que ce serait con de ne pas parler un peu d’Olivia qui commence à prendre beaucoup d’importance dans la série, et qui commence péniblement à sortir de son personnage bien propret de gentille agente du FBI zélée qui veut aider la veuve et...

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Posted by on Août 16, 2009 in Fringe | 2 comments

Nan mais voilà comment on va faire…

Parce que franchement, on va jamais rejoindre… alors, je pense que ce qui va se passer, c’est que je vais finir la saison 1 de Fringe sans trop me casser la nénette à faire des reviews pour dire que je capte rien. Si j’ai envie et si c’est nécessaire, je le ferai, genre pour des épisodes clé.
J’aimerais quand même bien voir la saison 2 en même temps que tout le monde…

(Cela dit, il y a aussi l’option que finalement oué bof et que j’abandonne en cours de route, mais je ne pense pas.)

Parce que franchement, on va jamais rejoindre… alors, je pense que ce qui va se passer, c’est que je vais finir la saison 1 de Fringe sans trop me casser la nénette à faire des reviews pour dire que je capte rien. Si j’ai envie et si c’est nécessaire, je le ferai, genre pour des épisodes clé. J’aimerais quand même bien voir la saison 2 en même temps que tout le monde… (Cela dit, il y a aussi l’option que finalement oué bof et que j’abandonne en cours de route, mais je ne pense...

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Posted by on Août 15, 2009 in Fringe | 3 comments

104 : The arrival

Après avoir assisté au tournage de la deuxième saison de Fringe, forcément, vous imaginez bien qu’il m’a pris une fameuse envie de continuer la série. C’était déjà à l’étude, mais forcément, de temps en temps, les journées n’étant toujours pas à rallonge, il faut revoir ses priorités.
Ben j’ai pas été déçue de la manoeuvre. Enfin si, justement. Josh (oui, on s’appelle par nos diminutifs, désormais) a beau être croquignolet comme c’est pas permis, j’ai eu une envie monumentale d’écraser la tête de Peter Bishop contre l’os bien durde mon genou à plusieurs reprises.

Après avoir assisté au tournage de la deuxième saison de Fringe, forcément, vous imaginez bien qu’il m’a pris une fameuse envie de continuer la série. C’était déjà à l’étude, mais forcément, de temps en temps, les journées n’étant toujours pas à rallonge, il faut revoir ses priorités. Ben j’ai pas été déçue de la manoeuvre. Enfin si, justement. Josh (oui, on s’appelle par nos diminutifs, désormais) a beau être croquignolet comme c’est pas permis, j’ai eu une envie monumentale d’écraser la tête de Peter Bishop contre l’os bien durde mon genou à plusieurs...

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Posted by on Août 11, 2009 in Fringe | 7 comments

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