419 : In a mirror, darkly (2)

Ok, j’ai compris, donc. C’est pas l’intrigue qui est importante, ce sont les symboles. L’intrigue n’est là que pour servir de support à un bombardement d’images symboliques. C’est Star Trek qui se moque de lui-même, et c’est intelligent. Et d’une manière que je trouve plus intelligente d’ailleurs que Stargate dans l’épisode 100. Parce que là, ça ne cherche pas le grand guignol, c’est un peu mieux déguisé. Forcément, faut avoir un poil de second degré et de recul pour entrer dedans. Je reconnais que c’est pas donné à tout le monde.

Ok, j’ai compris, donc. C’est pas l’intrigue qui est importante, ce sont les symboles. L’intrigue n’est là que pour servir de support à un bombardement d’images symboliques. C’est Star Trek qui se moque de lui-même, et c’est intelligent. Et d’une manière que je trouve plus intelligente d’ailleurs que Stargate dans l’épisode 100. Parce que là, ça ne cherche pas le grand guignol, c’est un peu mieux déguisé. Forcément, faut avoir un poil de second degré et de recul pour entrer dedans. Je reconnais que c’est pas donné à tout le...

418 : In a Mirror, Darkly (1)

Euh, comment dire… Alors là… Hum… Fiou !

C’EST DU GRAND NAWAK !!!!!!!!

J’adore…

Pour situer un peu la chose, petite leçon d’histoire. En 2063, le grand poète Zephram Cochrane, suite au vol de son Phoenix, attire l’attention d’un vaisseau vulcain.

C’est le premier contact qui débouchera sur une alliance pas toujours très harmonieuse entre les deux mondes.

Là, donc, on assiste (pour la deuxième fois pour ceux qui ont vu le film Premier Contact) au débarquement des Vulcains… Seulement au moment de tendre la main au visiteur, Cochrane sort son flingue et le descend.

Euh, comment dire… Alors là… Hum… Fiou ! C’EST DU GRAND NAWAK !!!!!!!! J’adore… Pour situer un peu la chose, petite leçon d’histoire. En 2063, le grand poète Zephram Cochrane, suite au vol de son Phoenix, attire l’attention d’un vaisseau vulcain. C’est le premier contact qui débouchera sur une alliance pas toujours très harmonieuse entre les deux mondes. Là, donc, on assiste (pour la deuxième fois pour ceux qui ont vu le film Premier Contact) au débarquement des Vulcains… Seulement au moment de tendre la main au visiteur, Cochrane sort son flingue et le...

Drôle de saison…

Je profite d’un temps mort ou boulot pour jeter quelques réflexions avant d’entamer ce soir la dernière ligne droite de la saison 4 (et donc de la série). Quel drôle de patchwork que cette saison 4. Tellement bizarre que j’en viens à me demander s’il n’ont pas jeté dedans toutes les idées qu’ils avaient pour des saisons à venir et qui n’ont jamais pu voir le jour. Petit goût d’inachevé, donc. Je suppose que ce sera encore pire quand j’aurai tout fini. Si j’en juge par ce que je sais du dernier épisode.

Je profite d’un temps mort ou boulot pour jeter quelques réflexions avant d’entamer ce soir la dernière ligne droite de la saison 4 (et donc de la série). Quel drôle de patchwork que cette saison 4. Tellement bizarre que j’en viens à me demander s’il n’ont pas jeté dedans toutes les idées qu’ils avaient pour des saisons à venir et qui n’ont jamais pu voir le jour. Petit goût d’inachevé, donc. Je suppose que ce sera encore pire quand j’aurai tout fini. Si j’en juge par ce que je sais du dernier...

417 : Bound

Hi hi, trop mignon le titre… 😉

Je crois qu’on se doute un peu de qui il s’agit…

Bon, alors, l’épisode n’est pas gégé, hein, dans la plus pure tradition des épisode « prétexte » comme je les appelle. Mais bon, vu qu’il reste quatre épisodes et que finalement, l’issue me plaît bien (uhuh), je ne vais pas bouder mon plaisir.

Jonathan est contacté par un Orion (j’sais pas si on dit comme ça en français, en tous cas, ce sont les gros types verts, là) qui lui donne un tuyau de je ne sais pas quoi…

Hi hi, trop mignon le titre… 😉 Je crois qu’on se doute un peu de qui il s’agit… Bon, alors, l’épisode n’est pas gégé, hein, dans la plus pure tradition des épisode « prétexte » comme je les appelle. Mais bon, vu qu’il reste quatre épisodes et que finalement, l’issue me plaît bien (uhuh), je ne vais pas bouder mon plaisir. Jonathan est contacté par un Orion (j’sais pas si on dit comme ça en français, en tous cas, ce sont les gros types verts, là) qui lui donne un tuyau de je ne sais pas...

416 : Divergence

Nom d’un chien ! Sacré zode ! Et ça commence sur les chapeaux de roues ! Dix minutes d’action et de suspense insoutenable !

Donc NX01 est lancé à toute vitesse, mais les réacteurs ne tiendront pas longtemps, 47 minutes tout au plus. Jonathan appelle donc sa chairie au secours, le Columbia peut être là en 30 minutes, et Trip est peut-être capable de venir bidouiller un truc pour empêcher l’Enterprise de sauter. Le problème, c’est que lancés à une telle vitesse, c’est un peu difficile de transférer du personnel. Jonathan va donc voir avoir recours au seul homme capable de gérer une telle procédure…

Nom d’un chien ! Sacré zode ! Et ça commence sur les chapeaux de roues ! Dix minutes d’action et de suspense insoutenable ! Donc NX01 est lancé à toute vitesse, mais les réacteurs ne tiendront pas longtemps, 47 minutes tout au plus. Jonathan appelle donc sa chairie au secours, le Columbia peut être là en 30 minutes, et Trip est peut-être capable de venir bidouiller un truc pour empêcher l’Enterprise de sauter. Le problème, c’est que lancés à une telle vitesse, c’est un peu difficile de transférer du personnel. Jonathan va donc voir avoir recours au seul homme capable de gérer une telle...