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Podcast 418 : Islanded in a stream of stars

« … and there is something kinda sad… »

Ouaip. C’est l’avant-dernier podcast. Ron commentera le final en une fois d’ici la semaine prochaine. Et ce podcast-là risque d’être légèrement alcoolisé et enfumé si j’en juge par les commentaires de l’homme.

Aaaahaaaan ! Quel dommage que l’acteur qui joue Figurski ait été absent pour l’intro, ça aurait été génial que ce soit lui qui gueule après les toasteuses !
Ah, too bad.

C’est un peu le problème, gros loup. Ben oui, l’animal nous raconte une fois de plus à quel point il a complètement revu sa copie pour le final et l’impact que cela a dès cet épisode, mais il ne peut guère nous en dire plus ! Gnä.

« … and there is something kinda sad… » Ouaip. C’est l’avant-dernier podcast. Ron commentera le final en une fois d’ici la semaine prochaine. Et ce podcast-là risque d’être légèrement alcoolisé et enfumé si j’en juge par les commentaires de l’homme. Aaaahaaaan ! Quel dommage que l’acteur qui joue Figurski ait été absent pour l’intro, ça aurait été génial que ce soit lui qui gueule après les toasteuses ! Ah, too bad. C’est un peu le problème, gros loup. Ben oui, l’animal nous raconte une fois de plus à quel point il a complètement revu sa copie pour le final et l’impact que cela a dès cet épisode, mais il ne peut guère nous en dire plus !...

La Suite

The last frakkin’ special

Histoire de nous mettre en jambe avec le final (gloups) de vendredi (GLOUPS), un épisode spécial sur les coulisses de la série, sa création, ses acteurs… Sur le blog de la Sorcière, ça va donner des dizaines de captures d’écran, quelques citations et deux trois anecdotes nouvelles étant donné que sur le lot, on en connaît déjà un paquet. Et after the jump, vous aurez droit aux menus spoilers que j’ai relevés là-dedans.

Pour commencer, je dois dire que ça m’a vraiment émue de revoir tous ces passages de la série, disséminés au fil du documentaire. Parce que c’est bon de se souvenir d’où viennent nos personnages, et ce repère visuel, ça montre à quel point ils ont changé au fil de la série. Alors oui, ce sont des images vues et revues, mais j’ai trouvé ça vraiment charmant.

Ou pas.

Et certaines scènes parviennent encore à me couper le souffle par leur beauté.

Et puis ils ont l’air si jeunes. Certains étaient vraiment très très jeunes, au début.

(Oh, Lee, mon petit pied-tendre de la saison une, violé du croupion par la méchante Ellen Tigh ! )

J’ai presque eu du mal à croire que tout a commencé en décembre 2001, comme le rappelle David Eick. Trois mois seulement après l’effondrement des Tours. Ca paraît tellement dingue. Pas étonnant que la série ait un ton si pessimiste.

Pas pu m’empêcher d’esquisser un large sourire lorsque Ron et Bonnie Hammer, grosse huile de NBC-Universal, racontent en parallèle comment celle-ci a été séduite par le projet. Une femme présidente ? Yes ! Starbuck en femme ? YES !

Et puis quel plaisir de voir tous ces acteurs parler de leurs expériences…

« I’m the FIFTH !!! »

(Indiana Hogan part à la chasse aux artefacts. )

(Les yeux… )

Rire entre deux prises…

Parfois se faire des bisous assez inattendus !

Et puis raconter leurs propres anecdotes. Comme Rekha Sharma qui s’est un peu fait tirer les oreilles lorsque son père, un prêtre hindou, l’a chopée à la téloche en train de rouler des gamelles à Sammy Anders.

Ce qui l’a mise super mal à l’aise.

Et Rekha qui imite l’accent de son père… « Rrrrrrekha ! »

Je me suis amusée aussi à imaginer James Callis lors de son audition pour le rôle de Gaius. C’était cette scène, qu’il a dû jouer, le pauvre. Ca en dit long.

Celle où Caprica Six le gaule avec une autre meuf dans son lit.

Evidemment, il eût été barbare de ne pas évoquer la musique de la série. Et l’Ours de poche qui semble si bien intégré à cette grande famille…

D’ailleurs, sa petite anecdote à lui est très mignonne. C’est vrai, on connaît par coeur le thème de Number Six. Ce qu’on ne sait pas, c’est qu’à la base, c’est…

C’est…

De l’accordéon ! Tout de suite beaucoup moins sexy.

Long passage sur les personnages et ceux qui l’incarnent, bien sûr, notamment Starbuck. Et David Eick est bien forcé, une fois de plus, de raconter la légende de l’actrice qu’il ne trouvait pas. Forcément, en voyant Katee débarquer avec ses talons aiguilles et son look bien girlie…

Et puis finalement, c’est son épouse qui lui a soufflé que c’était elle qu’il fallait prendre.
Au passage, je n’avais vraiment jamais vu ces images…

Vous voyez bien que les deux Starbuck s’entendent comme cul et chemise autour de leur cafés… Starbucks.

Chose amusante, Katee explique que quand elle s’imagine Starbuck, elle voit Dirk Benedict. Tout en ajoutant que elle, elle a joué Starbuck plus longtemps que lui !

Par contre, ça m’a peinée d’apprendre que Katee a tellement détesté la Kara de la saison 4. Ces images où on la voit sans doute en répétitions en train de pleurer dans ses mains parce qu’elle ne comprend pas son personnage, c’est très fort, je trouve.

C’est triste qu’elle n’ait pas réussi à mieux la comprendre. Mais bon, en même temps, tout amoureuse que je le sois de Kara, j’ai parfois l’impression que Katee a parfois des petits problèmes de courants d’air cérébraux.

Enfin, je peux comprendre son désarroi. C’est vrai qu’elle est pas toujours facile à suivre, la miss. Mais bon. L’entendre dire qu’elle a détesté Kara jusqu’à la fin, ça m’a vraiment fait de la peine.

Super heureuse, en revanche, de voir God à l’oeuvre. God avec les acteurs…

God dans la writers’ room…

God qui parle avec tellement d’humilité de sa manière de travailler…

Et qui ne cache jamais son émotion quand il s’agit d’évoquer la fin de son joyau.

J’ai beaucoup aimé cette petite anecdote sur la conception du final. RDM a finalement fait machine arrière, comme il l’a raconté après la grève. Et pourquoi ? Pour écrire sur un tableau blanc : « It’s the characters, stupid. »
Et oui, c’est tout à fait vrai. Et ça a donc donné l’épisode 419.

Pour finir, quelques mots de chacun des acteurs sur Battlestar Galactica.

« It’s the best frakking job I’ve ever had. »

« Battlestar Galactica meant to me kissing Tricia Helfer lots… »

« … and lots… « 

« Battlestar Galactica will always be the pivotal moment in my life when I discovered the flightsuit weight loss program. »

« Battlestar Galactica to me means being one of the Final Five cylons. And that’s cool because chicks dig the cylons. »

Et tous les autres qui sont si beaux sur leur fond blanc…

Jusqu’à ce que Tahmoh ne se retourne une dernière fois…

Avant d’éteindre les lumières du plateau.

Une chose est sûre, on n’est pas tout seuls dans notre phase de deuil, et ils font vraiment leur maximum pour nous aider à dire adieu à notre série en beauté.
Ca aide, quelque part, je trouve.

Pour les menus spoilers, c’est par ici. Clicky-clicky.

Histoire de nous mettre en jambe avec le final (gloups) de vendredi (GLOUPS), un épisode spécial sur les coulisses de la série, sa création, ses acteurs… Sur le blog de la Sorcière, ça va donner des dizaines de captures d’écran, quelques citations et deux trois anecdotes nouvelles étant donné que sur le lot, on en connaît déjà un paquet. Et after the jump, vous aurez droit aux menus spoilers que j’ai relevés là-dedans. Pour commencer, je dois dire que ça m’a vraiment émue de revoir tous ces passages de la série, disséminés au fil du documentaire. Parce que c’est bon de se souvenir d’où viennent nos personnages, et ce repère visuel, ça montre à quel point ils ont changé au fil de la série. Alors oui, ce sont des images vues et revues, mais j’ai trouvé ça vraiment charmant. Ou pas. Et certaines scènes parviennent encore à me couper le souffle par leur beauté. Et puis ils ont l’air si jeunes. Certains étaient vraiment très très jeunes, au début....

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Aujourd’hui, la Sorcière vous recommande…

The Last Frakkin’ Special. Ou les adieux à BSG. Déjà dispo dans toutes vos bonnes… euh… boucheries-charcuteries.
Et comme je sais que certain(e)s voudront un avant-goût…

(Par contre, y a du spoiler, ‘tention, je viens de pousser un gros gros cri, là !)

The Last Frakkin’ Special. Ou les adieux à BSG. Déjà dispo dans toutes vos bonnes… euh… boucheries-charcuteries. Et comme je sais que certain(e)s voudront un avant-goût… (Par contre, y a du spoiler, ‘tention, je viens de pousser un gros gros cri, là...

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Posted by on Mar 18, 2009 in Battlestar Galactica divers | 9 comments

Pyramid game ? Anyone ?

Enfiiiiin ! Après le week-end de MERDE que je me suis tapé, un petit peu de réconfort avec l’arrivée de la baballe tant attendue. Evidemment, à cinq minutes de partir au cours de chant, sinon ce ne serait pas drôle. J’ai donc littéralement éventré le colis…

Avant de me rendre compte que… rah, pitain, les trucs horribles en polystyrène que je ne vais pas manquer de retrouver aux quatre coins de l’appart pendant environ 120 ans !

J’en répands furieusement enlève quelques uns et elle est là, la mignonne, nichée dedans, bien emballée dans son papier bulle (font pas les choses à moitié, chez Propworx).

Enfiiiiin ! Après le week-end de MERDE que je me suis tapé, un petit peu de réconfort avec l’arrivée de la baballe tant attendue. Evidemment, à cinq minutes de partir au cours de chant, sinon ce ne serait pas drôle. J’ai donc littéralement éventré le colis… Avant de me rendre compte que… rah, pitain, les trucs horribles en polystyrène que je ne vais pas manquer de retrouver aux quatre coins de l’appart pendant environ 120 ans ! J’en répands furieusement enlève quelques uns et elle est là, la mignonne, nichée dedans, bien emballée dans son papier bulle (font pas les choses à moitié, chez...

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419 : Daybreak 1

Rah. RAH. RAAAAAAH !

Les gens… j’ai frôlé le geekgasm, ce matin. Incroyable. Ca n’en étonnera sans doute pas beaucoup mais j’ai a-do-ré cet épisode. Je suis sûre qu’il a dû en laisser plus d’un bouche bée, mais moi… oh mes dieux, ça m’a fait un effet…
Jamais je n’ai vu venir les flashbacks. Pas comme ça, en tout cas. Pourtant, je savais que Tobias Mehler revenait dans le rôle de Zak, mais CA ! CA !!!

Pas de teaser, un générique amputé de la moitié, et CA !

Rah. RAH. RAAAAAAH ! Les gens… j’ai frôlé le geekgasm, ce matin. Incroyable. Ca n’en étonnera sans doute pas beaucoup mais j’ai a-do-ré cet épisode. Je suis sûre qu’il a dû en laisser plus d’un bouche bée, mais moi… oh mes dieux, ça m’a fait un effet… Jamais je n’ai vu venir les flashbacks. Pas comme ça, en tout cas. Pourtant, je savais que Tobias Mehler revenait dans le rôle de Zak, mais CA ! CA !!! Pas de teaser, un générique amputé de la moitié, et...

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