De la Pomme, de la Witch et du Trône.

Bonjour, mes chers petits Ozians ! Me voilà donc de retour de villégiature !

…

Oui, bon, ça fait une semaine que je suis rentrée, mais il me fallait bien ça pour atterrir. Et me remettre du décalage horaire, Sweet Oz, comment que j’ai morflé, au retour ! Ca m’apprendra à faire ma maligne : ah ah ah, jetlag, que dalle, à peine ai-je posé un orteil sur le bitume de Manhattan que me voilà New-Yorkaise de naissance ou presque. Parce que non seulement au retour, tu pars de nuit et comme de coutume, malgré le Lexomil tu pionces genre une demi-seconde, mais en plus, tu te goinfres DEUX bébés (pas un, DEUX !) sur la rangée juste devant toi, et évidemment, quand il y en a un qui roupille, l’autre claironne ! ??a, c’est du retour de karma cosmique !

Bonjour, mes chers petits Ozians ! Me voilà donc de retour de villégiature ! … Oui, bon, ça fait une semaine que je suis rentrée, mais il me fallait bien ça pour atterrir. Et me remettre du décalage horaire, Sweet Oz, comment que j’ai morflé, au retour ! Ca m’apprendra à faire ma maligne : ah ah ah, jetlag, que dalle, à peine ai-je posé un orteil sur le bitume de Manhattan que me voilà New-Yorkaise de naissance ou presque. Parce que non seulement au retour, tu pars de nuit et comme de coutume, malgré le Lexomil tu pionces genre une demi-seconde, mais en plus, tu te goinfres DEUX bébés (pas un, DEUX !) sur la rangée juste devant toi, et évidemment, quand il y en a un qui roupille, l’autre claironne ! ??a, c’est du retour de karma...

Et à part ça, Londres ?

Après mon compte-rendu sur la Doctor Who Experience et pour en finir avec Londres tout en restant plus ou moins dans le thème des séries, sachez que non, je ne suis pas allée voir « Much ado about nothing » avec Catherine Tate et David Tennant. On s’y est pourtant prises début juin, bernique, plus une seule place et la lotterie, bah… c’est-à-dire qu’on est des veinardes mais à ce point, je ne suis pas sûre.
Donc nous voilà toutes frétillantes en la capitale britannique dès le début du samedi après-midi. Et que faire ? Ben bouffer, se balader, boire des tas de cafés et dépenser du fric. Non ? En tout cas, c’est comme ça que nous nous retrouvons dans ce lieu de perdition où nous nous délesterons d’un certain nombre de pésètes.

Après mon compte-rendu sur la Doctor Who Experience et pour en finir avec Londres tout en restant plus ou moins dans le thème des séries, sachez que non, je ne suis pas allée voir « Much ado about nothing » avec Catherine Tate et David Tennant. On s’y est pourtant prises début juin, bernique, plus une seule place et la lotterie, bah… c’est-à-dire qu’on est des veinardes mais à ce point, je ne suis pas sûre. Donc nous voilà toutes frétillantes en la capitale britannique dès le début du samedi après-midi. Et que faire ? Ben bouffer, se balader, boire des tas de cafés et dépenser du fric. Non ? En tout cas, c’est comme ça que nous nous retrouvons dans ce lieu de perdition où nous nous délesterons d’un certain nombre de...

ComicCon’… j’y fus… et Dieu merci j’en suis rentrue ! (Après avoir fait coucou à Merlin, bien entendu.)

Eh oui, hier, je me suis donc rendue à ce grand rendez-vous culturel annuel et parisien (enfin, Seine-St-Denisien… ou -sois… ou -siste ?). Pour une petite journée, hélas. Steven Moffat a choisi le seul jour où je ne pouvais aller le voir, étant engagée ailleurs. J’ai pleuré, supplié, gémi, tapé du pied, invoqué tous les démons… jamais on n’a voulu me libérer quelques heures dimanche matin pour aller assister à sa conférence. J’en tremble encore de rage.
Passage éclair, donc. En même temps, ce n’est pas plus mal vu la VIOLENCE du truc.

Eh oui, hier, je me suis donc rendue à ce grand rendez-vous culturel annuel et parisien (enfin, Seine-St-Denisien… ou -sois… ou -siste ?). Pour une petite journée, hélas. Steven Moffat a choisi le seul jour où je ne pouvais aller le voir, étant engagée ailleurs. J’ai pleuré, supplié, gémi, tapé du pied, invoqué tous les démons… jamais on n’a voulu me libérer quelques heures dimanche matin pour aller assister à sa conférence. J’en tremble encore de rage. Passage éclair, donc. En même temps, ce n’est pas plus mal vu la VIOLENCE du...

"Mais qu’est-ce qu’elle fout ?"

… avez-vous dû vous demander face au ralentissement du Blog ces derniers jours. (Ou pas.)

Eh bien elle était en villégiature pour aller se prosterner devant ceci.

Bah oui, hein, depuis le temps que je savais que cette expo allait se faire, vous pensiez bien…
Donc ceci, mes chers amis, n’est autre qu’un Viper. Grandeur nature. Un vrai. Un de ceusses qu’ils ont servi pour la série de Tonton Moore. En bref, c’est un Viper de Battlestar Galactica. Et en gros, il n’y aurait eu que ça à cette expo que j’y serais allée rien que pour le voir. (Au grand dam des oreilles de ma compagne de visite, ce ne fut pas le cas.)

… avez-vous dû vous demander face au ralentissement du Blog ces derniers jours. (Ou pas.) Eh bien elle était en villégiature pour aller se prosterner devant ceci. Bah oui, hein, depuis le temps que je savais que cette expo allait se faire, vous pensiez bien… Donc ceci, mes chers amis, n’est autre qu’un Viper. Grandeur nature. Un vrai. Un de ceusses qu’ils ont servi pour la série de Tonton Moore. En bref, c’est un Viper de Battlestar Galactica. Et en gros, il n’y aurait eu que ça à cette expo que j’y serais allée rien que pour le voir. (Au grand dam des oreilles de ma compagne de visite, ce ne fut pas le...