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119 : Late returns

Vous excuserez les deux reviews manquantes, je n’ai pas le courage de boucher les trous, surtout que ce n’étaient pas tout à fait des incontournables.

Pareil pour celui-ci que j’ai eu un peu de mal à suivre… et qui repose sur deux ou trois éléments clé. D’abord, une intro qui nous vend tout de suite le produit, comme souvent.

1992, la campagne Clinton (Bill Clinton !) célèbre la victoire de son candidat.

Vous excuserez les deux reviews manquantes, je n’ai pas le courage de boucher les trous, surtout que ce n’étaient pas tout à fait des incontournables. Pareil pour celui-ci que j’ai eu un peu de mal à suivre… et qui repose sur deux ou trois éléments clé. D’abord, une intro qui nous vend tout de suite le produit, comme souvent. 1992, la campagne Clinton (Bill Clinton !) célèbre la victoire de son...

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Posted by on Déc 24, 2008 in Cold case | 0 comments

116 : Volunteers

Bon, je n’avais pas trop l’intention de m’y prendre comme ça, mais là, il faut que je solde mes comptes. J’ai trop de retard pour Cold Case, ça me bloque tout, et entre nous, je suis en train de méchamment me manger le contrecoup de mes longues semaines à bosser comme une malade, donc je n’ai qu’une envie, c’est de finir les trucs en cours et de passer à autre chose. Dommage, c’est cet épisode qui va en faire les frais puisqu’il est le dernier d’une longue lignée d’excellence.
L’ennui, donc, c’est que cela fait plus de dix jours que je l’ai vu, et que je n’en maîtrise plus tous les tenants et aboutissants.
Néanmoins, je peux quand même en dire qu’il m’a proprement plombée. Summer of love, hein ? Mon cul !
D’abord, nos deux victimes de 1969, Charlie et Julia, sont admirables. Les acteurs sont parfaits de réalisme, et cela fait maintenant deux fois que je surprends une sublime Amber Benson, anciennement goudou dans Buffy, ce qui ne lui allait pas super au teint.
En vampire dans SPN, elle était formidable. Mais alors là, en peace-and-love, elle est tout simplement solaire.

Bon, je n’avais pas trop l’intention de m’y prendre comme ça, mais là, il faut que je solde mes comptes. J’ai trop de retard pour Cold Case, ça me bloque tout, et entre nous, je suis en train de méchamment me manger le contrecoup de mes longues semaines à bosser comme une malade, donc je n’ai qu’une envie, c’est de finir les trucs en cours et de passer à autre chose. Dommage, c’est cet épisode qui va en faire les frais puisqu’il est le dernier d’une longue lignée d’excellence. L’ennui, donc, c’est que cela fait plus de dix jours que je l’ai vu, et que je n’en maîtrise plus tous les tenants et aboutissants. Néanmoins, je peux quand même en dire qu’il m’a proprement plombée. Summer of love, hein ? Mon cul ! D’abord, nos deux victimes de 1969, Charlie et Julia, sont admirables. Les acteurs sont parfaits de réalisme, et cela fait maintenant deux fois que je surprends une sublime Amber Benson, anciennement goudou dans Buffy, ce qui ne...

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Posted by on Sep 1, 2008 in Cold case | 11 comments

"Blue Moon"

Sans hésiter la plus belle fin que j’aie vue jusqu’à présent dans Cold Case.

Et un des plus beaux épisodes, aussi.
Review pour ce soir, comme d’hab…

Sans hésiter la plus belle fin que j’aie vue jusqu’à présent dans Cold Case. Et un des plus beaux épisodes, aussi. Review pour ce soir, comme...

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Posted by on Août 24, 2008 in Cold case | 5 comments

115 : Disco inferno

Mmmmh. J’avoue avoir écouté « Disco Inferno » des Trammps en boucle pendant une soirée après avoir vu cet épisode.
D’ailleurs, j’avoue que je suis en train de l’écouter là tout de suite pour me donner du courage.

Allez, même si je titube de fatigue, ce soir, après une journée complètement hallucinante dans une boîte déserte (et hantée), par un temps superbe, à bosser en solitaire pendant dix heures… je vous le recommande, c’est une expérience surréaliste. Ca aurait valu le coup d’avoir un ballon de volley sous la main.
Donc je vous rédige cette review depuis mon lit, avec à la main un gros chocolat chaud au lait concentré (ça doit faire environ cinq semaines que j’ai pas fait de vraies courses, c’est le moment de faire des expériences).

Mmmmh. J’avoue avoir écouté « Disco Inferno » des Trammps en boucle pendant une soirée après avoir vu cet épisode. D’ailleurs, j’avoue que je suis en train de l’écouter là tout de suite pour me donner du courage. Allez, même si je titube de fatigue, ce soir, après une journée complètement hallucinante dans une boîte déserte (et hantée), par un temps superbe, à bosser en solitaire pendant dix heures… je vous le recommande, c’est une expérience surréaliste. Ca aurait valu le coup d’avoir un ballon de volley sous la main. Donc je vous rédige cette review depuis mon lit, avec à la main un gros chocolat chaud au lait concentré (ça doit faire environ cinq semaines que j’ai pas fait de vraies courses, c’est le moment de faire des...

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Posted by on Août 24, 2008 in Cold case | 8 comments

114 : The boy in the box

(Avec un titre pareil, ça aurait pu être un épisode de Bones… )

Alors voilà, on vient de voir un épisode sublime, sentimentalement dévastateur, on se dit qu’on va s’en mater un autre histoire de se faire une bonne intrigue bien basique genre années 90, pour se remettre… Tough shit ! On se retrouve avec le même en pire ! Le truc qui sert, mais à RIEN ! Juste à nous plomber la soirée puissance 12 000, l’oeil fixe, le nez morveux, le sanglot coincé dans la gorge. M’enfin y z’ont pas honte ???

(Avec un titre pareil, ça aurait pu être un épisode de Bones… ) Alors voilà, on vient de voir un épisode sublime, sentimentalement dévastateur, on se dit qu’on va s’en mater un autre histoire de se faire une bonne intrigue bien basique genre années 90, pour se remettre… Tough shit ! On se retrouve avec le même en pire ! Le truc qui sert, mais à RIEN ! Juste à nous plomber la soirée puissance 12 000, l’oeil fixe, le nez morveux, le sanglot coincé dans la gorge. M’enfin y z’ont pas honte...

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Posted by on Août 23, 2008 in Cold case | 17 comments

113 : The letter

Je me fais avoir à chaque fois, c’est décourageant. Pourtant, je sais que je vais en chier, que ça va être sordide et triste, mais je ne peux pas m’empêcher de trouver ravissantes les premières secondes de chaque épisode. C’est un sentiment vraiment bizarre… l’enchantement mêlé à l’anticipation, savoir que dans quelques secondes, tout va basculer et qu’on va se retrouver avec un cadavre sur les bras.
Et puis aussi, les premières notes de musique qui retentissent et le cerveau qui cherche à toute allure de quand cela peut dater. Bref, démarrer un nouvel épisode de Cold Case, c’est chaque fois un grand moment. L’équivalent de l’écran noir avant que le film ne commence, au cinoche. C’est quand même très très agréable.

Je me fais avoir à chaque fois, c’est décourageant. Pourtant, je sais que je vais en chier, que ça va être sordide et triste, mais je ne peux pas m’empêcher de trouver ravissantes les premières secondes de chaque épisode. C’est un sentiment vraiment bizarre… l’enchantement mêlé à l’anticipation, savoir que dans quelques secondes, tout va basculer et qu’on va se retrouver avec un cadavre sur les bras. Et puis aussi, les premières notes de musique qui retentissent et le cerveau qui cherche à toute allure de quand cela peut dater. Bref, démarrer un nouvel épisode de Cold Case, c’est chaque fois un grand moment. L’équivalent de l’écran noir avant que le film ne commence, au cinoche. C’est quand même très très...

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Posted by on Août 22, 2008 in Cold case | 12 comments

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