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415 : No exit

Voilà, donc tout ce que je déteste. Le genre d’épisode qui, après quatre saisons d’informations distillées au compte-goutte, vous fait vous sentir bête parce que vous n’arrivez pas à intégrer toutes les nouvelles données littéralement bombardées à l’intérieur de votre pauvre bulbe défraîchi. Et dont la compréhension totale nécessiterait un véritable lavage de cerveau histoire de vous sortir de la tête toutes les idées préconçues que vous aviez avant.

Exemple : les FF se téléchargent ! Comme les autres ! Et même mieux que les autres vu qu’ils ont la recette, eux !
On était tellement nombreux à penser qu’ils étaient des modèles uniques ! Donc premier camouflet. Juste après cette introduction incroyable qui nous fait comprendre, comme celle de Downloaded, qu’on va avoir droit à un épisode à part.

Voilà, donc tout ce que je déteste. Le genre d’épisode qui, après quatre saisons d’informations distillées au compte-goutte, vous fait vous sentir bête parce que vous n’arrivez pas à intégrer toutes les nouvelles données littéralement bombardées à l’intérieur de votre pauvre bulbe défraîchi. Et dont la compréhension totale nécessiterait un véritable lavage de cerveau histoire de vous sortir de la tête toutes les idées préconçues que vous aviez avant. Exemple : les FF se téléchargent ! Comme les autres ! Et même mieux que les autres vu qu’ils ont la recette, eux ! On était tellement nombreux à penser qu’ils étaient des modèles uniques ! Donc premier camouflet. Juste après cette introduction incroyable qui nous fait comprendre, comme celle de Downloaded, qu’on va avoir droit à un épisode à...

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414 : Blood on the scales

Ah ah ! Le Dark Side et moi, on SAVAIT que la planche pourrie, ce serait ce brave Hot Dog ! Il est pas bon à grand-chose, le pauvre garçon, si ce n’est se choper des morbacs et engrosser tout ce qui bouge. Par contre, quand il faut accomplir des gestes historiques, là, y a plus personne !

Et non, Hot Dog ne tournera pas une page de l’histoire coloniale. Ptit bras, le chien chaud.
Allez, retourne moucher ton chiard, Brendan, et laisse les grands faire leur révolution.

Ah ah ! Le Dark Side et moi, on SAVAIT que la planche pourrie, ce serait ce brave Hot Dog ! Il est pas bon à grand-chose, le pauvre garçon, si ce n’est se choper des morbacs et engrosser tout ce qui bouge. Par contre, quand il faut accomplir des gestes historiques, là, y a plus personne ! Et non, Hot Dog ne tournera pas une page de l’histoire coloniale. Ptit bras, le chien chaud. Allez, retourne moucher ton chiard, Brendan, et laisse les grands faire leur...

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220 : Lay dow your burdens 2

Qu’est-ce que je ne ferais pas pour ma petite Mano. C’est vrai, cette petite, elle s’est un peu endormie une douzaine de fois devant la minisérie, mais elle a rattrapé cet impair avec une telle ferveur que quand elle m’a dit que sa seule frustration, c’était de ne pas avoir trouvé de review de cet épisode, j’ai craqué, que voulez-vous, et j’ai ressorti mes DVD de la saison 2.

(Non sans me faire un petit coup de « Something dark is coming », l’intro de LDYB1, parce que c’est juste trovoalakwa.)

Surprise : this never gets old, people !

Qu’est-ce que je ne ferais pas pour ma petite Mano. C’est vrai, cette petite, elle s’est un peu endormie une douzaine de fois devant la minisérie, mais elle a rattrapé cet impair avec une telle ferveur que quand elle m’a dit que sa seule frustration, c’était de ne pas avoir trouvé de review de cet épisode, j’ai craqué, que voulez-vous, et j’ai ressorti mes DVD de la saison 2. (Non sans me faire un petit coup de « Something dark is coming », l’intro de LDYB1, parce que c’est juste trovoalakwa.) Surprise : this never gets old,...

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412 : A disquiet follows my soul

Aaaaaaw… Un épisode centré sur les personnages, sur la vie dans la Flotte, ptain, même plus j’osais espérer ce genre de truc après l’épisode de la semaine dernière.

C’est vraiment futé de nous jeter ça maintenant. D’une part parce qu’on ne s’y attend pas, d’autre part parce qu’on a tellement besoin de respirer un coup après la Terre, de savoir où en sont les individus qu’on suit depuis le début.
C’est aussi l’occasion de revoir des têtes oubliées depuis longtemps. Ishay, par exemple, qui nous avait sauvé Adama au début de la saison 2. Playa qui se tapait Gaius dans les chiottes du regretté Cloud 9. Hot Dog, en passant, qu’on a guère vu depuis le Demetrius.
Tous ces braves gens nagent dans une détresse qui prend à la gorge… dans un épisode écrit et réalisé par Ronald D. Moore, mesdames et messieurs, inclinons-nous bien bas. Pour la première fois, l’homme passe derrière la caméra. Et c’est une réussite.

Aaaaaaw… Un épisode centré sur les personnages, sur la vie dans la Flotte, ptain, même plus j’osais espérer ce genre de truc après l’épisode de la semaine dernière. C’est vraiment futé de nous jeter ça maintenant. D’une part parce qu’on ne s’y attend pas, d’autre part parce qu’on a tellement besoin de respirer un coup après la Terre, de savoir où en sont les individus qu’on suit depuis le début. C’est aussi l’occasion de revoir des têtes oubliées depuis longtemps. Ishay, par exemple, qui nous avait sauvé Adama au début de la saison 2. Playa qui se tapait Gaius dans les chiottes du regretté Cloud 9. Hot Dog, en passant, qu’on a guère vu depuis le Demetrius. Tous ces braves gens nagent dans une détresse qui prend à la gorge… dans un épisode écrit et réalisé par Ronald D. Moore, mesdames et messieurs, inclinons-nous bien bas. Pour la première fois, l’homme passe derrière la caméra. Et c’est une...

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