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En 2010, sur le Blog, il y aura eu…

Une déferlante de…

L’arrivée en fanfare de…

Trop peu de…

La discrète arrivée de…

Une double ration de…

Toujours pas mal de…

Pas assez de…

Le passage remarqué de…

Une légère overdose de…

Et une surprise de taille…

Ma foi, que dire… pourvu que ça dure en 2011… et merci à vous !

Une déferlante de… L’arrivée en fanfare de… Trop peu de… La discrète arrivée de… Une double ration de… Toujours pas mal de… Pas assez de… Le passage remarqué de… Une légère overdose de… Et une surprise de taille… Ma foi, que dire… pourvu que ça dure en 2011… et merci à...

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Posted by on Déc 31, 2010 in Fourre-tout | 35 comments

Réplique de la semaine

L’atmosphère est lourde et épaissie des tensions de la fin de saison. Devant nous, James Bond prophétise le retour d’une race crainte et d’une planète rouge qui pourrait bien venir remplacer la nôtre. Il a la voix grave et lente des méchants qui nous font trembler sous nos plaids, et a visiblement piqué des fringues à la garde-robe d’Elton John. Sam Tyler, sous sa tignasse blonde, essaye désespérément de trouver une solution qui contienne sa propre survie. Il plaide, supplie, menace, et change de veste si souvent qu’il nous donne un peu le mal de mer. Ten, le costume et le c? »ur déchirés, tient une arme et s’apprête à l’utiliser, allant à l’encontre de tout ce qui a toujours défini notre héros. C’est dire l’ampleur de sa détresse; le voir réduit à de telles extrémités a immédiatement relevé les enjeux de ces évènements.

L’atmosphère est lourde et épaissie des tensions de la fin de saison. Devant nous, James Bond prophétise le retour d’une race crainte et d’une planète rouge qui pourrait bien venir remplacer la nôtre. Il a la voix grave et lente des méchants qui nous font trembler sous nos plaids, et a visiblement piqué des fringues à la garde-robe d’Elton John. Sam Tyler, sous sa tignasse blonde, essaye désespérément de trouver une solution qui contienne sa propre survie. Il plaide, supplie, menace, et change de veste si souvent qu’il nous donne un peu le mal de mer. Ten, le costume et le c? »ur déchirés, tient une arme et s’apprête à l’utiliser, allant à l’encontre de tout ce qui a toujours défini notre héros. C’est dire l’ampleur de sa détresse; le voir réduit à de telles extrémités a immédiatement relevé les enjeux de ces...

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101 : Episode one

Misfits, cékoidon ? Ben c’est cinq petits trous-du-cul de délinquants britons qui se retrouvent du jour au lendemain avec des superpouvoirs et un macchabée sur les bras. Et ils doivent trouver le juste équilibre entre leur lose et le fait de pouvoir faire des supertrucs. Alors qu’autour d’eux, les bizarreries se multiplient. C’est cru mais tendre, gris mais haut en couleurs, triste mais franchement rigolo et servi par de chouettes petits acteurs. C’est britannique, quoi. Et c’est ma nouvelle fixette du moment !

Misfits, cékoidon ? Ben c’est cinq petits trous-du-cul de délinquants britons qui se retrouvent du jour au lendemain avec des superpouvoirs et un macchabée sur les bras. Et ils doivent trouver le juste équilibre entre leur lose et le fait de pouvoir faire des supertrucs. Alors qu’autour d’eux, les bizarreries se multiplient. C’est cru mais tendre, gris mais haut en couleurs, triste mais franchement rigolo et servi par de chouettes petits acteurs. C’est britannique, quoi. Et c’est ma nouvelle fixette du moment...

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Posted by on Déc 29, 2010 in Misfits | 12 comments

513 : The Big Bang

Inutile de dire que je n’ai absolument aucune idée de la façon de rédiger ce billet. En fait, ça fait un mois voire plus que je suis dessus, que je réfléchis un peu chaque jour à la question et que je repousse au lendemain.
Pourtant, ce serait très simple de dire que j’ai adoré cet épisode puisque c’est le cas. Mais comme toutes les séries que je suis depuis des années, j’ai du mal… elle se renouvelle, plus que les autres, sans doute, étant donné le contenu. Mais j’ai du mal.
Globalement, j’ai peiné pendant toute cette saison. Rejointe par le Dark Side qui a englouti les cinq saisons en moins de temps qu’il ne faut pour le dire (AH !) et qui a intégré le clan des indécrottables nostalgiques de David Tennant, je n’ai pas trouvé de raison plausible à cette baisse de régime de ma part. J’aime toujours la série, j’aime toujours les histoires, le Docteur continue à me faire rêver, je trouve Matt Smith formidable, Amy est une Companion d’enfer, Arthur Darvill une révélation et le tout est orchestré par Steven Moffat, LE scénariste adulé, LE génie du récit. Alors quoi, merde ?! Ben je ne sais pas. Le Dark Side a émis une hypothèse, celle du rajeunissement de la série… on a peut-être, à notre grand âge, plus de mal à s’identifier à une jeune Amy Pond et la légèreté d’Eleven, quoique craquante, n’y est peut-être pas étrangère. C’est vrai que Donna était plus proche de nous… c’est vrai qu’Eccleston et Tennant avaient une bonne trentaine finissante qui nous correspondait plus. Vraiment, je ne sais pas. Toujours est-il que j’ai plus de mal à prendre mon clavier et à venir parler du Docteur malgré mon enthousiasme devant certains épisodes… y compris celui-ci.

Inutile de dire que je n’ai absolument aucune idée de la façon de rédiger ce billet. En fait, ça fait un mois voire plus que je suis dessus, que je réfléchis un peu chaque jour à la question et que je repousse au lendemain. Pourtant, ce serait très simple de dire que j’ai adoré cet épisode puisque c’est le cas. Mais comme toutes les séries que je suis depuis des années, j’ai du mal… elle se renouvelle, plus que les autres, sans doute, étant donné le contenu. Mais j’ai du mal. Globalement, j’ai peiné pendant toute cette saison. Rejointe par le Dark Side qui a englouti les cinq saisons en moins de temps qu’il ne faut pour le dire (AH !) et qui a intégré le clan des indécrottables nostalgiques de David Tennant, je n’ai pas trouvé de raison plausible à cette baisse de régime de ma part. J’aime toujours la série, j’aime toujours les histoires, le Docteur continue à me faire rêver, je trouve Matt Smith formidable, Amy...

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Posted by on Déc 28, 2010 in Doctor Who Episodes | 17 comments

512 : The Pandorica opens

Ah, attention, je commence à me réveiller de mon long coma doctoresque ! Eh oui, la saison touche à son terme et forcément, il arrive quelques bricoles à notre zélé Docteur. Ca démarre avec un haut lieu touristique portant un petit message de la part de Mme Chère-et-Tendre.

Le coup de la falaise gravée parce que… le bourgeois ne répond pas au téléphone. Ah, je trouve que c’est la grande classe, pas du tout démesuré !
Effectivement, River et moi, nous ne sommes pas les meilleures amies du monde, mais je reconnais qu’elle a du style et qu’il en faut beaucoup pour la démonter, celle-là.

Ah, attention, je commence à me réveiller de mon long coma doctoresque ! Eh oui, la saison touche à son terme et forcément, il arrive quelques bricoles à notre zélé Docteur. Ca démarre avec un haut lieu touristique portant un petit message de la part de Mme Chère-et-Tendre. Le coup de la falaise gravée parce que… le bourgeois ne répond pas au téléphone. Ah, je trouve que c’est la grande classe, pas du tout démesuré ! Effectivement, River et moi, nous ne sommes pas les meilleures amies du monde, mais je reconnais qu’elle a du style et qu’il en faut beaucoup pour la démonter,...

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Posted by on Déc 27, 2010 in Doctor Who Episodes | 16 comments

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