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602 : Centurio

Ah ben finalement…

Hi hi hi. Comme j’ai pensé à notre bon Perceval en voyant les connasses s’écharper sur Alpha du Centaure. S’il savait !

Franchement, la Dame du Lac, elle m’a trop plu, là.

Et la Dame des Pierres, pas mal non plus !

Ah, les petites radasses qui se font des coups de pute pour savoir laquelle aura la plus chouette mission !

Allez, hop, pour les mettre d’accord, on leur sort Mme Astier en Dame du Feu.

J’adore voir tous ces personnages clé des premiers bouquins débarquer un à un. Et là, on se rend compte qu’à un poil de fion près, la Dame du Lac paumait Arthur et l’Epée au profit de la très coquette Dame des Pierres.
Du coup, cet épisode marque sa première apparition aux yeux d’Arthur qu’elle trouve dans une posture fort peu glorieuse, mais c’est pas grave.

Le premier d’une très longue série de : « Ca y est, il a craqué. »
Autre petit détail tout à fait insignifiant, voilà qu’Arthur se souvient.

« Le barbu qui me suivait tout le temps quand j’étais gamin, il s’appelait Merlin. »

Conséquence de cette menue révélation, les Romains de Bretagne doivent trouver ce fameux Merlin qui pourra nous en dire un peu plus sur les us et coutumes de cette sauvage contrée.

« Avant de partir il faut que je trouve un type qui s’appelle Merlin. Ca vous dit quelque chose ? »

Arf. Formidable, l’introduction du druide. Paf, on dit son nom et le voilà qui tombe d’un arbre ! Elle lui réussit, cette saison, au père Chambon. Il est adorable avec ses sandales dans la main et sa trouille des poissons de mer.

(Ptain, que c’est beau.)

Pendant ce temps, puisqu’on est en Bretagne… Eh bien en Bretagne, on se demande comment les Clans ont pu résister aussi longtemps avec les manches qu’ils ont à leur tête. Je ne serais pas étonnée que ce bon Goustan le Cruel ait fait tout le taf.

(Il est exceptionnel, lui. Sans blague, je crois qu’il me fait un peu peur !)

En attendant, Leodagan le « Sanguinaire », c’est pas encore gagné. Parce que tout ce qu’il semble avoir de sanguinaire, à ce moment de la série, c’est sa bonne femme, pressée de rentrer en Carmélide pour s’occuper du petit.

« Vous, vous faites ce que vous voulez. Nous on rentre garder le gamin. »

Et les autres… eh bien les voilà chacun leur tour. Calogrenant, bien touffu.

Et mon très cher Loth d’Orcanie.

Ben dites donc, bonjour les tignasses !

Gros lâchage du perruquier.
Tous des brêles, donc, on ne voit pas pourquoi quinze ans plus tôt ils seraient plus futés.
A Rome, d’ailleurs, Arturus est déjà entouré de bras cassés. Entre Caius qui s’empresse de donner les noms aussitôt qu’il entend le mot « fouet ».

« Ah non mais s’il y a un fouet, je parle. C’est Arturus qui vous a tapé dessus. C’est bon, là, vous pouvez me détacher s’il vous plaît ? »

Mani qui ne tient pas en place planqué chez sa gonzesse.

Et Verinus qui a beau être « viril » n’en a pas moins sa « sensibilité propre », ma foi, c’est pas gagné. Fort heureusement pour les fesses d’Arthur, Sallustius est un proche de l’Empereur. Et l’Empereur, c’est le Chef Chaudard. Qui enrage toujours un brin au sujet de la Bretagne. Alors, qui se dévoue pour lui rappeler que la Tenaille, c’est pas pour les roquets ???

« Tu comptes refiler la Bretagne à un grouillot de l’Urbaine ? »

Eh ouais, grosso merdo. Sallustius a décidé de faire d’Arturus un prête-nom, c’est-à-dire une gentille marionnette qui dirait qu’elle est super bretonne d’un côté tout en étant super romaine de l’autre.
Voilà comment sur le point de se faire étriller d’importance, le troufion Arturus se retrouve catapulté centurion.

Dans un premier temps, c’est pas gagné. Cela dit, c’est génial de voir les bribes entendues dans les Livres précédents prendre forme.

Et voilà la fameuse brosse qu’il sort à sa femme pour lui montrer quand il était centurion. (Chouette épisode, d’ailleurs, que celui où Léodagan découvre que son gendre est un Romain. J’y ai beaucoup pensé au cours de ce Livre.)
Bon mais notre centurion est quand même encore un peu mal dégrossi, alors Sallustius décide de lui faire faire son éducation par une brave dame très distinguée.

Aconia Minor qui nous sort cette très belle phrase : « En ville on dit que c’est vous qui tirez les ficelles. »

Voilà, tout se met en place de la plus jolie des manières. C’est pas de chance parce que j’avais fait un billet un peu plus fourni mais je l’ai oublié à ma maison. Couillonne.
Inutile de répéter que je suis parfaitement épatée, même en ayant revu cet épisode hier soir. Ca va être dur de me remettre à Fringe, SPN et Dexter. Mais j’ai pas trop le choix si je veux suivre un minimum cette saison 2010-2011.

Posted by on Nov 9, 2010 in Kaamelott | 7 comments

7 Comments

  1. "Chouette épisode, d’ailleurs, que celui où Léodagan découvre que son gendre est un Romain"

    Ca figure dans quel Livre, stiteuplait?

  2. Le trois ou le quatre.

  3. Excellent épisode. J’ai adoré le passage avec toutes les Dames. Quelle équipe quand même XD

    Et tous les passages avec Seli me ravissent au plus au point. J’ai toujours adoré ce personnage. Elle est trop forte ^^

  4. Il fallait que tu les ressortes, le chef Chaudard et sa tenaille, arf arf arf LOL

  5. Et je l’ai fait en pensant à toi ! 😀

  6. Elles m’ont bien plus, les Dames sur Alpha du Centaure, on voit que même du côté des dieux, c’est pas gagné !
    Quant aux dégaines des rois bretons, on s’en remet pas ! Ni de "les druides, ça cueille des trucs" LOL

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