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102 : White to play

Je mentirais si je disais que je ne suis pas un peu déçue par Flashforward. On en est qu’au deuxième épisode, et déjà, une énooooorme faute de continuité… c’est lourd quand même. Pour que même moi je remarque, c’est quand même très très gros. Le coup du bracelet, là. Que je fais cramer et que, miraculeusement, j’ai à nouveau autour du poignet deux minutes plus tard. Tsssss. Grossier. Indigne d’une grosse production. Même Tim Kring ne l’aurait pas faite, celle-là. J’avais honte pour Joseph.

Bon. Ben sinon Penny est dans la merde. Bien dans la merde. C’était difficile d’en être sûre dans le premier épisode, mais franchement, son prétendant briton, il est pas mal du tout, là. Ok, elle est déjà mariée à un prétendant briton, mais le number 2, au moins, il a le droit de garder son super accent à faire voler les petites culottes, et en prime il a une voix à tomber. C’est ballot. Super ballot.

Ouh que c’est ballot !

Moralité, elle a beau serrer son Joseph très fort sur son coeur et cramponner tant qu’elle peut sa gamine, on entrevoit déjà les cornes pousser sur le front de notre héros. Il y même fort à parier que c’est elle qui va lui tendre la bouteille de whisky quand il s’agira de lui expliquer que, ben finalement, le mec de son flashforward, elle l’installe à la maison et maintenant au revoir.

Au passage, si à chaque épisode, ils nous ajoutent vingt minutes de flashbacks de l’épisode précédent (vous me suivez ?), ça va pas leur coûter cher en production. Ca m’a un peu agacée, ça. C’est bon, on n’est pas encore tout à fait ramollis du cervelet, on se souvient plutôt pas trop mal des scènes les plus percutantes de la semaine précédente, les gars, merci !

A part ça, je suis bien triste pour Mr. Sulu. Il a beau parler beaucoup de sa fiancée (qu’on n’a toujours pas vue), il semblerait que son sort soit définitivement scellé. Un peu gros le coup de la fliquette qui lui confie ne pas avoir eu de flashback et qui se retrouve éparpillée façon puzzle. Mais efficace, j’en conviens. Pauvre Mr. Sulu.

Enfin, il peut toujours se consoler en se disant qu’il sera bientôt papa.

(Ca paraît évident, non ? Je m’attendais presque à ce qu’ils aillent le fabriquer dans la foulée, le petit monstre, tellement la tension était palpable.)

A part ça, quelques scènes assez sympatoches. L’intro, notamment, bien flippante. Forcément, avec des gamins, c’est flippant.

(Y en a grave un qui bouge et qui mériterait des taloches pour foutre le truc en l’air, mais bon.)

La fabrique de poupées… ah ah ah, ça marche à tous les coups, dans le genre glauque !

Et le boss qui, non content d’avoir eu un flashback où il coule un bronze en lisant son journal, était DE SURCRO??T aux chiottes pendant le black-out et s’est vu forcé de faire du bouche-à-bouche à un collègue noyé… dans les pissotières !

On tient là un vrai champion, les gars ! Il ne faut pas le lâcher, celui-là !

A part ça, comme ça fait quinze jours que j’ai vu cet épisode et que je suis grave à la bourre, je vais enchaîner sur la suite. Une fois que j’aurai rattrapé Fringe parce que là, c’est plus possible.

Posted by on Oct 10, 2009 in FlashForward | 9 comments

9 Comments

  1. C’était perturbant de voir Parker-de-SFU en sheriff. 😀

  2. Hé mais le briton, il a joué dans Pirates des Caraibes ! (oui je sais super référence). Déjà qu’il était à tomber dans ces films…

  3. Ben oui super référence, évidemment, super référence.

  4. Oui j’adore les films philosophiques 😀

  5. Marrant, le Commodore Norrington, je l’ai justement reconnu à sa voix, très suave et bien agréable à l’oreille ^^

  6. Il a vraiment une voix à faire du doublage… Sauf qu’en plus il est beau !

  7. Je me suis surprise à me dire que si j’étais à la place de madame, entre Shakespeare et le Commodore, je saurais vraiment pas lequel choisir ! (trop de choix tue le choix, hein 😀 )

  8. Moi je dirais que Joseph était là avant, mais bon… 🙂 (En plus, son frère c’est Voldi, t’imagines, toi ???)

  9. Et donc on a vu le 2e dans la foulée, c’est dire si ça nous a bien harponnés 😀
    Bon, un chouïa téléphoné le coup du bracelet, je trouve. La fabrique de poupée bien glauque aussi (et puis quel intérêt, franchement, la photo de la poupée cramée ???). Mais l’intrigue de la pâtissière and co. me plaît bien 🙂
    Quant à la pauvre sheriff, c’est mon homme qui, dès qu’elle a dit qu’elle n’avait rien vu, en a déduit qu’elle n’allait pas passer l’épisode, effectivement ça n’a pas traîné ! 😉
    (je me demande ce qu’elle a vu, d’ailleurs, la baby-sitter, pour avoir disparu de la circulation aussi vite)

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